p { margin-bottom: 0.08in; } In an interview with Financial Times Fund Management, Laurent Ramsey, CEO of Pictet Funds, expresses regret that in Europe, commissions are shared increasingly to the advantage of fund distributors, and thus to the detriment of management firms. Efama, the European fund and asset management association, of which Ramsey is a member, is currently conducting a study of the level of commissions paid in Europe and how they are shared out. Ramsey hopes that the report, which will be published by summer, will increase transparency about fees, and bring them into line with levels in the United States.
Dans une interview au Wall Street Journal, Yngve Slyngstad, le directeur général du fonds norvégien, le deuxième plus gros fonds souverain au monde, pense que les rendements des obligations des pays du Sud sont devenus plus attrayants l’an dernier et qu’ils vont continuer à s’améliorer en 2011, grâce en partie aux mesures gouvernementales. Le Pension Fund Global a vendu près de la moitié de ses investissements obligataires des pays du Sud de l’Europe en 2009 mais en a racheté une partie en 2010.
In an interview with Newsmanagers, Maroun Jalkh, head of business development, marketing and distribution at Neuflize Private Asset, an affiliate of the private bank Neuflize OBC, founded in 2002 by François Mouté, discusses the merger with Fontenay Gestion. He also describes the future plans of the management firm, 52% of whose assets are managed for external clients.
Lors de la deuxième table ronde amLeague-Newsmanagers, qui s'est tenue mardi 15 février, les investisseurs présents ont reconnu que la performance des gérants était, pour eux, l'information principale dans le cadre du championnat amLeague, comparée notamment à d'autres indicateurs communiqués par ailleurs. Auparavant, à la lumière d'une analyse des portefeuilles en lice réalisée par bfinance, des asset managers ont pu expliquer leurs résultats et leurs parcours depuis le début de la compétition.
Lors de la deuxième table ronde amLeague-Newsmanagers, qui s'est tenue mardi 15 février, les investisseurs présents ont reconnu que la performance des gérants était, pour eux, l'information principale dans le cadre du championnat amLeague, comparée notamment à d'autres indicateurs communiqués par ailleurs. Auparavant, à la lumière d'une analyse des portefeuilles en lice réalisée par bfinance, des asset managers ont pu expliquer leurs résultats et leurs parcours depuis le début de la compétition.
«C’est vrai, nous avons des performances négatives sur le court terme depuis le début de l’année alors que les marchés montent», admet Didier Saint-Georges, depuis plus de vingt ans l’un des conseillers les plus proches d’Edouard Carmignac, dans une interview à Il Sole – 24 Ore. «Peut-être le fait que nous perdions est la preuve que Carmignac n’est pas Madoff, comme certaines mauvaises langues voudraient l’insinuer», poursuit-il. «Nous perdons parce que nous avons beaucoup parié sur les entreprises chinoises et indiennes, qui depuis le début de l’année perdent de la valeur. Puis nous nous méfions des banques européennes, sur lesquelles les autres reviennent et qui donc remontent (…). Nous allons à contre-courant. Nous verrons à l’avenir qui avait raison», explique-t-il encore au journal italien, qui consacre deux articles à la société de gestion de la Place Vendôme.
Moody’s s’attend à «des défaillances supplémentaires» sur le marché des obligations municipales américaines, rapporte le quotidien qui se réfère à une interview du directeur général de l’agence de notation Raymond McDaniel. Ce dernier n’exclut pas totalement la possibilité d’un risque systémique lié à ces défaillances.
Le constructeur allemand envisage de produire des voitures en Chine ou aux Etats-Unis, a annoncé son président du directoire dans une interview au journal. Pour mettre ces projets en oeuvre, Porsche pourrait demander à Volkswagen avec qui il projette de fusionner, de l’autoriser à produire dans ses usines, déclare Matthias Müller.
