The power of branding is no sufficiently exploited by actors in wealth management to attract potential clients who remain outside the market, according to the findings of a study covering a sample of clients representing USD3.5trn in assets (about 30% of the market overall), recently published by the economic intelligence agency Scorpio Partnership. Sebastian Dovey, senior partner at Scorpio Partnership, says that brands represent an essential tool, which may contribute to the growth of assets invested by high net worth clients. The study points out that nearly 80% of assets in the market are managed by 20 major international actors, including UBS, Credit Suisse, Bank of America Merrill Lynch, and Rockefeller. Each of these major brands has succeeded in creating a mega-brand. This essential dimension of a firm’s reputation is often overlooked, the study says, as the development of the brand is considered a low priority, even though it may contribute strongly to attracting new clients. With this in mind, the role of partners is a real challenge for the asset management sector. But in order for their interventions to be truly effective, the study finds, some obstacles need to be removed: for example, a lack of engagement on the part of directors with the brand, and poor familiarity with the client base, due to a lack of data as well as insufficiencies in segmentation and pricing.
According to a valuation by Barclays Capital, Agefi reports, investors withdrew USD7bn from commodities markets in May, the highest level of outflows observed since the onset of the financial crisis. Assets under management affected saw a decline of USD26bn, to USD425bn.
With the Baring Dynamic Emerging Markets Fund, Barings has launched a multi-asset class product investing in emerging markets, which covers equities, bonds, currencies, commodities (indirectly), derivatives, money market instruments, and/or cash. The objective is to generate returns similar to those of the equities markets over the long term, but with less risk.The fund will be managed by the multi-asset team (eight portfolio managers and three analysts), which already manages GBP4bn in dynamic asset allocation products, and more specifically by the head of the team, Percival Stanion, assisted by Toby Nangle.The new product is a sub-fund of the Irish OEIC Baring Investment Funds plc. Front-end fee and management commission, for retail investors, will be 5% and 1.5%, respectively, with a minimal subscription of GBP2,500, USD5,000, or EUR3,500.
The largest British retail bank, Lloyds Bank, which will lay off 15,000 employees worldwide by 2014, and is set to reduce the number of branches by half, has also announced a reshuffle of its wealth management, with international operations now to be led from Geneva by Russel Galley, Agefi Switzerland reports. The group, which has been present in Switzerland since 1919, has set two objectives for its wealth management activities: to triple the number of clients, and to increase revenues by 50% by 2014. The firm will now operate two brands, Lloyds TSB Private Banking, and Bank of Scotland Private Banking, which will operate in two divisions. As its name indicates, UK Wealth will be focused on the British market, and will be led by Philip Grant, who was previously head of Private Banking UK. The rest of the world will be served from Geneva, where Galley takes over as head of the International Wealth entity. Assets under management by the group as of the end of 2010 totalled GBP192bn.
The Swiss group UBS is taking over the Australian asset management activities of the Netherlands banking and insurance provider ING, Agefi Switzerland reports. Assets under management in the operation total EUR24.8bn.
Selon une évaluation de Barclays Capital, les investisseurs ont retiré 7 milliards de dollars en mai des marchés de matières premières, un niveau de décollecte jamais observé depuis la crise financière. Les actifs concernés sous gestion ont fondu de 26 milliards de dollars, à 425 milliards.
La commission des sanctions de l’AMF a tenu hier des auditions sur deux dossiers différents concernant Natixis et OFI AM. Il est reproché à Natixis Securities des lacunes dans le contrôle d’opérations de facilitation (vente et achat de bloc sur le marché). Une sanction de 690.000 euros au total a été requise contre la banque, qui se défend d’avoir violé les règles en vigueur. Dans le deuxième dossier, le représentant du collège de l’AMF a requis contre OFI AM une amende de 600.000 euros assortie d’un blâme pour plusieurs griefs, dont le principal est le manquement à la primauté de l’intérêt des clients. Il est reproché au gérant d’actifs d’avoir incité en 2008 les clients d’un de ses fonds à en sortir alors que quelques jours plus tard, il conseillait aux clients d’un autre fonds d’y investir. La représentante du collège de l’AMF a par ailleurs demandé au conseil de rendre publique sa décision. Dans les deux cas, ces dernières devraient être connues dans quelques semaines.
Le prélèvement sur les transactions financières devrait entrer en vigueur au plus tard en 2018, d’après la Commission européenne qui mise sur ce nouvel impôt pour financer en partie son budget. Une proposition législative détaillée sera publiée après cet été.
