Le privé est condamné à accepter l’offre d’Athènes

Faute de recours, les investisseurs ont plutôt intérêt à participer à la restructuration de la dette grecque
Solenn Poullennec

Une dizaine d’établissements financiers se sont déjà déclarés volontaires pour le plan d’échange de dette grecque ouvert jusqu’à jeudi soir. Parmi eux figurent logiquement la Société Générale et des membres du comité de pilotage de l’Institute of International Finance, dont BNP Paribas, Axa, CNP Assurances, Deutsche Bank et ING. Le plan qui propose d’appliquer une décote faciale de 53,5% sur la dette des créanciers privés, doit obtenir un taux de participation de 90% pour fonctionner.

{"title":"","image":"78022","legend":"Devant le parlement grec en f\u00e9vrier 2012. Photo: Kostas Tsironis\/Bloomberg.»,"credit":""}

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