
Consultation publique de l’AMF sur la suppression de la notion de classification des organismes de placement collectif
En marge de sa participation au groupe de place « FROG » pour améliorer la visibilité et la distribution des fonds français à l’international, l’Autorité des marchés financiers (AMF) s’interroge sur l’opportunité de conserver la notion de « classifications AMF » des organismes de placement collectif (OPC) qui n’existe que pour les fonds français. L’AMF lance une consultation publique sur le sujet jusqu’au 29 juillet 2016.
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Explosion d'un camion-citerne de gaz à Mexico: le bilan s'alourdit à au moins trois morts et 67 blessés
Mexico - L’explosion mercredi d’un camion transportant du gaz dans un quartier très peuplé de Mexico a fait trois morts et 67 blessés dont plusieurs dans un état grave, a annoncé la mairie. L’explosion, survenue alors que le véhicule circulait sur un pont d’Iztapalapa, dans l’est de la capitale, a également provoqué de nombreux dégâts matériels. Parmi les blessés, au moins 19 souffrent de brûlures aux deuxième et troisième degrés, a indiqué la mairie. Les blessés ont été pris en charge dans les hôpitaux publics les plus proches. Des images diffusées par la télévision et sur les réseaux sociaux montrent le moment de l’explosion. Puissante, elle a produit d'énormes flammes visibles de loin. Sur ces images, on peut voir une femme tenant un bébé dans les bras, des blessures apparentes aux bras et au visage. On aperçoit également deux hommes aux vêtements en partie brûlés, la peau également atteinte. Une autre vidéo montre des dizaines de personnes fuyant le lieu de l’accident, l’air terrifié, les flammes en toile de fond. «Nous savons grâce à des images de caméras de vidéosurveillance que des personnes étaient en feu en quittant leur véhicule», a déclaré à la presse Pablo Vazquez, secrétaire à la sécurité de la capitale. Environ 28 véhicules ont également été endommagés par l’explosion, dont l’origine fait l’objet d’une enquête du parquet. Le camion-citerne, qui transportait près de 50.000 litres de gaz s’est apparemment «renversé», a indiqué la maire de Mexico, Clara Brugada. Le véhicule s’est retrouvé renversé sur la chaussée et les pompiers ont réussi à maîtriser les flammes, selon des images tournées sur les lieux. Sur place, on pouvait également observer plusieurs voitures brûlées, dont un camion de transport, tandis que d’autres véhicules se sont retrouvés sans pneus et avec les vitres brisées. La fumée a atteint une station de trolleybus, l’un des principaux moyens de transport de cette ville de 9,2 millions d’habitants. Quelque 1,8 million de personnes vivent à Iztapalapa, l’une des zones les plus peuplées du pays. Les accidents sont fréquents au Mexique, pays de quelque 130 millions d’habitants aux normes de sécurité parfois mal respectées. Lundi, dix personnes avaient été tuées et 41 blessées dans une collision entre un train et un bus sur un passage à niveau à Atlacomulco, à une soixantaine de kilomètres du centre de la mégapole mexicaine. L’explosion de mercredi a ravivé le souvenir d’accidents impliquant des véhicules de transport de combustibles et des infrastructures d’hydrocarbures. En janvier 2019, l’incendie puis l’explosion d’un pipeline avait fait 137 morts à Tlahuelilpan, dans l’Etat central d’Hidalgo. © Agence France-Presse -
Procès de Jair Bolsonaro au Brésil: un juge de la Cour suprême s'exprime contre le dossier et vote pour l'acquittement
Brasilia - Un juge de la Cour suprême du Brésil a voté mercredi pour l’acquittement de Jair Bolsonaro et critiqué sévèrement le procès historique de l’ex-président pour tentative présumée de coup d’Etat, appelant à ne pas rendre un «jugement politique». Avec un score de 2 à 1 en faveur d’une condamnation, le couperet menace toutefois de près l’ancien chef d’Etat d’extrême droite (2019-2022), une voix supplémentaire suffisant à sceller son sort. Les deux derniers juges voteront d’ici vendredi. Accusé d’avoir été le chef d’une «organisation criminelle» ayant œuvré pour son «maintien autoritaire au pouvoir» malgré sa défaite face au président actuel de gauche Luiz Inacio Lula da Silva lors de l'élection de 2022, Jair Bolsonaro, 70 ans, risque jusqu'à 43 ans de prison. Le juge Luiz Fux s’est prononcé mercredi pour un acquittement à l’issue d’une démonstration longue - plus de dix heures - et technique. «Il n’appartient pas à la Cour suprême de faire un jugement politique sur ce qui est bon ou mauvais», a-t-il lancé en préambule. Estimant que le procès devrait être annulé, il a réfuté l’existence d’une «organisation criminelle armée», faute d’armes utilisées, et a rejeté les accusations portées contre M. Bolsonaro, faute de «preuves suffisantes». Selon lui, le supposé complot n’a jamais dépassé la «phase préparatoire». Il a aussi affirmé que la haute juridiction n’avait aucune compétence pour juger M. Bolsonaro et ses sept co-accusés, dont d’anciens ministres et des militaires haut gradés. Ayant quitté leurs fonctions, ils