
Les fonds français diversifiés dominent la collecte de septembre chez Generali
Neuf des dix plus gros collecteurs chez Generali en septembre sont des fonds français. DNCA investments, Carmignac Gestion et H2O AM font partie des sociétés de gestion gérant ces fonds plébiscités. La majorité appartient à la catégorie des gestions diversifiées.
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La Bourse de Paris en hausse après la baisse des taux de la Fed, l’euro en repli et le secteur technologique dynamisé
Paris - La Bourse de Paris a terminé en hausse de 0,87% jeudi, à l’issue d’une séance alimentée par la première baisse des taux de la banque centrale américaine (Fed) de l’année et la perspective de nouvelles baisses à venir d’ici la fin 2025. L’indice vedette CAC 40 a gagné 67,63 points et s’est établi à 7.854,61 points à la clôture. La veille, il avait terminé en recul de 0,40%. Comme anticipé par le marché, la Réserve fédérale américaine (Fed) a baissé les taux directeurs de 0,25% à l’issue de sa réunion de politique monétaire mercredi, les ramenant dans une fourchette désormais comprise entre 4,00% et 4,25%. La Fed poursuit un mandat à double mission: ramener l’inflation américaine à un objectif cible de 2%, bien qu’elle soit remontée en août à 3,1% (hors prix volatils de l’alimentation et de l'énergie), tout en veillant à la santé du marché de l’emploi. «La Fed justifie sa baisse des taux en raison de la nette détérioration du marché du travail aux Etats-Unis, bien que l’inflation ne soit pas totalement rentrée dans les rangs», commente Bertrand Lamielle, directeur général de Portzamparc Gestion, qui appartient à BNP Paribas. Selon la médiane des prévisions de la Fed, ses membres anticipent deux autres baisses de taux (d’un quart de point chacune) en 2025, ce qui impliquerait une nouvelle détente à chacune des réunions programmées d’ici la fin de l’année. Du côté des changes, l’euro perdait 0,33% par rapport à la monnaie unique européenne, à 1,1774 dollar pour un euro vers 18H30, heure de Paris. En comparaison, la paire euro-dollar flirtait avec la parité au tout début de l’année. «On est déjà à 14% de change défavorable depuis le début de l’année: si on a acheté une valeur qui valait 100 dollars avant et 114 aujourd’hui, l’investisseur américain a gagné 14 dollars et l’européen zéro. Dans ce sens-là ce n’est pas une tendance que l’on voit souvent, et pas non plus avec cette ampleur», explique Bertrand Lamielle. «Cela bénéficie aux petites et moyennes capitalisations, moins concernées par les problèmes de droits de douane américains. Après trente ans de globalisation, on se recentre sur soi-même», poursuit le directeur général de Portzamparc. L’indice «CAC Mid & Small», qui regroupe les petites et moyennes valorisation boursières cotées en France, affiche par exemple une progression de 10,11% depuis le 1er janvier, là où son grand frère, le CAC 40, est en hausse de 6,42%. Sur le marché de la dette, les taux d’emprunts européens se sont tendus jeudi. Le rendement de l’emprunt français à dix ans s’est établi à 3,54% contre 3,48% la veille. Son équivalent allemand est à 2,72%, après 2,67% mercredi et l’italien à 3,52%, contre 3,46% précédemment. Les semi-conducteurs soutenus par Intel A la cote américaine, le fabricant de semi-conducteurs et de microprocesseurs Intel s’envolait de près de 30% vers 18H30, heure de Paris, après l’annonce d’une prise de participation de son rival Nvidia (+3,37%) à son capital pour une valeur de 5 milliards de dollars. A la cote européenne, les valeurs du secteur des semi-conducteurs ont été entraînées à la hausse et à Paris, STMicroelectronics a bondi de 4,63% à 23,33 euros et Soitec de 10,37% à 33,22 euros. «Il y a une résurgence du secteur technologique après un été morose, mais pour ces valeurs françaises, il s’agit davantage d’un effet de rattrapage», nuance toutefois Bertrand Lamielle. Depuis le 1er janvier, STMicroelectronics n’affiche pas de gains (-0,35%) et le titre Soitec est en chute de près de 60%. Euronext CAC40 © Agence France-Presse -
Vaccins : tensions aux États-Unis sur le réexamen des recommandations sanitaires par l'administration Trump
