
Epargne salariale
Guy Marchal
Chaque 22 du mois, le directeur général de Deutsche Bank, Christian Sewing, dépensera 15 % de son salaire net dans l’achat d’actions de son entreprise. Il va commencer ce mois de septembre. Concrètement, il se portera acquéreur de 21.250 euros de titres de la banque tous les mois, et ce jusqu’à la fin de l’année 2022. Une quarantaine de mois, donc un investissement total de 850.000 euros. De l’altruisme et de la foi en l’avenir à la fois. Quand on dispose d’un salaire net de plus de 140.000 euros...
Un évènement L’AGEFI
PRIVATE EQUITY FRANCE
Plus d'articles Banque & Assurance
-
Incertitudes chez Credit Suisse à Paris après le rachat forcé par UBS
Les salariés de Credit Suisse Paris craignent pour leur avenir professionnel alors que la direction tarde à clarifier la situation. -
La ligue de football professionnel va se lancer dans l’auto-assurance
Exclusif. La LFP a déposé un dossier d’agrément pour créer sa captive de réassurance, qu’elle espère opérationnelle dès le 1er juillet 2023. La décision s'explique par le durcissement du marché de l'assurance des entreprises. -
La productivité, un casse-tête pour la gestion extra-financière
La notion de productivité pointe directement le volet «social» de l’approche ESG. Les gérants imaginent de nouvelles grilles d’analyse.
Contenu de nos partenaires
Les plus lus de
- La Société Générale présente sa nouvelle direction autour de Slawomir Krupa
- Credit Suisse entraîne le secteur bancaire européen dans sa chute
- Les actions chutent avec les banques américaines
- L’électrochoc SVB met la finance sous tension
- Credit Suisse, trois ans de descente aux enfers
- Les gérants prennent la mesure de la persistance de l’inflation
- Silicon Valley Bank : la chute éclair de la banque des start-up
- Slawomir Krupa sort la Société Générale du brouillard
- Chute de SVB : les Etats-Unis garantissent les dépôts et HSBC rachète les actifs anglais
A lire sur ...
-
Editorial
Motion de censure: Macron et le poison des trois paradoxes
Premier paradoxe, démontrer qu'une majorité alternative n'existe pas ne renforcera pas pour autant l'actuelle majorité relative, abîmée par trois mois d'hystérie sur les retraites -
Sous haute tension
Les banques européennes soumises à un stress test grandeur nature
Les opérations de sauvetages menées tambour battant en Suisse et aux Etats-Unis peinent à convaincre les investisseurs -
Faire durer le plaisir
Motion de censure: le supplice chinois de la macronie
Après la journée chaotique de jeudi, Elisabeth Borne devra remonter à la tribune de l'Assemblée lundi, pour l'examen d'une motion de censure transpartisane visant à faire tomber son gouvernement. Les macronistes, trompés par LR, ont dû reprendre leurs esprits et leur calculatrice