La neuvième livraison du Capital-Fonds-Kompass publiée par le mensuel allemand Capital (numéro de mars 2011), publie un classement des 100 meilleures sociétés de gestion dans deux catégories, l’une pour les «grandes» maisons, l’autre pour les spécialistes. Le palmarès a été établi avec l’aide de Feri EuroRating Services pour la partie qualité des fonds et expérience/stabilité de l'équipe de gestion, tandis que Steria Mummert Consulting analysait le service à la clientèle et l’offre Internet des sociétés.Les vainqueurs avec cinq étoiles dans la catégorie grandes sociétés sont Allianz Global Investors, Union Investment, Fidelity, LBB-INVEST, BNY Mellon Asset Managment, J.P. Morgan Asset Management und Franklin Templeton Investments. Dans celle des spécialistes de taille plus petite, le classement a mis en exergue J O Hambro Capital Management, DJE Kapital et Sauren Finanzdienstleistungen.Steria Mummert souligne que les grandes maisons ont réalisé des progrès en matière de services clients, notamment Hansa Invest, DWS et Allianz Global Investors. A titre d’exemple, dans 50 % des cas il est répondu en moyenne sous 24 heures aux courriels des clients ; la proportion n'était que de 30 % l’année précédente.En revanche, souligne le consultant, la situation s’est dégradée notamment dans les sociétés spécialisées qui dirigent leur communication vers la clientèle professionnelle (B2B) et négligent le client final. Un gestionnaire sur 10 protège désormais son site par un login ou dissuade les internautes avec une procédure de décharge de responsabilité.Steria Mummert considère qu’il s’agit d’une erreur parce que la quasi-totalité des clients particuliers se renseignent d’abord sur Internet, même si l’acte d’achat intervient postérieurement au guichet de leur banque.
Le plus important répartiteur pharmaceutique européen pourrait consacrer «au minimum» 1 milliard d’euros à des acquisitions, selon le Financial Times Deutschland qui cite une interview accordée par le directeur général du groupe Fritz Oesterle.
On Wednesday, it was reported in Agefi that Federal Finance has appointed Sébastien Barbe, former head of the bond, convertibles and structured unit at Rothschild & Cie Gestion, as deputy CEO at Schelcher Prince Gestion, the asset management firm specialised in credit and convertibles in which it has a 34% stake since June 2010, and in which it is planning to increase its stake to 51% in July. In an interview with Newsmanagers, Christian Prince, president and CEO of Schelcher Prince Gestion, explains the logic behind the appointment.
Après des débuts difficiles marqués par la crise financière puis par l’affaire Lehman Brothers, Laffitte Capital Management, société de gestion créée en 2007, a enfin passé une année «normale» en 2010, selon David Lenfant, associé fondateur de la structure avec trois autres professionnels des marchés.Son fonds phare, le Laffitte Risk Arbitrage, dédié à l’arbitrage de fusions et acquisitions sur la zone euro et les Etats-Unis, approche désormais les 100 millions d’euros d’encours. Le second fonds Laffitte Equity Arbitrage, lancé fin 2009, n’est qu’à environ 6 millions d’euros d’encours. Mais la société de gestion a bien l’intention de le commercialiser plus activement cette année. Au total, les encours de la structure représentent 127,3 millions d’euros, soit près du triple de l’actif sous gestion à fin 2009 (45,6 millions). Ils sont gérés à parts égales pour le compte des institutionnels, des particuliers et de la multigestion. L’international représente par ailleurs 20 % des encours. La société a passé des accords de distribution en Autriche, en Suisse et au Luxembourg et envisage maintenant de se développer en Europe du Sud. L’objectif affiché est de parvenir à 250 millions d’euros en 2011. Pour accompagner la croissance des encours, Laffitte CM met l’accent sur la gestion et vient de recruter un cinquième gérant, un ancien de CooperNeff, qui intervient sur les deux fonds. Il gère notamment la poche situations spéciales de Laffitte Equity Arbitrage, ce qui va conduire à une augmentation de la part de ces positions dans le fonds, et à une gestion par conséquent plus dynamique.Un sixième gérant plus junior devrait être embauché dans le courant de l’année. Au rang des projets, la société envisage également de lancer un troisième fonds.