Washington - Les experts récemment nommés par le ministre de la Santé de Donald Trump pour réexaminer les recommandations vaccinales faites aux Américains ont commencé leurs travaux jeudi dans un contexte tendu, le comité se défendant de promouvoir des idées antivaccins. Dénonçant des «accusations fallacieuses» et politiquement motivées à leur encontre, Martin Kulldorff, nouveau président de ce comité indépendant a assuré que tous étaient au contraire «pro-vaccin». Une réponse aux nombreuses voix qui se sont récemment élevées contre ce Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP), qui a été totalement remanié par le ministre Robert Kennedy Jr, vivement contesté pour ses positions antivaccins. D’anciens hauts responsables sanitaires américains les ont ainsi accusés ce mois-ci d'être «non qualifiés» et de partager les «vues dangereuses et non scientifiques» du ministre sur le sujet. Lors de réunions jeudi et vendredi, ce groupe, qui est chargé de conseiller les CDC, principale agence sanitaire du pays, réévaluera les recommandations sur la vaccination des nouveaux nés contre l’hépatite B et sur le vaccin combiné contre la rougeole, les oreillons, la rubéole et la varicelle (RORV) et ceux contre le Covid-19. Un examen qui inquiète nombre de scientifiques, qui craignent qu’il n’aboutisse notamment sur des restrictions d’accès. Et ce alors même que les taux de vaccination du pays évoluent à la baisse depuis la pandémie et font craindre le retour de maladies contagieuses mortelles, comme la rougeole. «Conclusions préétablies» Habituellement routinières, ces réévaluations des recommandations, discutées à Atlanta, dans le sud-est des Etats-Unis, ont pris une importance nouvelle dans ce contexte hautement politisé. L’ex-directrice des CDC, Susan Monarez, limogée cet été avec fracas par l’administration Trump, a alerté sur le risque de changements fondés sur des «conclusions préétablies» et non la science. Interrogée mercredi par une commission sénatoriale sur les raisons de son éviction, la scientifique a assuré que le ministre voulait changer le calendrier vaccinal recommandé sans «aucune donnée ni aucune preuve scientifique à l’appui». «Nous nous sommes battus tellement dur pour vaincre la polio, la rougeole, la diphtérie et beaucoup d’autres maladies. Revenir sur ces progrès serait non seulement irresponsable, mais trahirait toutes les familles qui nous font confiance pour protéger leur santé», a-t-elle alors lancé. Questionné plus tôt sur le sujet, RFK Jr avait lui réfuté toute pression. Le limogeage de Susan Monarez tout comme celui des 17 experts reconnus qui siégeaient auparavant dans ce comité consultatif sur les vaccins ont provoqué une crise importante dans les agences sanitaires fédérales. - «Pas les moyens» - Considérant que la fiabilité de ces dernières était compromise, l’Académie américaine de pédiatrie (AAP) et plusieurs Etats de l’Ouest des Etats-Unis ont récemment décidé de publier leurs propres recommandations vaccinales. Des initiatives dont la portée est limitée, car le remboursement des vaccins reste grandement lié aux recommandations émises par les CDC, sur les conseils de ce fameux panel d’experts. Si ces derniers venaient cette semaine à alléger ou à cesser la recommandation des vaccins qu’ils évaluent, de nombreux Américains n’y auraient plus accès, s’inquiète ainsi Wilbur Chen, médecin infectiologue. «La réalité, c’est que la plupart des gens n’ont pas les moyens de payer ces vaccins», dont les coûts peuvent s'élever à plusieurs centaines de dollars, explique-t-il. Lors de leur première rencontre fin juin, les experts du comité fraîchement refaçonné avaient déjà suscité des critiques en faisant la promotion de thèses antivax. Des déclarations qui faisaient écho aux positions du ministre de la Santé, qui s’est fait des années durant le relais de fausses informations sur les vaccins, notamment sur un prétendu lien entre le vaccin ROR (rougeole, oreillons et rubéole) et l’autisme. Une spéculation issue d’une étude truquée qui a été maintes fois démentie par des travaux postérieurs. Charlotte CAUSIT © Agence France-Presse -
Match nul
Les manifestations du 18 septembre ne modifient pas le rapport de force
La CFDT ne sort pas particulièrement renforcée de cette journée de manifestations. Le gouvernement est toujours à la peine et le Parti socialiste doit tirer les conclusions de cette nouvelle donne