Les analystes d'UBS voient l'opérateur boursier américain offrir, au maximum, 1.150 pence par action LSE, soit 11 % de prime par rapport au cours d'hier
Le quotidien avance que l’Etat exigerait de la place de marché où se traitent les quotas de CO2 la TVA non remboursée par certains de ses membres. L’Etat réclamerait 350 millions d’euros. Ce qui va à l’encontre de la position de la justice, souligne le quotidien. Un débat contradictoire est en cours avec l’administration fiscale a confié le président de BlueNext, François-Xavier Saint-Macary.
Jean-Claude Trichet, président de la Banque centrale européenne (BCE), a estimé jeudi que la mise en place de taxes sur les transactions financières limitées à l’Europe se traduiraient par d’importantes pertes d’activité pour la région. S’exprimant devant la commission des affaires économiques et monétaires du Parlement européen, il a également déclaré que l’idée de mettre sur pied de nouvelles agences de notation était un chantier en cours.
Le produit intérieur brut de la Turquie a bondi de 11% en rythme annualisé au cours du premier trimestre, dépassant largement les anticipations des économistes, ce qui fait craindre une surchauffe. Les données publiées jeudi par Ankara mettent en outre en évidence l’une des faiblesses de l'économie turque : son déficit commercial de plus en plus marqué. En mai, ce dernier s’est accru de 104% pour atteindre 10,06 milliards de dollars, après une hausse de 42,6% des importations et de 11,7% des exportations.
Axa Private Equity, une filiale du groupe d’assurances Axa, a annoncé jeudi l’achat d’un portefeuille d’une valeur de 740 millions de dollars (environ 520 millions d’euros) d’actifs de fonds de private equity auprès du groupe britannique Barclays. Cette opération est la seconde transaction d’envergure réalisée récemment par Axa PE, après le rachat le 8 juin dernier d’un portefeuille de 1,7 milliard de dollars d’actifs à Citigroup. Le prix de la transaction n’a pas été dévoilé mais Barclays a précisé qu’elle dégagerait une petite plus-value sur cette opération. En 2010, l’activité fonds de fonds d’Axa Private Equity avait investi plus de trois milliards de dollars principalement par l’acquisition de deux portefeuilles importants de fonds de private equity et d’investissements directs, respectivement auprès de Bank of America (1,8 milliard de dollars) et de Natixis (900 millions de dollars).
La consommation des ménages français a de nouveau nettement diminué en mai, un recul qui confirme que ce poste clé risque d'être un frein à la croissance globale de l'économie au deuxième trimestre. Les achats de biens des consommateurs ont diminué de 0,8% le mois dernier après des replis de 1,4% en avril et de 0,9% en mars. Il faut remonter à l'été 2008, juste avant l'éclatement de la crise financière, pour retrouver trois mois consécutifs de baisse de la consommation en France.
Le nouveau gouvernement portugais va probablement accélérer l’adoption des mesures d’austérité convenues dans le plan de sauvetage accordé au pays et pourrait en présenter de nouvelles au parlement ce jeudi, rapporte la presse locale. De telles mesures pourraient consister en une taxe exceptionnelle qui reviendrait à supprimer les primes de fin d’année ou un impôt spécial sur les hauts revenus.
La dette publique de la France a augmenté de 54,9 milliards d’euros au premier trimestre pour atteindre fin mars 1.646,1 milliards, selon l’Insee. Elle représente 84,5% du PIB, soit une hausse de 2,2 points par rapport au trimestre précédent. La dette publique au sens de Maastricht comprend la dette de l’Etat (1.286,5 milliards en hausse de 41,5 milliards d’euros) et celles des administrations de sécurité sociale (191,2 milliards fin mars) des administrations publiques locales (156,5 milliards) et des organismes divers d’administrations centrales (11,9 milliards).
L’inflation sur un an dans la zone euro a atteint 2,7% en juin, selon une première estimation de l’organisme européen Eurostat. Ce chiffre est identique à la mesure définitive de l’inflation au mois de mai. Les analystes interrogés par Reuters attendaient en moyenne une légère accélération, à 2,8%.
