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RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
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L'ETF d'Ark Invest, le casse estival de l'IPO de «Bullish»
L’introduction en Bourse de la plateforme crypto, cet été à Wall Street, a donné lieu à un tour de «passe-passe» peu glorieux, avec le recours à une mécanique légale mais déséquilibrée propre aux ETF, explique Denis Alexandre, fondateur de DAA Advisor.
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Sanctions contre la Russie: Trump prêt à sévir après l’attaque inédite sur l’Ukraine
Washington - Le président américain Donald Trump s’est déclaré prêt dimanche à imposer de nouvelles sanctions contre la Russie après une attaque aérienne d’une ampleur sans précédent contre l’Ukraine qui a touché pour la première fois le siège du gouvernement. Interrogé à la Maison Blanche par un journaliste sur le fait de savoir s’il était prêt à lancer une nouvelle phase de sanctions contre la Russie, le président américain a répondu: «Oui, je le suis». «Je ne suis pas content. Je ne suis pas content de la situation dans son ensemble», a par la suite insisté M. Trump auprès de journalistes qui l’interrogeaient sur l’attaque survenue dimanche matin, ajoutant: «Je ne suis pas ravi de ce qui se passe là-bas». Dans la nuit de samedi à dimanche, la Russie a tiré 810 drones et 13 missiles sur l’Ukraine, selon l’armée de l’air ukrainienne. Il s’agit de l’attaque aérienne la plus importante depuis le début de la guerre en février 2022. Plusieurs autres régions du pays ont été touchées. Au total, cinq personnes ont été tuées, dont deux à Kiev. Au moins deux autres personnes ont trouvé la mort dans des attaques locales séparées, selon les autorités. L’attaque contre Kiev a endommagé pour la première fois le bâtiment où siège le gouvernement ukrainien, au coeur de la capitale. L’armée russe, comme elle le fait généralement, a assuré n’avoir visé que «des sites du complexe militaro-industriel ukrainien et des infrastructures de transport». Elle a affirmé avoir frappé des sites de production de drones et des aérodromes militaires dans l’est, le sud et le centre de l’Ukraine, ainsi que deux entreprises industrielles à la périphérie de Kiev. «Crime délibéré» L’Ukraine compte «sur une réponse forte de la part des Etats-Unis», a souligné sur les réseaux sociaux le président ukrainien Volodymyr Zelensky. «De tels meurtres aujourd’hui, quand la diplomatie réelle aurait pu commencer il y a longtemps, sont un crime délibéré et une prolongation de la guerre», avait-il auparavant déclaré. La Première ministre ukrainienne, Ioulia Svyrydenko, a dit que «le monde doit répondre à cette destruction non seulement par des mots, mais par des actions.» «Nous devons renforcer la pression des sanctions, principalement contre le pétrole et le gaz russes», a-t-elle plaidé, réclamant également des «armes». Dimanche, le ministre américain des Finances Scott Bessent a assuré que les Etats-Unis étaient «prêts à faire monter la pression» sur la Russie, appelant les Européens à faire de même. Donald Trump a notamment menacé de s’en prendre aux pays qui achètent des hydrocarbures à la Russie afin de saper le financement de son effort de guerre, et a déjà frappé l’Inde de surtaxes douanières importantes pour ce motif. Le président américain est «très mécontent» des achats de pétrole russe par des pays de l’UE, a par ailleurs affirmé Volodymyr Zelensky jeudi. «Si les Etats-Unis et l’UE peuvent se mettre d’accord sur davantage de sanctions, sur des droits de douane sur les pays qui achètent le pétrole russe, l'économie russe va s’effondrer. Et cela va mener le président Poutine à la table des négociations», a insisté Scott Bessent dimanche. © Agence France-Presse -
Gaza : l’armée israélienne intensifie les évacuations et prépare de nouveaux bombardements
Jérusalem - L’armée israélienne a appelé dimanche la population à évacuer les environs d’une tour située dans le sud-ouest de la ville de Gaza, en prévision d’un bombardement à venir sur cet immeuble, au lendemain d’une annonce similaire. «Alerte urgente aux habitants de la ville de Gaza [...] et en particulier à ceux qui se trouvent dans l’immeuble Al-Rouya [...] ou dans les tentes avoisinantes», annonce un message diffusé sur les réseaux sociaux par le colonel Avichay Adraee, porte-parole arabophone de l’armée, accompagné d’une vue aérienne montrant l’immeuble marqué en rouge dans son environnement. «Les forces [israéliennes] attaqueront le bâtiment prochainement en raison de la présence d’infrastructures terroristes [du mouvement islamiste palestinien] Hamas à l’intérieur ou à proximité», ajoute le colonel Adraee. Le même message avait été diffusé samedi mais la tour n’a pas été frappée depuis cette annonce. Vendredi et samedi, les forces israéliennes, après un appel à les évacuer, ont détruit deux autres tours d’habitations à Gaza-ville, accusant le Hamas, qui dénonce des «mensonges», d’utiliser ces bâtiments pour opérer. Samedi, l’armée a appelé la population de Gaza-ville (nord) à évacuer vers la zone déclarée «humanitaire» d’al-Mawassi (sud), qui comprend selon elle des «infrastructures humanitaires», et est approvisionnée en nourriture et médicaments. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a annoncé dimanche une extension des opérations militaires dans et autour de Gaza, dont l’objectif déclaré est de prendre le contrôle de la ville. Il a affirmé qu’environ 100.000 personnes avaient déjà quitté Gaza-ville, la plus grande du territoire palestinien. Selon des estimations récentes de l’ONU, près d’un million de personnes vivent dans et autour de la ville. Ni l’armée ni le gouvernement Netanyahu n’ont officiellement annoncé jusque là le début d’une offensive de grande envergure contre Gaza-ville, approuvée en août. Mais l’armée a intensifié ces dernières semaines ses bombardements ainsi que ses opérations au sol dans et autour de la ville. L’armée affirme contrôler 40% de cette agglomération, qu’elle présente comme le dernier grand bastion du mouvement islamiste palestinien Hamas dans la bande de Gaza ravagée par 23 mois de guerre. Celle-ci a été déclenchée par une attaque sans précédent du Hamas le 7 octobre 2023 contre Israël. © Agence France-Presse -
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Après-Bayrou: Emmanuel Macron face au risque d'impasse
Pour remplacer François Bayrou, le chef de l'Etat cherche un profil susceptible d'éviter une motion de censure, un cas de figure qui ne lui laisserait pas d'autre choix que de dissoudre une nouvelle fois l'Assemblée nationale