Nos articles d’actualité et d’analyse sur les dernières innovations liées à la blockchain (chaîne de blocks) et à leurs applications dans l’industrie financière.
Solactive announced the launch of the Solactive Global Gold Giants Index, which will be used as the underlying of Harvest Portfolios Group Inc.’s Harvest Global Gold Giants Index ETF (TSX: HGGG). The Index intends to track the price movements of the 20 largest gold mining companies by company market capitalization listed on a regulated stock exchange in North America, Australia or in certain European countries. “Harvest Portfolios Group Inc. approached us with a well-defined perspective on the structure of the index universe, and we developed the index in a very straightforward manner,” elucidates Steffen Scheuble, CEO of Solactive. “We are very happy that Harvest Portfolios Group Inc. has chosen a Solactive index for their ETF for the first time.” Working profitably in times of a lower gold-price, the selected companies consolidated their prevalence within the industry and are now benefiting from a margin expansion due to the metal’s current price increase. “The gold market and gold mining producers have been in a long decline lasting almost 7 years, bringing values down considerably from the highs of 2011/12,” notes Michael Kovacs, President & CEO of Harvest Portfolios Group Inc. He continues: “The Gold Giants have been able to take advantage of these prices to acquire or partner with smaller producers to expand their reserves and production. We are pleased to work with Solactive to bring HGGG to the Canadian market.” The Global Gold Giants Index ETF is targeted at investors who follow a defensive investment strategy since experts at Harvest Portfolios Group Inc. believe the current economic cycle is in late stages, resulting in a potential weakening of the US dollar. Some current index components are Barrick Gold Corporation, Alamos Gold Inc., Agnico Eagle Mines Limited, and B2Gold Corporation. The index constituents are equally weighted.
Les modifications de la réglementation des plans d’épargne individuels italiens (PIR) incluses dans la nouvelle loi de finances prévoient un élargissement du champ d’action de cet outil, mais aussi certaines contraintes bureaucratiques qui en ralentiront les lancements, analyse Il Sole – 24 Ore. Les PIR ont été créés en 2017 et permettent aux investisseurs de parier sur la croissance des entreprises italiennes en échange d’avantages fiscaux. Pour ne pas être obligés d’effectuer une communication préventive à Bruxelles, les nouveaux PIR devront respecter les règles de l’Union européenne sur les aides aux petites et moyennes entreprises pour le financement du risque, ainsi que celles sur les aides aux plates-formes alternatives de négociation spécialisées dans les petites et moyennes entreprises. Le respect sur les aides d’Etat est devenu un passage obligé dans la mesure où le gouvernement italien a décidé de diriger une partie des investissements PIR vers le capital risque et les actions de petites et moyennes entreprises cotées. Les PIR doivent désormais effectuer au moins 5 % de leurs investissements qualifiés dans des parts ou actions de fonds de venture capital et 5 % supplémentaires dans des actions de petites et moyennes entreprises cotées sur des marchés comme l’AIM. L’objectif de renforcer le venture capital en Italie par le biais des PIR, qui bénéficient d’avantages fiscaux, a donc comme effet indésirable d’alourdissement des obligations, observe Il Sole. La bureaucratie s’est aussi invitée d’une autre manière. En effet, un décret d’application doit être émis dans les 120 jours de l’entrée en vigueur de la loi de finances incluant les nouveautés. Ce qui signifie que jusqu’au 30 avril 2019, les lancements de nouveaux PIR devront être mis en «stand by» et attendre la signature du décret.
Aberdeen Asset Management Gestion, la filiale d’Aberdeen Standard Investments en France etgestionnaire de la Sicav monétaire de droit français Monaco Money Market Fund, s’apprête à liquider le véhicule établi en juillet 2006, selon les informations de NewsManagers. Une assemblée extraordinaire des actionnaires de la Sicav doit se dérouler le 8 janvier 2019 pour délibérer entre autres sur la dissolution anticipée de la Sicav et la nomination d’un liquidateur. Commercialisée par Crédit Suisse Monaco en principauté et gérée par Jérôme Ricatto, cette Sicav viseune performance égale ou supérieur à l’indice Citigroup Euro 3 Month Deposit rate sur un horizonde trois mois en investissantdans des titres émis par des sociétés ou des pays membres de l’OCDE, principalement desinstruments du marché monétaire,des billets de trésorerie à court terme et / ou des titres de créance à taux variable et fixes émis par des émetteurs de haute qualité.
Le cabinet de conseil spécialisé dans la transformation digitale Octo Technology vient d’être nommé par le consortium d’entreprises R3 comme premier organisme de formation officiel sur la blockchain professionnelle Corda. Il interviendra via son organisme de formation Octo Academy. Depuis plus de deux ans, R3 prépare, avec une centaine de banques et plus de 200 partenaires de tous types, une solution d’échange de documents KYC (know your customer) avec Corda. Un prototype a pu être mis au point il y a quelques jours. 14 entreprises françaises ont simulé un échange de documents KYC avec cinq banques françaises (la Société Générale, Natixis, BNP Paribas, le Crédit Agricole et RCI Banque).
