
ETF Securities lance un ETF sur les actions mondiales à dividende élevé
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RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
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La Financière de L’Echiquier (LFDE) a liquidé le fonds Echiquier QME ce vendredi 12 septembre. Ce fonds, lancé en août 2015, s’appuyait sur une méthode de gestion quantitative propriétaire appliquant de manière systématique des stratégies de trading sur actions, taux, obligations souveraines et devises. Il était géré par Ludovic Berthe et Alexis Grutter et était le dernier fonds alternatif de LFDE. -
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Budget : Sophie Binet (CGT) accuse Sébastien Lecornu de ne pas rompre avec la ligne de l'Elysée
Paris - La secrétaire générale de la CGT Sophie Binet a accusé lundi le Premier ministre, Sébastien Lecornu, de ne poser à ce stade «aucun acte de rupture», tandis que ses homologues de la CFTC et de la CFE-CGC se sont montrés plus optimistes à l’issue de leurs entretiens à Matignon. «Ce rendez-vous confirme plus que jamais la nécessité de se mobiliser le 18 (septembre) puisque le Premier ministre, à ce stade, parle de rupture dans ses discours, mais ne pose aucun acte de rupture, notamment vis-à-vis de l’Elysée», a dénoncé à la mi-journée Sophie Binet. «A part les deux jours fériés, il n’a renoncé à rien dans le musée des horreurs qu’Emmanuel Macron avait prévu dans son projet de budget». Sébastien Lecornu a annoncé samedi le retrait de la proposition de suppression de deux jours fériés et dit miser sur «le dialogue avec les partenaires sociaux» pour trouver «d’autres sources de financement» pour le budget. La numéro un de la CGT, reçue à Matignon après Marylise Léon de la CFDT vendredi, a dit avoir exigé comme «première rupture» l’abrogation de la réforme des retraites, «blessure démocratique et sociale qui ne passe pas et qui est à l’origine de la situation d’instabilité politique actuelle». Mais elle a expliqué à la presse avoir «senti que le Premier ministre n'était absolument pas déterminé à agir» sur l’abrogation de l'âge de départ à 64 ans. «S’il n’y a pas d’abrogation de cette réforme des retraites, son gouvernement, comme les précédents, tombera», a-t-elle prévenu. «Il ne m’a donné aucune garantie qu’il n’y ait pas de nouvelle réforme de l’assurance chômage», a également déploré Mme Binet, citant également, entre autres, la suppression des 3.000 postes de fonctionnaires et l’augmentation des franchises médicales comme points sur lesquels des ruptures sont attendues. Plus «optimiste», Cyril Chabanier (CFTC) a «entendu un Premier ministre qui (...) comprend que l’année blanche peut poser certaines difficultés et qui est prêt à nous écouter, à entendre nos propositions, en tous cas pour que les plus fragiles et les plus modestes puissent être exclus des mesures les plus difficiles dans l’effort de redressement budgétaire». «On a senti un Premier ministre prêt à bouger les lignes», a-t-il poursuivi, tout en maintenant son appel à manifester aux côtés de ses homologues jeudi. Quid d’une nouvelle réforme de l’assurance-chômage ? «Sur l’assurance chômage, ce n’est pas un dossier prioritaire pour le Premier ministre, ce n’est pas une priorité pour lui de faire une nouvelle réforme», a rapporté Cyril Chabanier. «On a eu un entretien avec le Premier ministre quand même assez détendu, agréable et surtout il nous a fait part de son engagement pour remettre en selle le paritarisme des corps intermédiaires et des partenaires sociaux», a salué devant la presse le N°1 de la CFE-CGC, François Hommeril. «Cet entretien je pense, en tout cas je veux l’espérer, ouvre des perspectives», a-t-il ajouté, même si le Premier ministre n’a apporté aucune précision sur les pistes d'économies budgétaires à venir. Ces entretiens se déroulent sous la pression de la journée de mobilisation syndicale prévue jeudi, lors de laquelle les syndicats espèrent dépasser la mobilisation de près de 200.000 personnes du 10 septembre, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. © Agence France-Presse -
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Tensions Espagne-Israël après la contestation propalestinienne et appel à l'exclusion sportive d'Israël
