
La CARCDSF a sélectionné deux gérants pour deux fonds performance absolue obligataire
Un évènement L’AGEFI
RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
Plus d'articles du même thème
-
Iroko dévoile les contours de sa nouvelle SCPI Iroko Atlas
La société de gestion a officialisé son lancement précommercialisée auprès des CGP depuis la rentrée. Elle reprend la stratégie d’Iroko Zen à ceci près qu’elle n’investira pas en France. -
Finary finalise sa série B
La fintech spécialisée dans la gestion de patrimoine lève 25 millions d'euros avec de nouveaux entrants comme l'américain Paypal Ventures et les britanniques Localglobe et Hedosophia aux côtés des historiques. L'objectif est d'atteindre 5 milliards d'euros d'encours d'ici trois ans. -
Stéphane Cadieu (Arkéa AM) : «Il faut aborder les marchés avec humilité»
Podcast - Stéphane Cadieu, président du directoire d’Arkéa Asset Management, est le nouvel invité de Haute Féquence. -
L’AMF sanctionne Altaroc et ses deux dirigeants à hauteur de 1,3 million d’euros
La Commission des sanctions reproche des manquements à leurs obligations professionnelles, notamment en matière de process d’investissement et de désinvestissement, de documentation commerciale et de lutte contre le blanchiment. -
Nicolas Namias assure que le projet de fusion des gestions d’actifs de BPCE et Generali se poursuit
Lors d’une conférence de presse, le président du directoire de BPCE et président du conseil d’administration de Natixis, a indiqué «attendre la stabilisation de la chaîne actionnariale de Generali». Il a souligné que le projet respectait les souverainetés nationales. -
La société de gestion Eternam écope d’une lourde amende
La commission des sanctions de l’Autorité des marchés financiers reproche à la société de gestion des manquements lors de la commercialisation de fonds d’investissement alternatifs (FIA) gérés et la gestion de club deals.
Sujets d'actualité
ETF à la Une

BlackRock lance le premier ETF adossé à la méthodologie MSCI World sur la neutralité géographique et sectorielle
Premier fonds listé à commercialiser cette méthodologie MSCI World, l'ETF iShares MSCI World Sector & Country Neutral Equal Weight Ucits vise, selon la société de gestion, un meilleur accès aux entreprises potentiellement sous-évaluées.
Les plus lus
- Nicolas Namias assure que le projet de fusion des gestions d’actifs de BPCE et Generali se poursuit
- Valérie Baudson : «Amundi n'a pas besoin d'acquisition pour croître»
- BlackRock lance le premier ETF adossé à la méthodologie MSCI World sur la neutralité géographique et sectorielle
- Crédit Mutuel Arkéa vend ses 40% dans Swen Capital Partners
- Eric Bertrand va prendre la direction générale d’Ofi Invest AM
Contenu de nos partenaires
A lire sur ...
-
«Une provocation ambulante»: Mélenchon s'en prend à Retailleau, qu'il traite d'homme «odieux»
Marseille - Le leader de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon a qualifié jeudi le ministre démissionnaire de l’Intérieur Bruno Retailleau (LR) de «provocation ambulante», d’homme «odieux», en marge de la manifestation à Marseille où il a été député. «Toute action violente ne sert qu’une seule et unique personne, monsieur Retailleau, qui a besoin de la violence, qui a besoin des poubelles qui brûlent, qui a besoin de tout ça pour affirmer son rôle de sauveur de je ne sais quoi. En réalité, cet homme est une provocation ambulante», a-t-il déclaré à la presse, entouré des députés LFI de Marseille Manuel Bompard et Sébastien Delogu. «Cet homme est odieux, il représente une forme de notre pays rassie, rabougrie, haineuse, méfiante contre tout et tout le monde, et qui donne continuellement le sentiment de détester la vie», a-t-il ajouté. Pour lui, «le président de la République ferait bien de le ramener à la raison». S’agissant d’Emmanuel Macron, il l’a accusé : «le président, c’est lui le chaos, et tout ce qu’il y a eu en ce moment est le résultat de son action à lui, pas la mienne», appelant à nouveau à un «départ du président de la République». © Agence France-Presse -
«Une remise en ordre profonde de nos finances publiques»: Eric Ciotti propose un contre-budget de 120 milliards d’économies à Lecornu
Paris - Le patron de l’Union des droites pour la République (UDR) Eric Ciotti, allié du RN, propose au Premier ministre Sébastien Lecornu un contre-budget qui prévoit 120 milliards d'économies à réaliser sur l’immigration, la politique sociale ou encore la contribution de la France au budget de l’UE. Ce contre-budget «vise à réaliser 120 milliards d’euros d’économies structurelles, non par une hausse des impôts mais par une remise en ordre profonde de nos finances publiques», écrit le député des Alpes-Maritimes dans un courrier adressé au chef du gouvernement dont l’AFP a obtenu une copie, avant leur rencontre prévue jeudi à midi à Matignon dans le cadre des entretiens menés par Sébastien Lecornu. Eric Ciotti, qui ne cache pas sa sympathie pour le président ultralibéral argentin Javier Milei élu en promettant de couper dans la dépense publique à la tronçonneuse, propose d’effectuer ainsi des économies près de trois fois supérieures à celle de 44 milliards prévues dans le budget de l’ex-Premier ministre François Bayrou, que l’Assemblée a fait tomber le 8 septembre. Pour y parvenir, il veut «mettre fin aux abus liés à l’immigration», transformer l’aide médicale d’Etat (AME) «en dispositif d’urgence strictement limité», réduire la contribution française au budget européen et l’aide au développement, «réformer en profondeur nos politiques sociales» ou encore moderniser l’assurance chômage et la formation professionnelle. Eric Ciotti, qui se présente aux municipales à Nice en mars, fixe des «lignes rouges claires et non négociables» pour le budget, citant notamment son exigence qu’il n’y ait aucune augmentation des prélèvements obligatoires, ni désindexation des retraites ou diminution de la prise en charge des soins et des médicaments. © Agence France-Presse -
Tribune libre
Transparence salariale : l'Europe face au défi de ses valeurs – par Marie Bouny
Au moment même où Washington abandonne les politiques d'égalité, le dilemme européen est clair : construire une société plus juste sans fragiliser sa compétitivité économique