
Banque privée: les assureurs ont des atouts à faire valoir
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Frappes israéliennes au Qatar : Doha accuse Israël d'avoir voulu faire dérailler les négociations sur Gaza
Doha - Les frappes israéliennes ayant ciblé des membres du Hamas au Qatar la semaine dernière visaient à faire dérailler les négociations sur Gaza, a accusé lundi l'émir du Qatar, à l’ouverture d’un sommet exceptionnel des dirigeants arabes et musulmans organisé en réponse à cette attaque sans précédent. Ce sommet conjoint de la Ligue arabe et de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) vise à hausser le ton face à Israël, après le bombardement mené à Doha, capitale du pays médiateur dans les négociations en vue d’un cessez-le-feu dans la bande de Gaza. «Celui qui œuvre avec persistance et méthodologie à assassiner la partie avec laquelle il négocie, entend faire échouer les négociations (...) les négociations, pour lui, ne sont qu’une partie de la guerre ", a déclaré Cheikh Tamim ben Hamas Al-Thani, dans son discours d’ouverture. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu «rêve que la région arabe devienne une sphère d’influence israélienne. Et c’est une dangereuse illusion», a-t-il poursuivi devant les leaders arabes et musulmans réunis à Doha, parmi lesquels les présidents palestinien, turc, iranien et égyptien ainsi que les Premiers ministres irakien et pakistanais, le roi de Jordanie et le prince héritier saoudien. Le président turc Recep Tayyeb Erdogan a de son côté accusé le gouvernement israélien de vouloir «poursuivre les massacres et le génocide en Palestine tout en déstabilisant la région». Selon le projet de déclaration finale consulté par l’AFP, la cinquantaine de pays représentés devraient dénoncer l’attaque israélienne en soulignant qu’elle mettait en péril les efforts de normalisation des relations entre Israël et les pays arabes. Israël et les États-Unis, son principal allié, cherchent à étendre les accords d’Abraham qui ont vu les Émirats arabes unis, Bahreïn et le Maroc, reconnaître Israël en 2020. - «Pas que des discours» - L’attaque israélienne et «la poursuite des pratiques agressives d’Israël, notamment les crimes de génocide, le nettoyage ethnique, la famine et le blocus, ainsi que les activités de colonisation et d’expansion minent les perspectives de paix et de coexistence pacifique dans la région», affirme le texte. Elles «menacent tout ce qui a été accompli sur la voie de l'établissement de relations normales avec Israël, y compris les accords existants et futurs», ajoute-il. Le projet souligne également «le concept de sécurité collective (...) et la nécessité de s’aligner pour faire face aux défis et menaces communs». Avant l’ouverture du sommet, le président iranien Massoud Pezeshkian a exhorté les pays musulmans à rompre «leurs liens avec ce régime factice», en référence à Israël. L’attaque israélienne, qui a tué cinq membres du Hamas et un membre des forces de sécurité qataries, a suscité une vague de condamnations dans la communauté internationale, notamment des riches monarchies du Golfe, alliées de Washington. Ainsi qu’une rare réprobation des Etats-Unis, allié numéro un d’Israël mais également un proche allié du Qatar. Le secrétaire d’Etat américain Marco Rubio est en ce moment en visite à Jérusalem - un voyage prévu avant les frappes sur le Qatar -, pour montrer son soutien à Israël avant la reconnaissance prochaine par plusieurs pays occidentaux d’un Etat palestinien, lors de l’Assemblée générale de l’ONU à la fin du mois. Marco Rubio, qui se rendra mardi au Qatar selon un responsable américain, a déclaré devant la presse à Jérusalem lundi que son pays continuerait à soutenir le «rôle constructif» du Qatar dans la médiation à Gaza. «Beaucoup de gens attendent des actes, pas que des discours. Nous avons épuisé toutes les formes de rhétorique. Il faut désormais passer à l’action», a commenté le chercheur saoudien Aziz Alghashian au sujet du sommet. Le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a également annoncé une réunion en urgence ce mardi pour débattre des frappes israéliennes au Qatar. Un sommet exceptionnel du Conseil de coopération du Golfe est également prévu lundi à Doha, selon l’agence de presse saoudienne SPA. Ali CHOUKEIR © Agence France-Presse -
Procès du « Bloody Sunday » : un ancien soldat britannique jugé à Belfast, des décennies après le drame