Madrid - Au lendemain de la fin chaotique de La Vuelta à Madrid, le Premier ministre espagnol a campé sur ses positions lundi, réaffirmant son «admiration» pour les manifestants propalestiniens ayant perturbé l'épreuve, et suggérant d’exclure d’Israël des compétitions sportives «tant que la barbarie continuerait» à Gaza. «Nous ressentons, comme je l’ai dit hier, une profonde admiration et un grand respect pour nos sportifs, pour les cyclistes du Tour d’Espagne», a déclaré le chef du gouvernement espagnol lundi lors d’une réunion avec des députés et des sénateurs socialistes. «Mais nous ressentons également un immense respect et une profonde admiration pour une société civile espagnole qui se mobilise contre l’injustice et défend ses convictions de manière pacifique», a-t-il ajouté, reprenant des mots qu’il avait déjà utilisés dimanche matin en évoquant les manifestants propalestiniens qui ont perturbé l'épreuve cycliste quasiment tous les jours pour protester contre la participation de l'équipe Israel-Premier Tech. Le chef du gouvernement, à la tête d’une coalition de gauche, très critique à l'égard du gouvernement de Benjamin Netanyahu, a également suggéré qu’Israël ne devrait participer à «aucune compétition internationale (...) tant que la barbarie continuerait» à Gaza, évoquant l’exemple de la Russie et des sanctions qui visent ses sportifs depuis l’invasion de l’Ukraine. Son ministre de la Culture Ernest Urtasun a aussi estimé que l’Espagne devrait boycotter la prochaine édition du concours Eurovision de la Chanson si Israël n’en était pas exclu. «Honte pour l’Espagne» Dimanche, des manifestants propalestiniens ont envahi le parcours de l’ultime étape du Tour d’Espagne cycliste, en plein Madrid, contraignant les organisateurs à y mettre prématurément un terme. Ces incidents ont valu dès dimanche soir au chef du gouvernement espagnol de nouvelles virulentes critiques du ministre des Affaires étrangères israélien Gidéon Saar. Il l’a accusé d’avoir «encouragé les manifestants à sortir dans les rues» et qualifié son gouvernement de «honte pour l’Espagne». Les relations entre Israël et l’Espagne, qui a reconnu l’Etat de Palestine en 2024, sont particulièrement tendues depuis plusieurs mois. Elles se sont encore dégradées il y a une semaine avec l’annonce par Pedro Sánchez de nouvelles mesures pour «mettre un terme au génocide à Gaza», dont un embargo sur les contrats d’armement avec Israël -une mesure qui s’est traduite notamment par l’annulation d’un contrat de près de 700 millions d’euros pour des lance-roquettes de conception israélienne, selon des documents officiels consultés lundi par l’AFP. Sur le plan intérieur, l’opposition de droite a aussi multiplié depuis dimanche les critiques à l'égard du gouvernement et de Pedro Sánchez, accusés de n’avoir pas su gérer les manifestations autour de la course cycliste, voire de les avoir incitées. «Le gouvernement a non seulement permis, mais aussi encouragé l’interruption de la Vuelta, provoquant ainsi une honte internationale relayée dans le monde entier», a fustigé dimanche soir Alberto Nuñez Feijoó, le chef de file du Parti populaire (PP, droite). «Inacceptable» Signe que les manifestations de dimanche ont marqué les esprits, la Fédération des Communautés Juives d’Espagne (FCJE) a réagi lundi - elle était restée muette jusqu'à présent, alors que les manifestations propalestiniennes ont émaillé quasi quotidiennement La Vuelta depuis l’arrivée de la course sur le territoire espagnol. «Toute permissivité face à la violence constitue un recul démocratique et un grave risque pour la cohésion sociale», a-t-elle fustigé, jugeant «intolérable (...) qu’on sème l’hostilité envers la communauté juive», composée de 45.000 personnes dans le pays selon elle. Dans un pays où la cause palestinienne est très populaire, la Vuelta a été perturbée à de nombreuses reprises par des actions de militants propalestiens demandant l’exclusion de l'équipe Israel-premier Tech, provoquant parfois la chute de certains coureurs ou obligeant à raccourcir des étapes. «Ce qu’il s’est passé est totalement inacceptable», a déploré lundi le directeur du Tour d’Espagne cycliste Javier Guillén, s’inquiétant de la bonne tenue de futures étapes du Tour de France, dont le départ se fera à Barcelone en 2026. «D’ici au Tour de France, espérons que le conflit à Gaza soit résolu», a-t-il lâché. Lundi, l’Union cycliste internationale a quant à elle dit lundi «regretter» le soutien du gouvernement espagnol aux manifestations propalestiniennes lors du Tour d’Espagne qui est, selon elle, «de nature à remettre en cause la capacité de l’Espagne à accueillir de grands événements sportifs internationaux». Marie GIFFARD © Agence France-Presse