
Le gouvernement japonais risque la cessation de paiement en octobre
Le gouvernement japonais pourrait se trouver en situation de cessation de paiement fin octobre, ce qui ne lui permettrait plus de payer salaires, retraites et autres indemnisations du chômage, si le parlement ne s’entend pas d’ici là pour adopter une loi de financement du déficit budgétaire. Cette loi, qui vise à permettre au gouvernement de vendre des obligations pour financer près de la moitié de son budget, est bloquée par un désaccord avec les partis d’opposition, majoritaire à la chambre haute et donc en mesure de bloquer le texte.
Un évènement L’AGEFI
LES CERCLES DE L'AGEFI AUVERGNE-RHÔNE-ALPES
Plus d'articles Economie & Marchés
-
La Fed regardera au-delà des premières fractures financières
La banque centrale américaine devra jauger l'effet des tensions financières sur l'activité. -
La prime de risque doit être plus élevée pour le secteur bancaire
La manière dont le sauvetage de Credit Suisse a été mené rebat les cartes des valorisations du secteur en Europe. -
L’industrie cherche à convaincre sur sa stratégie de dette durable
Le secteur automobile est en pointe avec désormais un programme d’obligations durables pour Renault et la première émission de green bonds de Stellantis. Mais la transformation est très lente.
Contenu de nos partenaires
Les plus lus de
Les plus lus de
- La Société Générale présente sa nouvelle direction autour de Slawomir Krupa
- Credit Suisse entraîne le secteur bancaire européen dans sa chute
- Les actions chutent avec les banques américaines
- L’électrochoc SVB met la finance sous tension
- Credit Suisse, trois ans de descente aux enfers
- Les gérants prennent la mesure de la persistance de l’inflation
- Silicon Valley Bank : la chute éclair de la banque des start-up
- Slawomir Krupa sort la Société Générale du brouillard
- Chute de SVB : les Etats-Unis garantissent les dépôts et HSBC rachète les actifs anglais
A lire sur ...
A lire sur ...
-
Code pénal
Gilets jaunes: les délinquants, les criminels et leurs complices
Black bloc ou « simple manifestant », agissant à froid ou emporté par l’excitation collective, peu importe : les faits commis sur les Champs-Élysées relèvent du Code pénal. Taguer ou détruire du mobilier urbain fait de vous un délinquant. Voler des marchandises après avoir cassé une vitrine fait de vous un délinquant. Caillasser un fourgon de police ou tabasser un gendarme à terre fait de vous un délinquant. Mettre le feu à un kiosque ou un restaurant fait de vous un délinquant. Incendier une banque fait de vous un délinquant – et même un criminel, si les flammes ont été allumées sans se préoccuper de savoir si l’immeuble était vide de ses occupants. -
Exaspération
«Les Gilets jaunes mettent l’économie à genou»
« Les Français ne consomment plus, ils ne vont plus dans les centres-villes », déplore le président des Chambres de métier et de l’artisanat -
Signaux faibles
Gilets jaunes et violences: les lacunes de la surveillance des réseaux sociaux
Le ministre de l’Intérieur se disait, dès vendredi, en alerte sur la mobilisation de manifestants ultra-violents. Faute d’utilisation appropriée des outils numériques, cela n’a pas empêché ces derniers d’agir et de mettre les Champs-Elysées à sac.