Funds People reports that Isabel Ortega, who joined Alken Asset Management in 2007, has been appointed as global head of sales, and on 1 July became a partner at the management firm, joining Nicolas Walewski, Antoine Badel and Marc Festa. Festa has recently been appointed as co-head of strategy.
For the third month in a row, Spanish securities funds have seen net redemptions estimated at EUR960m in May, compared with EUR973m in April, according to statistics from Inverco, the Spanish association of management firms. Total assets have fallen by 1.4% in one month, to a total as of the end of May of EUR135.325bn, compared with EUR137.813bn as of 30 April, and EUR139.017bn as of the end of March.The top seven Spanish asset management firms by asset volumes all saw net outflows in May. This was the case at Invercaixa Gestión (third in the rankings, with EUR16.34bn), which has seen net outflows of EUR269.26m, and at Santander Asset Management, top of the rankings with EUR22.75bn in assets under management, with EUR248.35m in net redemptions. At BBVA Asset Management, number two in the rankings, with EUR20.93bn, net outflows in May totalled EUR162.61m.
Changes to the Italian tax regime will bring the withholding tax on all vehicles to 20%, except for government bonds, which will continue to be taxed at 12.5%.The changes will favour traditional products such as savings accounts, but will work to the disadvantage of futures accounts and directly held securities (equities and corporate bonds), ETFs, and other investment funds, for which the tax rate had previously been 12.5%, Il Sole – 24 Ore reports.In addition, the government is planning to raise the stamp duty on securities accounts to EUR120, from EUR34.20, which could lead savings investors to avoid types of vehicles for which holding a securities account is compulsory.
« Dans les mutuelles et notamment celles de prévoyance qui sont plus exposées, des arbitrages ont été faits vers de l’obligataire pour préserver une gestion d’actif passif correcte tout en n'étant pas trop pénalisé par les pondérations du nouveau calibrage », soutien Christophe Ollivier, conseiller du directeur général de la Mutualité Française. Ce virage vers l’obligataire s'était pourtant déjà amorcé avant Solvency 2 dans les mutuelles. Ainsi en 2008, les mutuelles de santé qui avaient en moyenne, 51% d’obligataires dans leur portefeuille d’actifs, sont passées à 54% l’année suivante. Elles sont, par nature, des organismes très conservateurs qui utilisent très peu de produits dérivés ou sophistiqués. Une tendance qui devrait encore se raffermir avec la nouvelle règlementation qui exige une transparence ligne à ligne qui aura pour conséquence d'évincer les produits complexes ou les fonds de fonds difficiles à gérer. « Classiquement les organismes de retraite étaient plus investis en actions que les organismes de santé puisqu’ils doivent avoir du rendement pour leurs placements retraite, rappelle Christophe Ollivier. Les rendements en placements actions ont donc pour partie, été déplacés vers les rendements en placements obligataires - dont entreprises - avec de bons ratings ». Malgré tout, la Mutualité Française espère que des ajustements du régulateur apporteront davantage de souplesse à la nouvelle règlementation. Ajustements qui permettront de revenir sur d’autres placements et de préserver la rentabilité.
Les récents soubresauts de la crise grecque, sont l’occasion pour ACMN Vie de faire un point complet sur le niveau de ses engagements libellés en dettes souveraines de la Grèce, l’Irlande, du Portugal, de l’Espagne et de l’Italie, bien que ces deux derniers pays restent, à ce jour, en marge de cette crise. Au 31 mai 2011, ACMN Vie gère un encours s'élevant à 10 608 M€ Sur un encours fonds en euros de 9 519 M€, l’encours libellé en dettes souveraines de la Grèce, du Portugal et de l’Irlande s'élève à 130 M€ soit 1,37% de l’encours géré. En incluant l’Italie et l’Espagne cet encours s'élève à 299 M€, soit 3,14% de l’encours géré. La dette grecque représentant quant à elle 0,85% de nos investissements. Vous trouverez ci-dessous l’exposition de nos fonds en euros pays par pays : Grèce : 81,0 M€ Portugal : 31,9 M€ Irlande : 17,5 M€ Italie : 152,3 M€ Espagne : 16,5 M€ De fait, ACMN Vie est l’une des sociétés d’assurance-vie les moins exposées aux risques liés aux dettes souveraines des pays de la Zone Euro.
