Nos articles d’actualité et d’analyse sur les dernières innovations liées à la blockchain (chaîne de blocks) et à leurs applications dans l’industrie financière.
La filiale de BPCE a annoncé jeudi qu’elle rejoignait l’initiative Marco Polo dans le trade finance. Celle-ci associe de grandes banques internationales spécialisées dans le financement du commerce, la technologie blockchain Corda développée par le consortium R3, et la société technologique TradeIX spécialisée dans le trade finance. BNP Paribas, Commerzbank, ING, Standard Chartered, Bangkok Bank, SMBC, DNB et OP Financial Group font déjà partie de Marco Polo.
L’association Paris Europlace a publié lundi un livre blanc sur la technologie blockchain. Le document identifie, «pour les activités de dépositaire et de conservation et pour la gestion d’actifs, les impacts de la technologie blockchain et les évolutions législatives et réglementaires requises afin de promouvoir le développement de son utilisation», précise un communiqué.
Les quinze assureurs et réassureurs travaillant sur la blockchain au sein de l’initiative B3i, lancée en octobre 2016, ont décidé de faire migrer leurs travaux, aujourd’hui organisés et menés par le biais d’un consortium, vers une société à part entière, baptisée B3i Services AG, constituée le 23 mars dernier. «En tant qu’entité légale indépendante dotée de son propre capital et de sa propre propriété intellectuelle, B3i Services AG peut rationaliser le développement, l’expérimentation et la commercialisation de solutions blockchain», précise un communiqué publié aujourd’hui. RGA et Sompo, qui faisaient partie des quinze membres du consortium, n’ont pas participé à la transition. Sont donc actionnaires de la nouvelle société, à parts égales : Achmea, Aegon, Ageas, Allianz, Generali, Hanover Re, Liberty Mutual, Munich Re, Scor, Swiss Re, Tokyo Marine, XL Catlin et Zurich Insurance. L’entreprise prévoit une nouvelle levée de fonds «auprès d’un large spectre de participants de l’industrie de l’assurance» dans les prochains mois.
Les quinze assureurs et réassureurs travaillant sur la blockchain au sein de l’initiative B3i, lancée en octobre 2016, ont décidé de faire migrer leurs travaux, aujourd’hui organisés et menés par le biais d’un consortium, vers une société à part entière, baptisée B3i Services AG, constituée le 23 mars dernier. « En tant qu’entité légale indépendante dotée de son propre capital et de sa propre propriété intellectuelle, B3i Services AG peut rationaliser le développement, l’expérimentation et la commercialisation de solutions blockchain », précise un communiqué publié aujourd’hui.
La holding Alphabet, maison-mère de Google, serait en train de développer une technologie de registre distribué que des tiers pourraient utiliser pour enregistrer et vérifier des transactions, selon des sources citées hier soir par Bloomberg. Cela lui permettrait de différencier ses services de cloud (informatique dématérialisée) de ceux de ses rivaux, notamment les start-ups utilisant déjà la technologie blockchain. Google souhaiterait aussi fournir une version en marque blanche que d’autres entreprises pourraient utiliser sur leurs propres serveurs.
Les banques Credit Suisse et ING ont annoncé hier avoir réalisé un échange de paniers de titres pour 25 millions d’euros grâce à la solution de la fintech HQLAx, qui utilise la blockchain Corda, créée par le consortium de banques R3. Dans un communiqué, le directeur de l’innovation de la banque commerciale chez ING, Ivar Wiersma, souligne que beaucoup d’applications blockchain développées sur Corda sont proches de la production en situation réelle, «un signe des progrès du développement de la plate-forme et du bénéfice évident du partenariat avec R3».
Les banques Credit Suisse et ING ont annoncé aujourd’hui avoir réalisé un échange de paniers de titres pour 25 millions d’euros grâce à la solution de la fintech HQLAx, qui utilise la blockchain Corda, créée par le consortium de banques R3. Dans un communiqué, le directeur de l’innovation de la banque commerciale chez ING, Ivar Wiersma, souligne que beaucoup d’applications blockchain développées sur Corda sont proches de la production en situation réelle, « un signe des progrès du développement de la plate-forme et du bénéfice évident du partenariat avec R3 ».