Belfast - Au premier jour du procès d’un ancien soldat britannique, accusé de deux meurtres et cinq tentatives de meurtre lors du «Bloody Sunday», épisode sanglant du conflit nord-irlandais, l’accusation a décrit les tirs «injustifiés» des militaires ce jour-là. Aucun soldat n’a jusque-là été jugé pour ce «dimanche sanglant», le 30 janvier 1972 à Londonderry, ville également connue sous le nom de Derry, quand des parachutistes britanniques avaient ouvert le feu sur une manifestation pacifique de militants catholiques, faisant 13 morts. L’armée britannique avait affirmé que les parachutistes avaient répondu aux tirs de «terroristes» de l’IRA (Armée républicaine irlandaise, paramilitaires opposés à toute présence britannique sur l'île d’Irlande), une version alors confortée par un rapport réalisé à la hâte. Malgré tous les témoignages contredisant cette version, il a fallu attendre 2010 pour que soit officiellement reconnue l’innocence des victimes, atteintes pour certaines dans le dos ou même à terre, agitant un mouchoir blanc. Surnommé «soldat F», l’ancien parachutiste jugé depuis lundi est accusé de deux meurtres, ceux de James Wray et William McKinney, et de cinq tentatives de meurtre, lors de la répression de ce rassemblement. En décembre, il avait plaidé non coupable devant le tribunal de Belfast. Il comparait libre à son procès, qui doit durer plusieurs semaines. «Intention de tuer» Comme en décembre, il est apparu dissimulé derrière un rideau pour protéger son anonymat, ses avocats ayant fait valoir des risques pour sa sécurité. «Les tirs étaient injustifiés. Les civils (...) ne posaient aucune menace pour les soldats et ces derniers ne pouvaient pas croire à l’existence d’une menace», a affirmé le représentant de l’accusation, Louis Mably, à l’ouverture des débats. «Les tirs (...) ont été menés avec l’intention de tuer, ou au moins avec l’intention de causer un préjudice vraiment grave», a-t-il insisté. Avant l’ouverture de l’audience, plusieurs dizaines de personnes se sont rassemblées devant le tribunal en soutien aux familles des victimes a constaté un journaliste de l’AFP. «Il nous a fallu 53 ans pour en arriver là, et nous avons surmonté tous les obstacles», a déclaré John McKinney, le frère de William McKinney, saluant «un jour crucial» dans son combat pour «obtenir justice». Non loin de là, une poignée d’anciens combattants de l’armée britannique étaient également présents. «Beaucoup d’anciens combattants ressentent aujourd’hui de la frustration, de la colère, et se sentent trahis», a déclaré David Johnstone, le président du Bureau des anciens combattants d’Irlande du Nord, une organisation chargée de soutenir les ex-soldats de l’armée britannique dans la province. 3.500 morts en 30 ans Le parquet nord-irlandais avait engagé des poursuites pénales contre «soldat F» en 2019. Elles avaient ensuite été abandonnées, puis relancées en 2022. Le massacre du «Bloody Sunday» - immortalisé par le tube du groupe de rock irlandais U2 «Sunday Bloody Sunday» (1983) - avait eu pour effet de précipiter de nombreux jeunes catholiques républicains dans les bras de l’IRA. Il est l’un des moments les plus sombres des trois décennies de «Troubles» qui ont opposé républicains, surtout catholiques, partisans d’une réunification avec l’Irlande, et unionistes protestants, défenseurs de l’appartenance de l’Irlande du Nord à la Couronne britannique. En 1998, l’accord de paix du Vendredi Saint a mis un terme à ce conflit qui a fait quelque 3.500 morts. En 2010, à la suite de la plus longue enquête publique de l’histoire britannique qui avait reconnu l’innocence des victimes du «Bloody Sunday», le Premier ministre de l'époque, David Cameron, avait présenté des excuses officielles, qualifiant d’"injustifiables» les faits survenus ce jour-là. Depuis la fin du conflit nord-irlandais, seul un ancien soldat britannique a été condamné: début 2023, une peine de trois ans avec sursis a été prononcée contre David Holden, qui avait tué un homme à un check-point en 1988. Une loi très critiquée votée en 2023 sous le précédent gouvernement conservateur et baptisée «Héritage et réconciliation» a mis fin à la plupart des poursuites pénales pour les crimes commis pendant la période des «Troubles». Le Labour s’est engagé à abroger certaines dispositions. Peter MURPHY © Agence France-Presse -
Adaptation
Eté 2025 : 43 milliards d’euros évaporés sous la canicule
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