A la suite de travaux engagés avec l’AFG et l’AFTI sur la tenue du passif, l’AMF a inséré dans le livre IV de son règlement général de nouvelles dispositions qui définissent les différentes tâches liées à la centralisation des ordres et à la tenue du compte émission des OPCVM. Elles clarifient en outre le rôle des différents intervenants, sécurisent le circuit de passation des ordres et donnent une existence juridique aux ordres directs.
Le financement à court terme du pays est assuré, alors que les débats autour d’un deuxième plan d’aide vont se poursuivre dans les prochaines semaines.
L’Italie est encore confrontée à des risques concernant son endettement représentant quelque 120% de son produit intérieur brut (PIB) et ce malgré les nouvelles mesures d’austérité adoptée la veille, a estimé vendredi l’agence de notation Standard & Poor’s. Dans un communiqué, cette dernière précise que ces risques sont surtout le fait des faibles perspectives de croissance de la troisième économie de la zone euro.
L’Agence France Trésor, en avance sur son programme d'émission de titres à moyen et long terme, a annoncé l’annulation de l’adjudication unique du mois d’août, initialement prévue le 4. L’AFT précise qu’elle a émis à ce jour 128,1 milliards d’euros d’OAT et de BTAN sur un programme d'émission 2011 de 184 milliards d’euros net des rachats. Elle précise que le rythme normal des émissions mensuelles d’OAT, de BTAN et de titres indexés sur l’inflation reprendra en septembre. Dans cette attente, elle a annoncé qu’elle émettrait jeudi 7 juillet entre 7 et 8,5 milliards d’euros d’OAT 2020, 2021 et 2029. Les adjudications de BTAN et d’indexés sont prévues le 21 juillet, les montants visés seront annoncé le vendredi 15 juillet. En revanche, le calendrier des émissions hebdomadaires de bons du Trésor (court terme) reste inchangé.
L’Eiopa, la nouvelle autorité européenne de supervision des assureurs, publiera le 4 juillet à midi les résultats de la deuxième vague de tests de résistance menés sur le secteur à l'échelle de l’Europe.
Le taux de chômage de la zone euro est resté stable à 9,9% en mai, comme s’y attendaient les économistes. Selon Eurostat, 15,51 millions de personnes étaient dépourvues d’un emploi en mai, soit 16.000 de plus qu’en avril mais 551.000 de moins qu’en mai 2010. Le taux de chômage le plus élevé est en Espagne (près de 21%). Vient ensuite l’Irlande (14%). Le taux de chômage le plus bas est aux Pays-Bas (4,2%) et en Autriche (4,3%). En Allemagne, il a encore diminué, à 6,0% en mai contre 6,1% en avril.
Le conseil d’administration de l’UBS proposera l'élection d’Axel Weber au Conseil d’administration de l’UBS lors de l’assemblée générale ordinaire de mai 2012, indique le groupe dans un communiqué publié le 1er juillet. Si l’intéressé est élu, le conseil prévoit de le nommer vice-président non indépendant. En 2013, il sera nommé pour succéder à Kaspar Villiger à la présidence du conseil. Président de la Bundesbank entre 2004 et 2011, Axel Weber avait été aussi pressenti pour succéder à Jean-Claude Trichet à la présidence de la Banque centrale européenne (BCE).