devraient selon lui être jugés dans des instances inférieures. «Persécution» Inéligible jusqu’en 2030 et assigné à résidence depuis début août, M. Bolsonaro est absent des audiences, pour raisons de santé selon ses avocats. Il a obtenu mercredi un feu vert pour quitter brièvement son domicile dimanche afin de subir une intervention médicale. Si le camp conservateur tient depuis des semaines pour acquise une condamnation de son champion, il a pavoisé en suivant le vote du juge Fux, retransmis en direct à la télévision, comme pour ses collègues. Fils de l’ancien président, Flavio Bolsonaro a appelé à une «annulation totale de la procédure», estimant sur le réseau social X que le magistrat avait démontré une «persécution politique». Celso Vilardi, avocat du principal accusé, a déclaré à la presse que l’argumentation du juge «peut être utile à l’avenir», pour des recours contre une possible condamnation. Pour que M. Bolsonaro soit condamné ou acquitté, une majorité simple de trois juges sur cinq est nécessaire, mais le verdict et une éventuelle peine ne seront formellement prononcés qu’une fois que tous les juges auront voté. «Menaces» Le procès divise fortement ce pays ultra-polarisé, une partie de l’opinion saluant une application de la loi quand une autre y voit des motivations politiques. Second à voter mardi pour une condamnation de l’ancien chef de l’Etat, Flavio Dino a dit avoir reçu de «graves menaces» sur les réseaux sociaux, dans la foulée de son vote. Dans un courrier, ce magistrat, ancien ministre de la Justice de Lula, a demandé mercredi à la police d’ouvrir une enquête. «Il y a des milliers de posts sur les réseaux sociaux, appelant à des attaques mortelles contre les juges et leurs familles», ont fait savoir ses services. La principale cible du discours du juge Fux a sans conteste été Alexandre de Moraes, rapporteur du procès, même si l’orateur du jour a pris soin de préciser qu’ils étaient «amis». Honni des bolsonaristes, ce puissant juge est au cœur de la crise actuelle entre Etats-Unis et Brésil. Le président américain Donald Trump a invoqué une «chasse aux sorcières» contre son allié d’extrême droite Jair Bolsonaro pour justifier une surtaxe punitive de 50% sur une partie des exportations brésiliennes. Son administration a en outre pris des sanctions individuelles contre le juge Moraes et plusieurs magistrats de la Cour suprême. Ramon SAHMKOW et Louis GENOT © Agence France-Presse -
Mexique: 57 blessés, dont 19 graves, dans l'explosion d'un camion-citerne de gaz à Mexico
Mexico - L’explosion mercredi d’un camion transportant du gaz dans l’est de Mexico a fait 57 blessés, dont 19 blessés graves, ont annoncé les autorités locales. Dans un premier bilan, elles avaient fait état d’au moins 18 blessés graves et de nombreux dégâts matériels. Le véhicule a explosé alors qu’il circulait sur un pont d’Iztapalapa, un district très peuplé de la mégalopole, provoquant des brûlures au deuxième et troisième degrés chez 19 personnes, a indiqué la mairie. «Aucun décès n’a été signalé jusqu'à présent», a précisé Myriam Urzua, secrétaire à la gestion des risques et à la protection civile locale. Les blessés ont été pris en charge dans les hôpitaux publics les plus proches. Des images diffusées par la télévision et sur les réseaux sociaux montrent le moment de l’explosion. Puissante, elle a produit d'énormes flammes visibles de loin. Sur ces images, on peut voir une femme tenant un bébé dans les bras, des blessures apparentes aux bras et au visage. On aperçoit également deux hommes aux vêtements en partie brûlés, la peau également atteinte. Une autre vidéo montre des dizaines de personnes fuyant le lieu de l’accident, l’air terrifiées, les flammes en toile de fond. «Nous savons grâce à des images de caméras de vidéosurveillance que des personnes étaient en feu en quittant leur véhicule», a déclaré à la presse Pablo Vazquez, secrétaire à la sécurité de la capitale. Environ 18 véhicules ont également été endommagés par l’explosion, dont l’origine fait l’objet d’une enquête du parquet. Le camion-citerne, qui transportait près de 50.000 litres de gaz s’est apparemment «renversé», a indiqué la maire de Mexico, Clara Brugada. Le véhicule s’est retrouvé renversé sur la chaussée et les pompiers ont réussi à maîtriser les flammes, selon des images provenant du site. Sur place, on pouvait également observer plusieurs voitures brûlées, dont un camion de transport, tandis que d’autres véhicules se retrouvaient sans pneus et avec les vitres brisées. La fumée a atteint une station de trolleybus, l’un des principaux moyens de transport de cette ville de 9,2 millions d’habitants. Quelque 1,8 million de personnes vivent à Iztapalapa, l’une des zones les plus peuplées du pays. L’explosion de mercredi a ravivé le souvenir d’accidents impliquant des véhicules de transport de combustibles et des infrastructures d’hydrocarbures. Comme quand, en janvier 2019, l’incendie puis l’explosion d’un pipeline avait fait 137 morts à Tlahuelilpan, dans l'État central d’Hidalgo. © Agence France-Presse