
Veolia avance sur le front des cessions d’actifs

Un nouvel acquéreur potentiel s’est déclaré intéressé par les parts de Veolia Environnement dans sa filiale de transports en commun, Veolia Transdev, dont il souhaite se séparer. Cet intérêt s’ajoute à celui du fonds Cube Infrastructure qui a déjà déposé une offre. Le groupe présidé par Antoine Frérot se dit également confiant sur l’avancée du processus de vente de ses activités dans les déchets solides aux Etats-Unis et dans l’eau régulée au Royaume-Uni. «Nous avons reçu des offres non engageantes pour les deux actifs et je peux vous dire que nous ne sommes pas déçus en terme de valorisation», a commenté Pierre-François Riolacci, le directeur financier de Veolia. Le groupe prévoit de céder pour 5 milliards d’euros d’actifs afin de ramener son endettement financier net en dessous de 12 milliards. Au premier trimestre, le chiffre d’affaires de Veolia a progressé de 3,4% à périmètre constant à 7,8 milliards d’euros. Son résultat opérationnel récurrent a baissé de 12% à 543,5 millions d’euros.
Plus d'articles du même thème
-
Chahine Capital fusionne avec Dynasty AM
Les deux filiales de gestion du groupe Iris Finance International vont former un ensemble dénommé Irivest Investment Managers. -
UniCredit choisit BNP Paribas pour ses services de conservation
La banque italienne rompt avec ses deux partenaires bancaires français historiques pour ces services, Société Générale et Crédit Agricole. -
Mandarine Gestion recrute un commercial d’OFI AM
Gauthier Duval est nommé responsable commercial distribution pour la Région Nord-Ouest, Nord et Grand-Est.
Sujets d'actualité
ETF à la Une

Xtrackers lance un ETF sur la défense
- A la Société Générale, les syndicats sont prêts à durcir le ton sur le télétravail
- Revolut s’offre les services de l’ancien patron de la Société Générale
- Boeing essaie de contourner la grève en cours dans ses activités de défense
- Les dettes bancaires subordonnées commencent à rendre certains investisseurs nerveux
- Mistral AI serait valorisé 12 milliards d’euros par une nouvelle levée de fonds
Contenu de nos partenaires
-
Séparation
Royaume-Uni : Keir Starmer s’éloigne de ses alliés syndicalistes
Outre-Manche, le gouvernement travailliste s'ancre un peu plus au centre après son remaniement. Au risque de se couper d’un soutien historique du parti -
Allemagne : La conquête de l’Ukraine ne serait « qu’un début » pour la Russie, alerte le chancelier Merz
Berlin - La conquête de l’Ukraine ne serait «qu’un début» pour la Russie de Vladimir Poutine, dont les attaques hybrides contre l’Allemagne sont «de plus en plus intenses et agressives», a accusé lundi le chancelier allemand Friedrich Merz. Cette mise en garde intervient alors que le chef du gouvernement allemand a fait du réarmement de l’Europe une priorité absolue, afin que le continent puisse faire face à la menace russe, mais aussi s’adapter au désengagement américain, depuis l'élection de Donald Trump. «Tout indique que le plan impérialiste de Poutine ne se terminerait pas avec la conquête de l’Ukraine, mais que ce ne serait qu’un début», a-t-il déclaré lors de la conférence annuelle réunissant les ambassadeurs allemands. L’Allemagne assiste «quotidiennement à des attaques hybrides de la Russie de plus en plus intenses et agressives», visant notamment ses «infrastructures», a aussi accusé M. Merz. Berlin observe aussi «les provocations» de Moscou «en mer du Nord et en mer Baltique», a ajouté le chancelier, pour qui «la Russie et la Chine tentent de sécuriser des sphères d’influence en Europe du Sud-Est». Pour M. Merz, «un nouveau conflit systémique a déjà éclaté entre les démocraties libérales et un axe des autocraties», et «ce que nous appelions l’ordre mondial libéral est désormais sous pression de multiples côtés». © Agence France-Presse -
Crise de régime
« Diagnostic vital », « tohu-bohu », « poupées vaudou »... : avant le vote de confiance, les 20 punchlines de François Bayrou pour éviter la chute
En propos liminaire, devant les députés, le Premier ministre François Bayrou a affirmé avoir «voulu» cette «épreuve de vérité». Il devrait être renversé ce lundi à l’issue du vote de confiance à l’Assemblée nationale