Les agréments nécessaires ayant été délivrés fin mai, Didier Pruvost, ancien directeur général d’Oddo AM, et Xavier Fauquet, ancien président directeur général de NSM Art et directeur à la banque de Neuflize, viennent de créer leur société de gestion, DDF Exclusive, et leur premier fonds d’investissement. D’ores et déjà, les deux responsables entendent marquer leur différence en matière de gestion. Pas question pour la maison de se faire un nom en réalisant du «stock picking» dans l’univers des petites et moyennes capitalisations françaises voire européennes – ce que beaucoup ont fait auparavant."Cette fenêtre s’est refermée», selon les deux cadres qui ont préféré se porter sur un créneau moins encombré, celui de la performance absolue. Didier Pruvost évoque même une niche gigantesque compte tenu de la baisse des rendements dans l’assurance vie dont son fonds doit profiter. D’où le fait que le fonds DDF Opportunités devrait être le seul de la société. Concrètement, l’OPCVM repose sur une gestion diversifiée avec un objectif de performance annuelle compris entre 5 % et 8 % sur un horizon de placement de trois ans, le tout avec une volatilité de 5/6. «Notre expérience nous permet de dire aujourd’hui que si les investisseurs admettent de ne pas prendre la totalité de la hausse des marchés, ils ne veulent surtout plus perdre», justifie Xavier Fauquet. En pratique, la gestion met dans son radar une centaine de valeurs européennes, qu’il s’agisse d’actions, d’obligations convertibles, etc, et tourne le dos à un suivi en silo des titres. «L’objectif pour nous est de regarder l’ensemble des actifs afin de déterminer pour chacun d’entre eux une valeur relative», explique Didier Pruvost. «Nous suivons un process «bottom-up» en nous intéressant aux entreprises susceptibles de connaître un élément déclencheur - de type une tombée de dividendes, un changement de président, un rachat de minoritaires – puis nous choisissons le bon support.» In fine, une analyse macro est effectuée, chargée de «valider» les choix en veillant à ce que la présence de secteurs, de marchés ne soit pas déséquilibrée au sein du portefeuille.Afin de se doter d’une couverture contre des risques extrêmes (défaut grec, etc), la gestion a également recours à des futures et des options (put, call). De fait, le fonds devrait être performant dans les périodes instables et doit plutôt peiner dans les périodes atones – ce que les patrons de la maison n’envisagent pas actuellement... Dans le cahier des charges que s’est fixé l'équipe de gestion – composé d’un ancien gérant alternatif, Laurent Denize et d’un gérant macro Eric Debry - la transparence, la liquidité et le contrôle des risques constituent également des données de base. Aussi le fonds est-il estampillé Ucits 3 et offre une liquidité quotidienne. C’est aussi pour cette raison que la société de gestion a refusé de recourir à de l’effet de levier.Reste à envisager le développement de DDF Opportunités. Actuellement, ce dernier affiche un encours de cinq millions d’euros provenant d’investisseurs «amis», explique Didier Pruvost. Quant à l’objectif de croissance des encours, il est pour le moins précis : 10 millions d’euros à la fin de l'été, 20 millions à la fin de l’année et entre 35 et 50 millions à la fin de l’année 2012. Pour cela, Didier Pruvost et Xavier Fauquet qui n’envisagent pas d’ouvrir le capital de leur société à un institutionnel, au moins dans un premier temps, vont ratisser large : du côté des conseillers en gestion de patrimoine indépendants et des grands investisseurs, même si, les deux responsables en sont conscients, les institutionnels s’intéresseront vraiment au fonds une fois la question du «track record» et du ratio d’emprise réglée. «Il existe des relais à 10/20 millions d’euros confirme Didier Pruvost et nous devons offrir une visibilité supplémentaire de 5 à 6 mois."Dans le détail, le fonds sera proposé avec deux parts, l’une réservée aux institutionnels, avec des frais de gestion de 0,5 % par an, et l’autre destinée à la clientèle «retail» avec des frais de gestion de 1,5 %. Quant aux «success fees», ils s'élèvent à 20 % au-delà de l’eonia avec «high watermark». Pour les institutionnels, le montant minimum à la souscription est de 150 000 euros et pour la clientèle «retail» de 50 000 euros (cinquante parts minimum).
