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Les obligations souveraines à long terme ont subi une nouvelle correction violente début septembre. Les facteurs fondamentaux comme les facteurs techniques ne permettent pas d’envisager un changement de la tendance.
Un jugement fédéral du 29 août a statué en appel que le président Donald Trump n’avait pas le pouvoir d’instaurer une grande partie des taxes douanières mises en place sur les produits importés aux Etats-Unis depuis le mois de janvier. La Cour suprême devra trancher en dernière instance.
Nvidia, Alphabet, Meta et Microsoft continuent de tirer le secteur tech. Les performances d'Apple, Amazon et surtout Tesla sont plus mitigées. Pour toutes ces valeurs, les niveaux de valorisation inquiètent à nouveau.
Les places boursières ont retrouvé leurs sommets, avec les anticipations de baisses des taux de la Fed. Si des opportunités existent, comme sur les valeurs moyennes, de nouveaux risques incitent les investisseurs à la prudence, sur des marchés bien valorisés.
Pour le responsable mondial de la recherche au sein de Natixis CIB, la place du billet vert sur les marchés de changes et dans les réserves mondiales est vouée à s’affaiblir, pour des raisons conjoncturelles et structurelles.
Alors que le rendement des obligations Microsoft est passé sous celui des bons du Trésor américains, et que de nombreux autres émetteurs traitent non loin des dettes souveraines, certains se demandent si les obligations des entreprises les mieux notées n’ont pas aujourd’hui la caractéristique d'actifs refuges.
En temps de stress sur les marchés, la Fed inonde le monde de dollars. Ses contreparties s'inquiètent aujourd'hui du maintien de ce filet de sécurité essentiel à la stabilité financière si Donald Trump décidait d'empiéter sur l'indépendance de la banque centrale.
Il manque à la monnaie unique un stock d'actifs suffisamment bien notés et liquides pour servir de refuge aux investisseurs mondiaux en période de stress des marchés. L'idée d'une mutualisation partielle des dettes souveraines refait surface.
Le texte porté par le député Romain Daubié facilite les transformations d’immeubles tertiaires en logements. Si de nouvelles dispositions sont saluées par le secteur immobilier, les acteurs pointent une boîte à outils imparfaite.
Certains immeubles laissés vacants donnent l’occasion à leurs propriétaires d’accueillir pour un temps limité des événements culturels, manifestations associatives, mais aussi des artistes, travailleurs indépendants, artisans… Derrière cette mise à disposition, il s’agit aussi d’étudier les usages du bureau de demain.
Cas pratique. Le groupe de promotion immobilière et de développement Coffim a pris cinq ans et quelques risques pour transformer un ancien garage en un actif mixte combinant logements et bureaux, au pied de Montmartre dans le 18e arrondissement parisien.
Les matières premières et l’énergie affichent une légère progression après un début d’année encore volatil. Mais les écarts sont importants entre l’or, qui brille, et le pétrole, qui continue de sombrer.
Les soubresauts géopolitiques masquent provisoirement un excès d’offre d'or noir qui pourrait ramener le prix du baril sous les 50 dollars dans quelques trimestres.
Le métal précieux a atteint un record de 3.500 dollars l’once en pleine dispute commerciale. Il plafonne mais se maintient au plus haut. Ses perspectives restent intactes compte tenu des incertitudes macroéconomiques, de la méfiance vis-à-vis du dollar et des risques géopolitiques.
Entre hausse de production, chute du dollar et rééquilibrage des flux commerciaux, il n’est pas sûr que les produits agricoles souffrent énormément des tarifs douaniers réciproques imposés par les Etats-Unis et la Chine.
Le lancement de ce jeu prévu en 2026 constituera un événement économique majeur pour le secteur. Le dernier opus s'est vendu à 215 millions d'exemplaires et a généré plus de 10 milliards de dollars de revenus.
Les studios de création sont loin d'être les seuls à profiter des revenus des jeux. Les éditeurs ne sont jamais loin, et les fabricants de console ou les plateformes de distribution comme Steam en prennent une part non négligeable.
En dégainant sa Switch 2, le 5 juin, le constructeur japonais a relancé la bataille des consoles de jeux vidéos. Quatre jours après, son rival Microsoft dévoilait sa toute première console portable, la Xbox Ally, qui sera vendue lors des fêtes de fin d’année.
La reprise de l’éditeur pour plus de 70 milliards de dollars a propulsé le groupe informatique parmi les premiers acteurs des jeux vidéo dans le monde et permis de compenser les difficultés de sa console Xbox.