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Les Ecologistes se disent «prêts» à une dissolution de l'Assemblée nationale
Paris - Les Ecologistes se disent lundi, à quelques heures de la chute annoncée de François Bayrou, «prêts» en cas de nouvelle dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron et appellent une nouvelle fois, dans ce cas de figure, «toutes les forces de gauche» à se réunir. «Les Écologistes ont réuni hier leurs secrétaires régionaux pour se préparer à tout, y compris à l’hypothèse d’une dissolution rapide ce soir. Ce n’est pas le scénario le plus probable mais s’il arrive, nous seront prêts à désigner des candidatures sur l’ensemble des circonscriptions tout en enclenchant des discussions avec nos partenaires», écrit Marine Tondelier dans un communiqué publié pendant que la présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet, était reçue à l’Elysée par le président de la République. «Gouverner c’est prévoir. Si une dissolution devait survenir à plus ou moins brève échéance, nous souhaitons qu’une discussion s’engage avec toutes les forces de gauche et écologistes. C’est ce que nous avons fait l’année dernière dans un sursaut collectif car le risque d’arrivée de l’extrême droite à Matignon semblait imminent», poursuit Marine Tondelier, fervente partisane de l’union à gauche, mise à mal par les tensions entre La France insoumise et le Parti socialiste. En cas de dissolution, les deux partis n’envisagent plus une alliance électorale comme la Nupes en 2022 ou le Nouveau Front populaire en 2024 pour des législatives anticipées, mais des «accords défensifs» ou des désistements dans certaines circonscriptions en cas de risque de victoire de l’extrême droite. Avec la chute attendue du gouvernement de François Bayrou dans la soirée, tous les regards sont tournés vers Emmanuel Macron, de nouveau à la recherche d’un Premier ministre, le troisième depuis qu’aucune majorité ne s’est dégagée à l’Assemblée nationale après la dissolution, en juin 2024. © Agence France-Presse -
Volkswagen lance ses citadines électriques pour contrer la Chine
Munich - Le premier constructeur européen Volkswagen a présenté lundi une nouvelle famille de voitures urbaines électriques à des prix plus abordables et susceptibles de résister à la concurrence chinoise, l’industrie allemande, en crise, tentant de se relancer. L’offre du groupe de Wolfsburg (ouest), présentée en lever de rideau du salon de l’auto à Munich, est composée de quatre modèles des marques Volkswagen, Cupra et Škoda, avec un prix de départ d’environ 25.000 euros, selon un communiqué. Le lancement commercial est prévu pour 2026, pour contrer l’armada des marques chinoises déferlant en Europe avec des véhicules électriques bon marché et de qualité. Volkswagen dit avoir réalisé sur ses modèles d’importantes économies d'échelle grâce à l’utilisation partagée de la plateforme modulaire électrique (MEB+) et une batterie dotée pour la première fois d’une nouvelle cellule unifiée du groupe. Ambition affichée à moyen terme : une part de marché d’environ 20 % sur le segment des petites voitures électriques en plein essor en Europe, ce qui correspond à plusieurs centaines de milliers de véhicules par an, selon le communiqué. Les modèles présentés incluent chez Volkswagen l’ID.Polo, rivale désignée de la Renault 5, et l’ID.CROSS, pour contrer la Renault 4. Cette famille de voitures urbaines électriques représente «notre contribution pour la percée de la mobilité électrique au service d’une mobilité durable» et «pour une Europe forte», a déclaré le patron du groupe, Oliver Blume, devant la presse. Volkswagen, mais aussi ses concurrents dans la gamme premium, BMW et Mercedes, misent sur le salon munichois, dénommé «IAA Mobility», pour relancer leur industrie. BMW dévoile à Munich l’iX3 électrique de sa famille " Neue Klasse " et Mercedes une version électrique de son SUV à succès, le «GLC». Détail piquant : si les dirigeants des trois groupes placent de grands espoirs dans cette nouvelle génération pour restaurer leur compétitivité, ceux de BMW et de Mercedes appellent à revoir l’interdiction à partir de 2035 des ventes de voitures à moteurs thermiques, comme fixé par l’UE. Lundi, ils ont été rejoints par l’Italien Antonio Filosa, patron de Stellantis, quatrième constructeur automobile mondial. Tous prônent une transition plus flexible et diversifiée dans les types de motorisation pour préserver l’industrie automobile européenne. © Agence France-Presse