
Une figure de la sélection de fonds prend la présidence de Vestathena
Jean-Loup Thiébaut

Un évènement L’AGEFI
RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
Plus d'articles du même thème
-
Olfa Maalej (Neuflize OBC) : « Les investisseurs comme les marchés ont appris à vivre avec l'instabilité »
Entre incertitudes mondiales et nationales, la directrice des produits et solutions de Neuflize OBC constate une posture plus résiliente des investisseurs sur le temps. Un phénomène qui touche autant les particuliers que les chefs d'entreprise. -
Contraint par le régulateur suisse, HSBC se sépare de clients fortunés du Moyen-Orient
Cette décision intervient alors que le régulateur local, la Finma, audite actuellement les dispositifs internes de la banque privée, notamment en relation avec la gestion des personnes politiquement exposées. -
Les banques privées françaises s'affichent en bonne santé
Malgré un contexte de marché compliqué, les banques privées de la Société Générale et de BNP Paribas ainsi qu'Indosuez Wealth Management affichent une hausse de leurs actifs sous gestion, et de leurs revenus pour les deux derniers établissements. -
HSBC Private Bank est sous le coup d'une enquête en Suisse
L'activité de gestion privée de la banque britannique fait l'objet d'une enquête par les autorités françaises et suisses pour des soupçons de blanchiment d'argent. Cela concerne deux relations bancaires. -
LGT Wealth India recrute un directeur de la planification patrimoniale
L’intéressé arrive de la banque privée de Barclays. -
Le Crédit Agricole renforce sa gestion patrimoniale en rachetant Milleis
Aux mains du fonds AnaCap depuis 2017, Milleis est repris par LCL et par Crédit Agricole Assurances. L'ancien réseau de Barclays en France apporte 150 millions de revenus et près de 13 milliards d'euros d'encours auprès d'une clientèle aisée.
Sujets d'actualité
ETF à la Une

BNP Paribas AM se dote d’une gamme complète d’ETF actifs
La filiale de gestion de BNP Paribas vient de lancer six ETF « enhanced alpha » en s’appuyant sur ses équipes de gestion quantitative.
Les plus lus
- Le rachat de Mediobanca menace la fusion des gestions de Generali et BPCE
- BNP Paribas AM se dote d’une gamme complète d’ETF actifs
- BlackRock perd un mandat de 14,3 milliards d’euros du néerlandais PFZW
- M&G renoue avec la collecte nette au premier semestre 2025
- Comgest renouvelle son équipe de gestion actions européennes
Contenu de nos partenaires
A lire sur ...
-
Au nom de la rose
Entre le PS et Macron, la guerre des nerfs
Le chef de l'Etat est en première ligne pour tenter d'obtenir un accord de non-censure avec les socialistes. Sébastien Lecornu sera à la manoeuvre, mais c'est le bien lui qui décidera ce qu'il consent à lâcher -
Tour de chauffe
« Bloquons tout » cible Macron, les syndicats en embuscade
Après la mobilisation de mercredi, les organisations syndicales font monter la pression sur Sébastien Lecornu pour leur journée d'action du 18 septembre -
"Soit il y a rupture, soit il y aura censure" annonce Jordan Bardella, après l'élection de Sébastien Lecornu
Strasbourg - Le Rassemblement national ne veut pas censurer immédiatement le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu, mais attend une «rupture» avec la politique menée jusqu’ici, a expliqué son président Jordan Bardella mercredi à Strasbourg. Le parti d’extrême droite ne compte pas censurer «a priori» mais d’abord «écouter le discours de politique générale» de M. Lecornu, a déclaré M. Bardella lors d’un point presse en marge d’une session plénière du Parlement européen. «Soit il y a rupture, soit il y aura censure», a-t-il résumé. Le Rassemblement national réclame notamment un durcissement de la politique migratoire et s’oppose à toute hausse de la fiscalité pour la «France qui travaille», a-t-il souligné. Jordan Bardella a aussi réclamé que parmi les premières mesures de Sébastien Lecornu soit actée l’opposition de la France au traité de libre-échange avec les pays latino-américains du Mercosur. Après la chute de François Bayrou lundi lors d’un vote de confiance des députés, puis son remplacement à Matignon au bout de 24 heures par M. Lecornu, le chef du RN n’a toutefois «aucune illusion» et juge le bail du nouveau chef du gouvernement «très précaire». © Agence France-Presse