Ignis a décidé de réorganiser son équipe gérant les actions britanniques, suite aux contre-performances de ses fonds «UK Life Company».Cela intervient dans le sillage de l’arrivée de Mark Lovett, nommé directeur des investissements actions en octobre 2010, qui a passé en revue ses équipes. Neil Richardson, le responsable des actions britanniques, et quatre autres membres de l’équipe actions UK (Gary McAleese, Finlay MacDonald et Jon Stewart) vont quitter leurs postes actuels. Stacey Cassidy va aussi être évincée de l’équipe, mais rejoindra celle sur l’Asie Pacifique. Quant aux autres, ils sont consultés pour voir s’il existe des opportunités dans la nouvelle structure ou dans le groupe, précise Ignis. Mark Lovett prendra le poste de responsable des actions britanniques, qu’il cumulera avec ses fonctions de CIO actions, et sera directement responsable de la gestion des fonds Life Co. La gestion des fonds retail – qui affichent de bonnes performances – reste inchangée.
Le Trésor britannique a décidé d’appliquer dès 2011 le taux plein de 0,075% pour la taxe instituée l’an dernier sur les passifs bancaires. Ce taux devait être à l’origine de 0,05 % cette année, avant de passer au taux plein en 2012. Londres espère ainsi lever 800 millions de livres supplémentaires, ce qui portera le produit de la taxe bancaire à 2,5 milliards de livres au titre de l’exercice fiscal 2011/2012. Le Trésor justifie cette mesure par l’amélioration de la santé des banques britanniques et par le fait que les nouvelles règles de solvabilité et de liquidité de Bâle 3 sont désormais connues. L’alourdissement de la taxe intervient aussi en amont de discussions avec les banques pour limiter les bonus et encourager les prêts aux entreprises.
Dans une longue interview à la Frankfurter Allgemeine Zeitung, Jim O’Neill, président de Goldman Sachs Asset Management indique que, dans un contexte de croissance économique élevée, le gestionnaire américain va miser cette année sur les produits actions des pays développés comme émergents. Il s’intéressera «naturellement» aussi à des stratégies qui permettent de limiter les risques.Jim O’Neill se dit par ailleurs prudent en ce qui concerne les matières premières, notamment à cause de la Chine, car ce pays se transforme et sa demande d'énergies alternatives augmente tandis que par ailleurs des efforts sont déployés pour augmenter l’efficacité énergétique. A cela s’ajoute que plusieurs matières premières sont déjà trop chères maintenant. Quant à l’or, Jim O’Neill ne l’aime pas et il estime que son prix, après avoir déjà atteint son pic, va continuer de baisser.
p { margin-bottom: 0.08in; } In an interview with Wirtschaftswoche, Joachim Nagel, a member of the board at the Bundesbank, says that all financial sector actors (banks, hedge funds, stock markets and trading platforms) will need to jointly lay out a code of conduct for high frequency trading. If, after 12 to 16 months, actors have not reached agreement, central banks will regulate this activity. The replacement for Thilo Sarrazin as head of the “markets and IT” division of the Bundesbank points to a minimal ownership period for contracts as a potential solution, as well as a potential limit on the volume of flash trades, which now represent as much as 40% of trading volumes on the Deutsche Börse.
