» Si le carbone est un risque, un investisseur institutionnel, qui a un devoir fiduciaire vis-à-vis de ses clients ou de ses cotisants, doit le mesurer et le gérer»

Pour le directeur de l’Erafp, l’objectif est de réduire ce qui est imputable à l’homme en matière de réchauffement climatique. Et comme l’a souligné le rapport intitulé Risky Business publié l’an passé le carbone est un risque pour les affaires. Dès lors, selon Philippe Desfossés, l’investisseur institutionnel doit le gérer et le réduire dans ses portefeuilles. Si non, il pourra s’exposer à des poursuites en justice. Depuis deux ans, l’Erafp mesure l’intensité carbone du portefeuille. Dans un premier temps, cela a permis de valider sa politique best in class, qui prend en compte les émissions de CO2 comme filtre de sélection de valeurs.
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