«Notre base de clientèle est demeurée très stable et nos encours ont repris leur hausse dès le deuxième trimestre de 2009", a indiqué le 29 juin à Paris Nicolas Campiche, CEO de Pictet Alternative Investments (PAI). De fait, à fin mars, l’encours de PAI ressortait à un total de 11,5 milliards de dollars, contre 10,9 milliards fin décembre et 10,4 milliards fin 2009 et 11,4 milliards fin 2008. Il est vrai que peu après l’apogée des hedge funds, fin 2007, PAI avait pointé à 12,5 milliards de dollars.Sur le total de fin mars, les fonds de hedge funds représentaient 4,5 milliards de dollars, les investissements directs en hedge funds se situaient à 4,8 milliards et les promesses de souscriptions dans le private equity se montaient à 2,2 milliards.Nicolas Campiche a estimé que les souscriptions nettes depuis le début de l’année atteignent à présent environ 500 millions de dollars. Il a précisé que sa structure de multigestion (5 fonds et une soixantaine de mandats qui pèsent 50 % des actifs gérés), qui raisonne avec un horizon de 12-36 mois) et cherche à capturer les tendances de long terme, a récemment réduit son exposition aux stratégies global macro (à 18 %). en outre, elle a augmenté son exposition principalement aux fonds événementiels et valeur relative. Actuellement, PAI travaille avec quelque 120 gérants de hedge funds et 80 % d’entre eux figurent sur la plate-forme de risque RiskMetrics, «l’objectif étant de porter cette proportion à 100 %».En revanche, PAI n’a pas l’intention de développer une activité dans le domaine des comptes gérés (managed accounts) parce que le marché est trop restreint et parce que les gérants intéressants ont déjà remonté leurs encours et se dispensent volontiers de la charge de travail que représente cette formule administrative.La maison ne néglige pas pour autant les hedge funds coordonnés : le Callisto par exemple, lancé le 1er mars, a déjà collecté 100 millions de francs suisses. Cela dit, Nicolas Campiche souligne bien que «ce genre de produit est le résultat d’un arbitrage entre la performance et la liquidité», autrement dit que l’investisseur sacrifie du rendement à la liquidité.A noter par ailleurs que PAI a poursuivi le projet d'élargissement de son activité vers le private real estate (lire notre aricle du 15 décembre 2010), en mutant Laurent Gabert du private equity à cette nouvelle tache. A priori, explique Pacal Woerlen, product specialist, le nouveau pilier fonctionnera sur la base de la multigestion, dans un premier temps sous forme de mandats. PAI compte proposer en la matière de l’immobilier international, ce que recherchent les clients en quête d’actifs diversifiants.
La Banque Sarasin & Cie SA a annoncé le 29 juin l’adoption d’une nouvelle stratégie dans le domaine du négoce et remodelé la structure de direction de cette unité dont Fredi Lutz reprend la conduite à compter du 1er juillet. L’ancien responsable Markus Pfäffli sera son adjoint. Gérant de fortune indépendant depuis 1999, Fredi Lutz a notamment dirigé le négoce de devises et de bons du Trésor jusqu’en 1998 chez Julius Baer.La nouvelle stratégie dans le domaine du négoce englobe notamment la conception et la cotation de nouveaux produits, la mise sur le marché et le traitement de produits de financement, sans oublier un service à une clientèle axée sur le négoce. Cette stratégie se traduira par une augmentation des recettes et une poursuite de la croissance des activités de la banque, mais aussi par une réduction des risques opérationnels du groupe. L’effectif de l’unité de négoce a été renforcé afin que les nouveaux objectifs de croissance de ce domaine puissent être atteints.
CapHorn Invest, un fonds d’investissement en capital-risque qui s’appuie sur un réseau de dirigeants et de family offices, a annoncé, mercredi 29 juin, avoir réalisé une première levée de fonds de 26 millions d’euros en moins d’un an. Au total, le fonds compte cent souscripteurs. «Outre le financement, CapHorn Invest apporte aux entreprises un levier commercial et les compétences de dirigeants expérimentés sur des sujets tels que le développement de la marque, l’expansion à l’international, ou la gestion de partenariats. Le fonds investit en minoritaire de 1 à 2 millions d’euros pour une durée de 4 à 5 ans à hauteur de 15 à 40% au capital de PME au fort potentiel de développement commercial», précise un communiqué.CapHorn Invest ambitionne de porter sa levée de fonds à 50 millions d’euros d’ici la fin de l’année avec la souscription de 30 à 40 nouveaux dirigeants et plusieurs family offices, et simultanément, de réaliser 2 à 3 nouveaux investissements.
