Banques et assureurs font leurs comptes

La restructuration volontaire de la dette grecque, assortie d’une perte de 21%, devrait coûter aux grandes banques françaises autour de 2,4 milliards d’euros. Du côté des assureurs, la capacité à transférer une partie des pertes aux assurés et à puiser dans des provisions générales devrait minimiser l’impact sur les fonds propres, selon les analystes.

Un évènement L’AGEFI

Plus d'articles du même thème

ETF à la Une

Contenu de nos partenaires

A lire sur ...