Le cabinet de conseil spécialisé dans la transformation digitale Octo Technology vient d’être nommé par le consortium d’entreprises R3 comme premier organisme de formation officiel sur la blockchain professionnelle Corda. Octo Technology, qui interviendra via son organisme de formation Octo Academy, a par ailleurs pour ambition de doubler les effectifs de son équipe blockchain pour répondre aux demandes d’accompagnement de ses clients.
La nouvelle était connue depuis fin septembre, mais ce n’est que le 30 novembre qu’AG2R La Mondiale a officialisé la cession d’Aprep Diffusion à Nortia.
Les bureaux de tabac français vont vendre des bitcoins à partir de 2019, via un accord avec une fintech française, Keplerk, selon Reuters. Les commerçants devront vendre aux clients un reçu permettant d’obtenir des bitcoins via un portefeuille électronique géré par Keplerk. Ils seront les premiers commerçants physiques au monde à vendre des bitcoins, affirme Keplerk. La Banque de France a indiqué ne pas superviser cette initiative. Elle déclarait hier qu'«aucune convention n’a été signée afin de permettre la vente de bitcoin dans les bureaux de tabac». «Aucun accord n’est par ailleurs discuté ni envisagé sur le sujet». La radio Europe 1 avait assuré qu’un accord avait été signé entre la Fédération des buralistes et la Banque de France pour autoriser la vente de cette monnaie virtuelle à compter du 1er janvier 2019.
La Banque de France a déclaré ce matin qu'«aucune convention n’a été signée afin de permettre la vente de bitcoin dans les bureaux de tabac», «contrairement à ce qui a été affirmé ce matin par certaines stations de radio, sans vérification préalable». «Aucun accord n’est par ailleurs discuté ni envisagé sur le sujet», ajoute le communiqué de l’institution.
Les sociétés de gestion devront se focaliser davantage sur la maîtrise des coûts face aux « changements structurels énormes » auxquels fait face le secteur de la gestion d’actifs, estime Michelle Seitz, directrice générale de Russell Investments, dans une interview au Financial Times. Même si la plupart des sociétés de gestion restent rentables, les frais sont sous pression. Michelle Seitz estime que la taille seule ne sauvera pas les sociétés de gestion du niveau de concurrence « féroce ». Au contraire, le secteur doit se concentrer sur « trois piliers » - la performance des investissements, la distribution de produits et les coûts – pour survivre et prospérer.
De passage à Paris, Mark Wiedman, a accordé une interview exclusive aux rédactions de l'Agefi dont NewsManagers. Le dirigeant parie sur la poursuite du développement des ETF en Europe, notamment grâce à MIF 2. IL annonce avoir mis fin au projet de transfert de cotation des ETF en euro de Francfort vers Dublin. L'Allemagne va même être fortement développée.
Historiquement dédié à la gestion d’actifs institutionnelle, OFI Asset Management, filiale commune des mutuelles Macif et Matmut (86,7% du capital à elles deux), a pris un nouveau départ depuis la nomination de Jean-Pierre Grimaud au poste de directeur général, il y a trois ans. Faisant le constat d’un marché français de la gestion d’actifs pour le compte d’institutionnels en stagnation, voire en régression, celui-ci décide d’élargir la base de clientèle vers les particuliers, pour profiter d’un basculement du marché.
Un amendement à la loi Pacte adoptée en première lecture à l’Assemblée nationale le 9 octobre valide l’investissement via les fonds professionnels spécialisés (FPS).
C’est le nombre de banques qui se proposent de bâtir un pont entre Europe et Asie. Elles sont les membres de deux plates-formes basées sur la Blockchain et visant chacune rien de moins que de révolutionner le trade finance. Pour ce faire, we.trade et eTradeConnect ont décidé de connecter leurs réseaux, permettant à chaque banque de trouver une contrepartie sur l’autre continent. Les françaises Natixis et la Société Générale côté we.trade, et BNP Paribas côté eTradeConnect sont de la partie. Le lien sera concrétisé après validation d’un « proof of concept », d’ici à quelques mois.
La semaine dernière, Larry Fink, l’influent patron de BlackRock, le premier gestionnaire d’actifs au monde avec 6.400 milliards de dollars d’encours, a expliqué, à l’occasion d’une conférence, que renoncer à participer au forum sur l’investissement de Riyad (dit le « Davos du désert ») avait été une décision difficile à prendre, écrit Les Echos « Nous sommes présents [en Arabie saoudite] depuis quinze ans, a-t-il déclaré. Je crois que nous y serons présents de nombreuses années à l’avenir. » Le dirigeant n’entend pas remettre en question ses relations commerciales avec l’Arabie Saoudite. Ces liens avec le royaume « ne sont pas quelque chose dont j’ai honte », a déclaré Larry Fink. A la suite de l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, de nombreux dirigeants de la finance avaient décidé d’annuler leur présence au Davos du désert. Pour Larry Fink, le meurtre de Jamal Khashoggi reste un mystère. « Nous ne savons pas qui est responsable du meurtre. Le gouvernement [saoudien] a pris la responsabilité de dire qu’il s’agissait d’un meurtre. Ils affirment maintenant qu’il s’agit d’un ‘acte haineux’ », a-t-il déclaré. Pour lui, « chacun a sa propre théorie » et « rien n’est blanc ou noir ».