
Henner, Cedrus et Sanso s’allient à Axa dans l’épargne salariale
Les trois sociétés de courtage, de conseil en investissement et de gestion d’actifs lancent une marque commune qui s’appuie sur les moyens techniques d’Axa Epargne Entreprise.
Amélie Laurin
Un évènement L’AGEFI
RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
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Paris - Les Bourses européennes ont terminé en hausse jeudi, dans un marché porté par la première baisse des taux de la banque centrale américaine (Fed) de l’année et la perspective de nouvelles baisses à venir d’ici la fin 2025. La Bourse de Paris a grimpé de 0,87% et Francfort a avancé plus nettement, de 1,35%. Londres s’est octroyée une hausse de 0,21%. Euronext CAC40 © Agence France-Presse -
Ukraine : Volodymyr Zelensky revendique une percée à l’est, mais la situation se détériore ailleurs
Kiev - Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a rendu jeudi visite aux soldats sur le front, se félicitant d’une contre-offensive réussie dans l’est face aux troupes russes, dont le nombre a été estimé par le président russe Vladimir Poutine à «plus de 700.000". Le président américain Donald Trump a de son côté admis jeudi que le conflit en Ukraine n'était pas aussi «facile» à résoudre que ce qu’il espérait, et a estimé que Vladimir Poutine l’avait «vraiment laissé tomber» en choisissant de poursuivre les hostilités. Plus de trois ans et demi après le début de l’invasion russe de l’Ukraine, les pourparlers pour mettre fin au conflit sont dans l’impasse, tant les positions de Moscou, qui exige que l’Ukraine lui cède des territoires, et de Kiev semblent inconciliables. Le Premier ministre britannique Keir Starmer a estimé jeudi qu’il fallait «accentuer la pression» sur Vladimir Poutine. L’essentiel des combats se concentre toujours dans le Donbass, une région industrielle, minière et très fortifiée de l’est du pays, où les troupes russes progressent lentement. «J’ai rencontré nos soldats participant à la contre-offensive de Dobropillia», a annoncé M. Zelensky sur les réseaux sociaux en assurant que l’armée ukrainienne avait «libéré 160 km2» dans cette zone. L’armée russe avait réalisé en août une rare percée des défenses ukrainiennes en direction de cette ville qui comptait 28.000 habitants avant la guerre. L’Ukraine avait alors dépêché des renforts pour combler la brèche. «Pas à pas, les soldats libèrent notre territoire: depuis le début de l’opération, 160 km2 et sept localités ont été libérés» près de Dobropillia, a affirmé M. Zelensky. En outre, l’armée ukrainienne a «nettoyé plus de 170 km2 et neuf autres localités», a-t-il dit, sans plus de précisions. Une source haut placée au sein du pouvoir ukrainien a indiqué à l’AFP que les troupes ukrainiennes avaient éliminé les troupes russes dans cette dernière zone, mais sans en reprendre le contrôle. raffineries ciblées Selon le site de cartographie militaire DeepState, proche de l’armée ukrainienne, les forces de Kiev ont repris environ 45 km2 dans le secteur de Dobropillia, et plus de 200 km2 se trouvent dans la «zone grise» disputée entre les deux camps. Selon cette source, l’armée russe contrôle encore partiellement au moins deux localités au sein de la tête-de-pont formée en août. Ailleurs sur le front, les forces ukrainiennes sont confrontées à une situation qui se détériore autour de plusieurs localités d’importance: le noeud logistique de Pokrovsk et les forteresses de Koupiansk et de Kostiantynivka. Dans cette dernière, cinq civils ont été tués jeudi matin dans une frappe russe, selon la police ukrainienne. A Koupiansk, des combats de rues se déroulent dans le centre de la ville, a affirmé DeepState, selon lequel les troupes russes ont pénétré les défenses ukrainiennes en traversant une conduite de gaz. Selon une analyse par l’AFP des données fournies par l’Institut américain pour l'étude de la guerre (ISW), la progression de l’armée russe reste forte mais a ralenti en août avec 594 km2 capturés en un mois et plus de 6.000 km2 en un an. Vladimir Poutine a rapporté jeudi que plus de 700.000 militaires russes étaient déployés sur le front en Ukraine. L’Ukraine a de son côté indiqué avoir frappé jeudi une nouvelle raffinerie en Russie, à environ 1.400 km du front dans la région du Bachkorstastan, causant un incendie. Ce type d’attaques visant le secteur pétrolier et gazier russe se multiplie ces derniers mois, une stratégie qui a fait fortement grimper en Russie les prix du carburant à la pompe. Moscou et Kiev ont par ailleurs procédé jeudi à un nouvel échange de dépouilles de soldats tués: l’Ukraine a rapporté avoir récupéré 1.000 corps remis par la Russie, qui en a reçu pour sa part 24. Ce nouvel échange porte à plus de 12.000 le nombre de corps rendus par la Russie à l’Ukraine depuis le début de l’année. Les corps remis par l’Ukraine à la Russie se comptent en centaines sur la même période. © Agence France-Presse -
Google doit être démantelé et payer plus d'impôts dans l'UE, réclame un ministre allemand
Berlin - Google doit être démantelé et payer d’avantage d’impôts dans l’UE, a exigé le ministre allemand des Médias et de la Culture, alors que Bruxelles durcit le ton avec le géant américain de la tech malgré les menaces de Donald Trump. Dans un podcast du magazine Politico qui sera publié vendredi, le ministre conservateur Wolfram Weimer s’en est pris au groupe californien, qui concurrence déloyalement les acteurs européens du numérique selon lui et doit se plier au droit antitrust. «Le mieux serait de démanteler Google [...] Nous devons aborder Google dans tous les domaines d’action possibles», a-t-il déclaré. Cette sanction planait depuis plusieurs mois aux Etats-Unis sur le groupe californien, accusé d'être un monopole et sommé par le gouvernement américain de se séparer de Chrome, son navigateur phare. Mais les juges de Washington se sont montrés plus cléments début septembre, en exigeant que Google cède ses résultats de recherche et certaines données à des entreprises concurrentes. Le ministre allemand compte désormais sur la règlementation de l’UE, «qui est sur la bonne voie, mais nous avons besoin de beaucoup plus». Wolfram Weimer veut aussi une application plus stricte du droit fiscal européen à Google, «qui ne paie pratiquement aucun impôt ici et ne rend rien à la société» malgré «d'énormes marges». C’est un débat explosif en cours entre Bruxelles et Washington alors que les 27 discutent depuis plusieurs années d’imposer les géants américains du numérique, un projet vivement critiqué par Donald Trump. En mai, M. Weimer avait indiqué réfléchir à introduire une taxe nationale sur les revenus publicitaires d’Alphabet, la société mère de Google, et Meta, qui détient Facebook. Les tensions se sont ravivées début septembre quand la Commission Européenne a infligé une amende de près de 3 milliards d’euros à Google pour abus de position dominante dans la publicité en ligne. Si l’UE ne revient pas sur sa décision, les Etats-Unis appliqueront des droits de douane de rétorsion, a menacé le président américain. Google «change le paysage médiatique et donc les bases démocratiques du pays», a encore ajouté M. Weimer. «De ce fait, notre liberté d’opinion est menacée». Pour résister à son emprise, le ministre recommande aux chaînes publiques de coopérer d’avantage avec les médias du secteur privé. © Agence France-Presse