
« L’ESG devient incontournable dans les critères de valorisation »
La parole à… Enguerran de Crémiers, managing director chez Kroll
Virginie Deneuville
Un évènement L’AGEFI
RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
Plus d'articles du même thème
-
Verto lève 330 millions d'euros pour son deuxième véhicule
Le spin-off de New Alpha Asset Management, spécialisé dans le growth equity sur la santé et les logiciels, finalise sa levée de fonds au hard cap, au-dessus de l'objectif initial. 30% du fonds est, d'ores et déjà, déployé. -
EQT met sur les rails un véhicule Eltif 2.0
Le géant du private equity scandinave structure EQT Nexus Eltif Private Equity, un fonds evergreen exposé à ses stratégies de capital parmi lesquelles le capital-risque, le LBO et le growth equity. -
Trade Republic ouvre au grand public le non-coté d'Apollo et d'EQT
Le néocourtier allemand qui vient de franchir le cap des 10 millions de clients en Europe noue, pour l'occasion, un partenariat avec deux géants, Apollo et EQT, permettant à ses clients d'investir à partir d'un euro dans leur fonds evergreen.
Sujets d'actualité
ETF à la Une

BlackRock lance le premier ETF adossé à la méthodologie MSCI World sur la neutralité géographique et sectorielle
Premier fonds listé à commercialiser cette méthodologie MSCI World, l'ETF iShares MSCI World Sector & Country Neutral Equal Weight Ucits vise, selon la société de gestion, un meilleur accès aux entreprises potentiellement sous-évaluées.
Les plus lus
- L’AMF sanctionne Altaroc et ses deux dirigeants à hauteur de 1,3 million d’euros
- Crédit Mutuel Arkéa vend ses 40% dans Swen Capital Partners
- Rubis suscite l’intérêt de CVC et Trafigura
- La réputation du gérant s'impose comme un élément clé dans la sélection de fonds evergreen
- La part du private equity diminue dans les allocations des family offices
Contenu de nos partenaires
A lire sur ...
-
Le cercle des initiés
Bourse : le coup de canif de Trump à la transparence des entreprises– par Alexandre Garabedian
L’Agefi et l’Opinion passent toutes les semaines au laser des entreprises ou des secteurs qui ont fait l’actualité -
«Une provocation ambulante»: Mélenchon s'en prend à Retailleau, qu'il traite d'homme «odieux»
Marseille - Le leader de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon a qualifié jeudi le ministre démissionnaire de l’Intérieur Bruno Retailleau (LR) de «provocation ambulante», d’homme «odieux», en marge de la manifestation à Marseille où il a été député. «Toute action violente ne sert qu’une seule et unique personne, monsieur Retailleau, qui a besoin de la violence, qui a besoin des poubelles qui brûlent, qui a besoin de tout ça pour affirmer son rôle de sauveur de je ne sais quoi. En réalité, cet homme est une provocation ambulante», a-t-il déclaré à la presse, entouré des députés LFI de Marseille Manuel Bompard et Sébastien Delogu. «Cet homme est odieux, il représente une forme de notre pays rassie, rabougrie, haineuse, méfiante contre tout et tout le monde, et qui donne continuellement le sentiment de détester la vie», a-t-il ajouté. Pour lui, «le président de la République ferait bien de le ramener à la raison». S’agissant d’Emmanuel Macron, il l’a accusé : «le président, c’est lui le chaos, et tout ce qu’il y a eu en ce moment est le résultat de son action à lui, pas la mienne», appelant à nouveau à un «départ du président de la République». © Agence France-Presse -
«Une remise en ordre profonde de nos finances publiques»: Eric Ciotti propose un contre-budget de 120 milliards d’économies à Lecornu
Paris - Le patron de l’Union des droites pour la République (UDR) Eric Ciotti, allié du RN, propose au Premier ministre Sébastien Lecornu un contre-budget qui prévoit 120 milliards d'économies à réaliser sur l’immigration, la politique sociale ou encore la contribution de la France au budget de l’UE. Ce contre-budget «vise à réaliser 120 milliards d’euros d’économies structurelles, non par une hausse des impôts mais par une remise en ordre profonde de nos finances publiques», écrit le député des Alpes-Maritimes dans un courrier adressé au chef du gouvernement dont l’AFP a obtenu une copie, avant leur rencontre prévue jeudi à midi à Matignon dans le cadre des entretiens menés par Sébastien Lecornu. Eric Ciotti, qui ne cache pas sa sympathie pour le président ultralibéral argentin Javier Milei élu en promettant de couper dans la dépense publique à la tronçonneuse, propose d’effectuer ainsi des économies près de trois fois supérieures à celle de 44 milliards prévues dans le budget de l’ex-Premier ministre François Bayrou, que l’Assemblée a fait tomber le 8 septembre. Pour y parvenir, il veut «mettre fin aux abus liés à l’immigration», transformer l’aide médicale d’Etat (AME) «en dispositif d’urgence strictement limité», réduire la contribution française au budget européen et l’aide au développement, «réformer en profondeur nos politiques sociales» ou encore moderniser l’assurance chômage et la formation professionnelle. Eric Ciotti, qui se présente aux municipales à Nice en mars, fixe des «lignes rouges claires et non négociables» pour le budget, citant notamment son exigence qu’il n’y ait aucune augmentation des prélèvements obligatoires, ni désindexation des retraites ou diminution de la prise en charge des soins et des médicaments. © Agence France-Presse