
Credit Suisse AM monte une équipe thématique pour le private equity

Un évènement L’AGEFI
RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
Plus d'articles du même thème
-
Scalable Capital devient une banque
Le néo-courtier complète son offre d’épargne d’une gamme de crédits à taux variable. -
Gay-Lussac Gestion refond sa gamme de FCPE, désormais entièrement labellisée
Les labels sont ceux du Label ISR et de Finansol -
L’Union européenne cherche la clé d’une épargne retraite commune
L’Eiopa tente de relancer le produit paneuropéen de retraite (PEPP) en simplifiant sa structure et en supprimant le plafond de frais initialement fixé à 1%, jugé dissuasif par les prestataires. -
Olfa Maalej (Neuflize OBC) : « Les investisseurs comme les marchés ont appris à vivre avec l'instabilité »
Entre incertitudes mondiales et nationales, la directrice des produits et solutions de Neuflize OBC constate une posture plus résiliente des investisseurs sur le temps. Un phénomène qui touche autant les particuliers que les chefs d'entreprise. -
La collecte nette de l’assurance vie dépasse 4 milliards d’euros en juillet
L’assurance vie a poursuivi sa dynamique cet été, soutenue à la fois par les unités de compte et la stabilité du fonds en euros. L’encours total atteint 2.057 milliards d’euros. -
L’épargne des Français dépasse 348 milliards d’euros en 2024
En 2024, l’épargne des Français atteint 348,7 milliards d’euros, portée par l’incertitude économique et un accès au crédit de plus en plus restreint. Pour la première fois depuis 2000, ils devancent le taux d'épargne des ménages allemands, avec un taux record de 18,6% au premier trimestre 2025.
Sujets d'actualité
ETF à la Une

BNP Paribas AM se dote d’une gamme complète d’ETF actifs
La filiale de gestion de BNP Paribas vient de lancer six ETF « enhanced alpha » en s’appuyant sur ses équipes de gestion quantitative.
Les plus lus
Contenu de nos partenaires
A lire sur ...
-
Mali: le jihadistes imposent blocus et perturbations dans plusieurs localités, l'armée sous pression
Bamako - Les jihadistes au Mali ont imposé ces derniers jours un blocus dans le sud et l’ouest du pays, zones frontalières avec le Sénégal et la Mauritanie d’où proviennent chaque jour des produits vitaux pour l'économie du pays. Le Mali est confronté depuis 2012 à une profonde crise sécuritaire nourrie notamment par les violences de groupes affiliés à Al-Qaïda et à l’organisation État islamique (EI), ainsi que de groupes criminels communautaires. Elle s’ajoute à une grave crise économique. Les jihadistes instaurent également depuis début septembre des barrages ponctuels sur les grands axes menant vers la capitale, entraînant une forte perturbation de la circulation des biens et des personnes près de Bamako, mais aussi dans l’ouest du pays. «Si parfois des sorties des ennemis sont constatées, elles ne durent pas plus de 20 à 30 minutes. On ne peut pas donc parler de blocus», a toutefois minimisé le chef de la Direction de l’Information et des Relations Publiques (DIRPA) de l’armée malienne, le colonel-major Souleymane Dembélé, lors d’un point de presse lundi. Selon plusieurs observateurs, cette stratégie vise plus à paralyser l'économie qu'à opérer un contrôle du territoire. Les jihadistes cherchent par ce biais à démontrer également que l’armée malienne ne contrôle pas la situation sécuritaire sur le terrain, ajoutent-ils. Plusieurs témoins interrogés par l’AFP ont rapporté avoir vu sur l’axe Ségou-Bamako une file de voiture à l’arrêt qui s'étend sur plus d’une dizaine de kilomètres près de la capitale à cause du blocus. Au moins dix bus de transport ont également été incendiés sur l’ensemble du territoire par les jihadistes. Paralyser l'économie Une compagnie de transport privé particulièrement visée par les attaques jihadistes a annoncé la suspension de ses activités «jusqu'à nouvel ordre pour raisons de sécurité». Plusieurs véhicules transportant du carburant ou des produits de consommation en provenance du Sénégal voisin ont également été visés par ces attaques. N’ayant pas accès à la mer, le Mali achemine par la route la plupart des produits dont il a besoin comme les hydrocarbures, le poisson, fruits et légumes... à partir du port de Dakar, de la Mauritanie ou encore de la Côte d’Ivoire. Le weekend dernier, aucun camion-citerne transportant du carburant n’a effectué le trajet Dakar-Bamako par crainte de subir les représailles des jihadistes. «Nous avons préféré pour le moment mettre à l’arrêt tous nos camions. Nous envisageons d’envoyer aux jihadistes des émissaires pour parler de la sécurisation de nos activités», a déclaré à l’AFP sous couvert d’anonymat un responsable d’une société malienne de vente de carburant. Par ailleurs, six chauffeurs sénégalais ont été brièvement enlevés le week-end dernier par des jihadistes, avant d'être libérés. Si l’armée malienne a dans un premier temps minimisé les actions des jihadistes sur le terrain, elle a finalement annoncé l’envoi de troupes sur les axes routiers de l’ouest et du sud pour «rétablir l’ordre». «La situation est difficile. L’armée a envoyé un renfort sur le terrain, c’est vrai. Mais ce renfort ne reste pas longtemps, alors que les jihadistes, eux, restent sur le terrain. L’armée doit changer de mode d’intervention», a commenté auprès de l’AFP un élu de la région de Kayes (ouest). Mardi, un conseil extraordinaire de défense s’est tenu à Bamako sous la présidence du chef de la junte, le général Assimi Goïta. Aucun communiqué officiel n’a été rendu public après la réunion. Mais «la situation sécuritaire a été abordée et d’importantes mesures ont été prises pour assurer la sécurité des biens et des personnes», selon une source proche de la rencontre. Le Mali est dirigé par une junte depuis deux coups d'État en 2020 et 2021. Depuis leur arrivée au pouvoir, les militaires ont tourné le dos à plusieurs anciens partenaires occidentaux, notamment l’ancienne puissance coloniale française, pour se rapprocher de la Russie et de la Chine. © Agence France-Presse -
Global Britain
Donald Trump à Windsor : l’aigle à deux têtes – par Marc Roche
Comme l’atteste l’éclat de la seconde visite officielle de Trump, la « special relationship » est une évidence. En même temps, le chiffon rouge Lady Minouche Shafik met en exergue l’étrange atmosphère d’amour-hargne et de soupçons qui n’a jamais cessé de caractériser cette exemplaire vie conjugale -
La main invisible
Nvidia et Tesla sous les fourches caudines de l’actuariat – par Bertrand Jacquillat
Pour y voir clair dans ce qui apparaît comme des extravagances, essayons d’introduire un peu de rationalité… avec l’aide des intérêts composés