Natixis AM et la société de gestion H2O AM ont annoncé, mercredi 29 juin, l'élargissement de la gamme de fonds dont la société de gestion créée par Bruno Crastes, directeur général et Vincent Chailley, directeur des gestions, assure par délégation le pilotage. De fait, Natixis Asset Management va proposer quatre nouveaux fonds : H2O Allegro, H2O Vivace, H2O MultiEquities et H2O Tempo. Comme c’est le cas avec les premiers fonds de H20 AM qui gère au 31 mai près de 2 milliards d’euros, cette nouvelle offre se décline selon différentes expertises et stratégies de gestion correspondant à une allocation par budget de risque, précise un communiqué. Dans le détail, certains fonds connaissent une gestion non benchmarkée. C’est le cas de H20 Allegro et H20 Vivace. Investi dans les marchés internationaux de taux, de crédit et de devises, le premier fonds cherche à surperformer l’Eonia capitalisé sur un horizon de placement de 3 ans, tout en respectant une volatilité annuelle cible ex-post de 5 % tandis que le second, investi dans les marchés internationaux de taux, de crédit, d’actions et de devises, cherche à surperformer l’Eonia capitalisé sur un horizon de placement de 4 ans, tout en respectant une volatilité annuelle cible ex-post de 10 %.H2O AM propose également des fonds dont la gestion est benchmarkée, parmi lesquels figurent désormais H20 MultiEquities. Ce fonds vise à surperformer les marchés obligataires internationaux via une diversification active en devises. Il a pour objectif de surperformer l’indicateur de référence MSCI World DM de 4% par an, sur un horizon de 5 ans (Part I).Enfin, H20 Tempo mène une gestion active de la volatilité pour en tirer parti tant sur les marchés actions que sur les marchés de taux et de devises. Ce fonds vise à bénéficier ainsi des différences de régime de volatilité entre les classes d’actifs pour chercher à obtenir une performance plus régulière et une meilleure diversification des risques, note encore un communiqué. En cas de choc de marché, H2O Tempo cherchera à profiter de la hausse de la volatilité et, en période de faible volatilité, il tentera de reproduire la performance de l’Eonia capitalisé.
JO Hambro Capital Management vient de lancer le fonds JOHCM Global Emerging Markets Opportunities qui investira en priorité dans les entreprises chinoises et indiennes. Le fonds, dont la capacité a été fixée à 3 milliards de dollars, devrait comporter 50 à 60 positions sur un univers d’environ 2.500 titres. Il s’agit du deuxième véhicule consacré aux marchés émergents lancé par JO Hambro.JO Hambro envisage de lancer dans les prochains mois un fonds dédié aux actions internationales et deux fonds actions dédiés à l’Asie hors Japon. Pour le fonds dédié aux actions internationales, JO Hambro indique d’ailleurs vouloir recruter une équipe de gestion dédiée. En début d’année, JO Hambro a fait l’acquisition de Metis Capital Management, une boutique spécialisée sur les actions asiatiques.
La Deutsche Börse a indiqué avoir admis à la négociation sur le segment XTF de sa plate-forme électronique Xetra trois ETF supplémentaires de droit français émis par Amundi, ce qui porte à 819 le nombre de produits cotés sur ce segment.Il s’agit d’une part du Amundi ETF Green Tech Living Planet (FR0010949479), chargé à 0,45 %. Cet ETF d’actions réplique le Living Planet Green Tech Europe Index qui regroupe exclusivement des actions en euros d’entreprises européennes réalisant au moins 20 % de leur chiffre d’affaires grâce à des technologies durables et environnementalement correctes.D’autre part, Amundi fait coter en Allemagne deux ETF obligataires chargés chacun à 0,16 %. Il s’agit du Amundi ETF Euro Corporate Financials iBoxx (FR0011020957), qui réplique le Markit iBoxx EUR Liquid Financials Index, et du Amundi ETF Euro Corporate ex Financials iBoxx (FR0011020940), qui réplique le Markit iBoxx EUR Liquid Non-Financials Index. Dans les deux cas, il s’agit d’indices coupons réinvestis (total return).
Du 11 au 22 juillet, l’allemand Sauren ouvrira la souscription d’un nouveau fonds diversifié de performance absolue domicilié au Luxembourg, le Sauren Emerging Markets Balanced. Il s’agit d’un fonds multi-classes d’actifs (actions obligations, devises) qui investit dans les marchés émergents avec une approche patrimoniale.Ce produit, dont les frais seront détaillés ultérieurement, sera disponible en euros (LU05080224037) et en francs suisses (LU0580224201).