Dans le cadre des rencontres financières internationales de Paris Europlace des 5 et 6 juillet, Finance Innovation va présenter le fonds d’incubation Emergence, présenté comme le premier fonds de seed money (amorçage) de la Place de Paris.Ce fonds rassemblera les principaux investisseurs de la Place pour apporter des capitaux à gérer (seed-money) aux jeunes sociétés de gestion et accélérer leur développement dans leurs premières années d’existence. Il offrira aux investisseurs la performance des fonds incubés et une participation aux revenus futurs des sociétés de gestion. Il leur permettra d’identifier les équipes de gestion les plus prometteuses et de contribuer à leur croissance en leur confiant des capitaux à gérer. Ce projet, soumis à l’approbation de l’AMF, est porté par le Pôle de compétitivité mondial Finance Innovation, avec l’appui de l’AFG et de Paris Europlace, et bénéficie du soutien du Haut Comité de Place.
Caceis a annoncé le 30 juin la fusion de ses deux entités luxembourgeoises, Caceis Bank Luxembourg et Fastnet Luxembourg, que le groupe détient en totalité après l’acquisition récente du solde du capital de 47,8% dans cette entité.Fastnet Luxembourg sera ainsi intégré à Caceis Bank Luxembourg avec effet au 1er juillet 2011. La nouvelle entité exercera ses activités sous le nom de Caceis Bank Luxembourg. Selon Pierre Cimino, administrateur délégué de Caceis Bank Luxembourg, « avec cette fusion, Caceis franchit une nouvelle étape qui lui permet de se renforcer et d’accélérer son développement au Luxembourg».
iShares, la plate-forme de fonds indiciels cotés (ETF) de BlackRock a annoncé, jeudi 30 juin 2011, qu’elle fait enregistrer quatre ETF supplémentaires en France dont l’objectif est d’offrir une exposition à des régions spécifiques et au thème de l’investissement durable, par le biais d’indices proposés en exclusivité sur le marché français.En matière d’ETF régionaux, iShares propose iShares MSCI Poland, premier ETF européen à réplication physique permettant d'être exposé au marché polonais. Il investira essentiellement dans le secteur financier et dans les secteurs des services aux collectivités, des matériaux, de l'énergie, des télécommunications et de l’industrie.A cet ETF s’ajoutent iShares MSCI USA qui vient en complèment de l’ETF iShares indexé sur le S&P 500. Dans les deux cas, les fonds émettront des parts de capitalisation. Les dividendes seront automatiquement réinvestis au lieu d'être versés aux investisseurs, cettedeuxième approche étant administrativement plus lourde.En matière d’ETF portant sur le thème du développement durable, iShares enregistre les fonds iShares Dow Jones Global Sustainability Screened et iShares Dow JonesEurope Sustainability Screened. Les indices Dow Jones utilisent les méthodes les plus pointues pour sélectionner les entreprises les plus performantes en matière de développement durable, selon les critères retenus par Sustainable Asset Management (SAM). «SAM évalue les plus grandes entreprises de la planète en fonction de critères économiques, environnementaux et sociaux et en s’attachant aux spécificités de chaque secteur. Sont exclues de l’univers d’investissement les entreprises dont les activités sont liées à l’alcool, au tabac, aux jeux de hasard, à l’armement et aux armes à feu ou aux divertissements pour adultes», précise un communiqué. Dans ce contexte, de nombreux fonds de cet univers investissent dans des secteurs spécifiques, notamment ceux de l'énergie propre, du climat ou de l’eau, et excluent d’emblée certains secteurs. Pour leur part, les nouveaux ETF iShares European et Global Sustainability Screened conjuguent un filtrage positif et une exclusion sectorielle, afin d’offrir une exposition à un large éventail de valeurs.
BNP Paribas Investment Partners a annoncé, jeudi 30 juin, la nomination d’Helena Viñes Fiestas au poste de co-responsable de la recherche ISR, aux côtés de Jacky Prudhomme. En pratique, elle vient renforcer l’équipe de recherche et pilotera l’ensemble des analyses et recherches dédiées aux fonds thématiques ISR qui privilégient les investissements dans les sociétés apportant des solutions aux enjeux environnementaux ou sociaux, souligne un communiqué.Agée de 39 ans, Helena Viñes Fiestas a occupé la fonction de Policy Adviser pour l’équipe Secteur Privé de l’Oxfam (Oxford Committee for Famine Relief), organisation non gouvernementale de lutte contre les injustices et la pauvreté qu’elle a rejoint en 2005. Elle a notamment été en charge du développement de la stratégie d’engagement auprès des investisseurs institutionnels et a piloté le projet « Better Returns in a Better World».