Iznes, la plate-forme internationale d’achat et de vente d’OPC (organismes de placement collectif) européens en blockchain, a annoncé hier avoir mené avec succès sa première levée de fonds. Dans ce cadre, cinq sociétés de gestion rejoignent OFI AM et la fintech Setl au capital de la plate-forme: il s’agit d’Arkéa IS, de Groupama AM, de La Banque Postale AM, de La Financière de l’Échiquier et de Lyxor AM. «Cette opération stratégique intervient quelques semaines après la validation opérationnelle, sur des transactions réelles, de la solution d’achat et de vente de parts d’OPC en blockchain d’Iznes. Elle donne à la société les moyens et l’appui nécessaires à la phase de déploiement et de production prévue en 2018, en France et au Luxembourg», explique un communiqué.
Iznes, la plate-forme internationale d’achat et de vente d’OPC (organismes de placement collectif) européens en blockchain, a annoncé ce jeudi avoir mené avec succès sa première levée de fonds. Dans ce cadre, cinq sociétés de gestion qui participent depuis plusieurs mois aux travaux de développement de la solution, rejoignent OFI AM et la fintech Setl au capital de la plate-forme: il s’agit d’Arkéa IS, de Groupama AM, de La Banque Postale AM, de La Financière de l’Échiquier et de Lyxor AM.
Ils sont 97 % à connaître les cryptomonnaies selon le sondage de Paypite publié le 19 février, Pourtant une personne sur quatre ne sait toujours pas à quoi elles servent
Citi et Crédit Agricole CIB sont rentrés au capital de la fintech spécialiste de la blockchain. L’actionnaire historique Computershare a relevé sa part.
Nul n’ignore plus l’existence du défunt Presidents Club et de ses célèbres dîners de bienfaisance à Londres. Le gratin de la City, dûment imbibé d’alcool, pouvait s’y disputer des lots au profit des enfants malades tout en harcelant des hôtesses court vêtues. Les révélations du FT ont mis fin à l’hypocrisie, mais les organisateurs de la North America Bitcoin Conference semblent tout prêts à prendre le relais, la charité en moins. Pour leur soirée de clôture et de « réseautage », ils ont choisi un club de strip-tease de Miami. « On est un groupe de types d’une vingtaine d’années avec beaucoup d’argent et on aime les filles nues. N’espérez pas nous voir changer », résume un trader en crypto-monnaies cité par Bloomberg, qui était de la fête. Révolution Blockchain ou pas, certaines choses ne changent jamais dans la finance…
La banque de financement et d’investissement du Crédit Agricole, CACIB, a annoncé hier sa participation à la levée de fonds de la fintech Setl, spécialiste de la blockchain privée appliquée à l’industrie financière. La banque réalise ainsi son premier investissement en capital dans une fintech. Lancée en juillet 2015, Setl travaille notamment en France sur un projet de tenue de registre de fonds développé avec OFI AM, Groupama AM, La Financière de l’Echiquier et Arkéa Investment Services.
IHS Markit a annoncé hier un partenariat avec la regtech américaine Cambridge Blockchain. Il consiste à rapprocher les services de connaissance du client (KYC) d’IHS Markit et le système distribué d’identité numérique de Cambridge Blockchain, afin de proposer «des données de référence intégrées, des opérations, et des logiciels pour soutenir les services publics dans la collecte et la gestion des informations relatives à la connaissance du client», souligne un communiqué. Selon IHS Markit et Cambridge Blockchain, les coûts de connaissance du client peuvent dépasser les 500 millions de dollars par an pour les grandes banques.
Le groupe britannique d'études et de conseil aux entreprises IHS Markit, coté au Nasdaq et au S&P 500, a annoncé aujourd’hui un partenariat avec la regtech américaine Cambridge Blockchain. Il consiste à rapprocher les services de connaissance du client (KYC) d’IHS Markit et le système distribué d’identité numérique de Cambridge Blockchain, afin de proposer « des données de référence intégrées, des opérations, et des logiciels pour soutenir les services publics dans la collecte et la gestion des informations relatives à la connaissance du client », souligne un communiqué.
La banque de financement et d’investissement du Crédit Agricole, CACIB, a annoncé aujourd’hui sa participation à la levée de fonds la fintech Setl, spécialiste de la blockchain privée appliquée à l’industrie financière. La banque réalise ainsi son premier investissement en capital dans une fintech.