Dans une interview à la Wirtschaftswoche, Joachim Nagel, membre du directoire de la Bundesbank, estime que tous les acteurs du monde financier (banques, hedge funds, Bourses et plates-formes de négociation) doivent élaborer ensemble un code de conduite pour les transactions à haute fréquence. Si, au bout de 12 à 16 mois, les acteurs ne parviennent pas à un accord, les Banques centrales vont réguler cette activité.Le remplaçant de Thilo Sarrazin à la tête de la division «marchés et informatique» de la Bundesbank évoque comme solution la possibilité d’imposer une durée minimale de détention pour les contrats, mais aussi la possibilité de plafonner le volume de ces «flash trades», qui représentent pourtant 40 % des transactions sur la Deutsche Börse.Enfin, Joachim Nagel juge «problématique» que certaines grandes maisons aient installé leur super-ordinateur à proximité immédiate de celui la Deutsche Börse afin de s’assurer quelques millisecondes d’avance sur leurs concurrentes. Il est absurde à son avis que ce soit la longueur de la ligne jusqu'à l’ordinateur central qui fasse le succès d’une stratégie de marché.
Highbridge Capital, la société de hedge funds détenue par JPMorgan, a recruté Serge Adam pour diriger son pôle Principal Strategies et prépare seule le lancement d’un fonds crédit, selon le Financial Times. Cela intervient une semaine après que la société se soit séparée de son équipe «event trading» dirigée par Jason Esralew.
p { margin-bottom: 0.08in; } In 2010, assets at JPMorgan Asset Management in France increased USD260m to total USD4.5bn, due to net subscriptions.In an interview at the JPMAM annual conference on 3 February, Karine Szenberg, CEO of JPMAM in France, told Newsmanagers that the presence of institutionals as a proportion of assets at the management firm now comes to 36%, up from about 30% at the end of 2009.The best-selling products in 2010 were emerging markets equities, natural resources, flexible bonds and emerging market debt.In 2011, JPMAM will focus its sales efforts on global strategy bond funds (JPM Global Strategic Bond fund, a best ideas product), emerging market debt in local currencies, and emerging markets, especially Brazil and the Middle East/North Africa.Following the acquisition of Gavea by the group’s affiliate Highbridge (see Newsmanagers of 2 November 2010), the management firm is also now planning to promote Brazilian and Latin American private equity, and the Highbridge “leveraged loans” strategy. It will also have a commodities strategy, alongside Highbridge, in a UCITS-compliant form, and a merger arbitrage product in second half.
Activité de la recherche Voici quelques rencontres et échanges effectués ce mois-ci : ??? Petercam, société de gestion belge pour un point sur sa gamme ??? Rivoli pour sa gestion systématique, ??? Carmignac pour un point sur sa gamme, ??? Cogefi pour le long/short actions, ??? Laffitte pour le risk arbitrage, ??? Avenir Finance pour le global macro.
La Réserve fédérale américaine a annoncé avoir admis Société Générale et MF Global dans le cercle restreint de banques d’investissement et de maisons de courtage autorisées à intervenir sur le marché primaire. Le groupe de «primary dealers», qui contribuent à la mise en œuvre de la politique monétaire de la banque centrale en traitant directement avec la Fed de New York, passe ainsi à vingt membres. Le rôle le plus visible que doivent jouer ces établissements intervient lors d’adjudications d’emprunts du Trésor. Ils sont tenus d’acheter des titres de dette souveraine américains lors de chaque opération lancée par le département du Trésor. Ils peuvent ensuite vendre ces titres sur le marché secondaire. SG et MF Global sont les premiers établissements à obtenir le statut depuis que la Fed a relevé ses exigences l’an passé.
La commission des Affaires économiques et financières du Parlement européen a refusé, hier, d’adouber les trois candidats qui lui étaient soumis pour présider les nouvelles autorités européennes de la banque, de l’assurance et des marchés, rapporte Les Echos. Les eurodéputés s’inquiètent notamment de voir les nouvelles autorités peiner à faire le poids face aux superviseurs nationaux. En outre, les niveaux de rémunération ont été jugés pas compétitifs, d’où un nombre insuffisant de candidatures. Ce refus, précise le quotidien, intervient à 48 heures de la date limite à respecter pour obtenir l’accord des eurodéputés.