Laffitte Capital Management qui faisait part en début d’année de son ambition d’atteindre les 250 millions fin décembre (cf. Newsmanagers du 09/02/2011) est en passe de dépasser ses objectifs. Actuellement, la société va atteindre les 200 millions d’euros soit une progression proche de 60 % en l’espace de six mois, avec une collecte répartie sur le fonds phare, Laffitte Risk Arbitrage, dédié à l’arbitrage de fusions et acquisitions sur la zone euro et les Etats-Unis (165 millions d’euros) et le dernier né – Laffitte Equity Arbitrage, lancé il y a dix-huit mois – dont l’encours approche les 12,8 millions. Dans le détail, cette progression des actifs sous gestion «colle» avec les objectifs de la société de gestion qui consistait à rééquilibrer la provenance des fonds – franco-français essentiellement - au profit d’investisseurs européens. Dont acte. Avec un rapport France/ Europe de 100/0 il y a un an, ce dernier est désormais de 80/20 et doit tendre vers les 50/50, «avec», précise David Lenfant, associé fondateur de la structure, «une forte contribution d’investisseurs luxembourgeois et italiens». Quant au «mix clients » il est jugé équilibré dans la mesure où il est réparti équitablement entre une clientèle de gestion privée, d’investisseurs institutionnels et de multigérants. Reste les conseillers en gestion de patrimoine indépendants qui constituent clairement une piste à travailler. « Actuellement, ces professionnels ne représentent que 3 % à 4 % de nos encours », reconnait David Lenfant pour qui il s’agit d’un axe de développement futur fort de sa maison, à mettre en regard avec la baisse des rendements des fonds en euros qui sert les fonds comme ceux de Laffite CM. Toutes ces «bonnes nouvelles» entrainent également une évolution des ressources humaines de la société qui a recruté un gérant « situations spéciales » en début d’année et vient de recruter pour son fonds phare dédié à l’arbitrage de fusions et acquisitions un quatrième gérant. Les fonctions de support en marketing-commercial et en middle-office ont également été renforcées. Dernier évènement à signaler au niveau de la gestion cette fois : Laffitte Risk Arbitrage doit passer en liquidité quotidienne - alors qu’elle est actuellement hebdomadaire. Depuis sa création fin 2007, le fonds affiche une performance annualisée de 5,3 % avec une volatilité inférieure à 2% tandis que le second offre une performance de 4,75% depuis le début de l’année.
Axa Private Equity (Axa PE) a annoncé avoir acquis auprès de Barclays un portefeuille de fonds de private equity d’une valeur totale de 740 millions de dollars. «Cette seconde transaction majeure en moins d’un mois - elle fait suite à celle menée auprès de Citigroup concernant un portefeuille de 1,7 milliard de dollars d’actifs Ndlr - confirme AXA Private Equity comme partenaire privilégié des investisseurs institutionnels cherchant à céder des actifs de private equity et témoigne de son statut de leader mondial dans le secteur des fonds de fonds secondaires», précise un communiqué d’Axa PE daté du 30 juin. Le montant de la transaction avec la banque britannique n’a pas été révélé.
La CNMV a délivré son agrément au compartiment BNY Mellon Absolute Return Equity Fund, un produit de droit irlandais qui est le premier fonds Insight Investment enregistré pour la vente en Espagne. Ce fonds d’actions, un compartiment de BNY Mellon Global Funds, a été lancé il y a presque cinq mois (lire notre article du 2 février).
State Street a annoncé le 29 juin le lancement d’une nouvelle activité de services à destination des hedge funds de la zone Asie-Pacifique et des projets de développement du côté des services dans l’immobilier et le private equity en Chine, à Hong Kong et à Singapour.Dans cette perspective, State Street a nommé Carol Hall en qualité de senior managing director et responsable des services à destination de l’investissement alternative dans la zone Asie-Pacifique. Elle sera basée à Hong Kong.