Partech Ventures, classée récemment par Preqin parmi les dix meilleures équipes d’investissement en technologie dans le monde, a annoncé le 26 janvier le lancement de Partech Growth, avec un premier closing de plus de 200 millions d’euros. «Nous avons réussi à faire un premier closing du fonds moins de quatre mois après le début de la commercialisation de Partech Growth. C’est une preuve de la maturité de l'écosystème européen et de l’appétit des investisseurs », précise Bruno Crémel, General Partner de Partech Growth. Partech Growth est un fonds de capital-croissance destiné à apporter entre 10 et 30 millions d’euros aux entreprises « tech » et digitales à très forte croissance ayant déjà atteint des chiffres d’affaires significatifs. La création de Partech Growth répond au déficit de financement européen sur ce segment. L’Europe a réussi à faire émerger plus de 30 entreprises « tech » valorisées à plus de 1 milliard de dollars depuis 2000. La tendance s’accélère mais, selon Mark Menell, General Partner de Partech Growth basé à San Francisco, « la majorité des opérations de capital-croissance des entreprises européennes est jusqu'à présent réalisée par des investisseurs non-européens, et notamment américains. » Le lancement de Partech Growth est soutenu par des grands investisseurs institutionnels : Bpifrance qui intervient notamment pour le compte de l’Etat dans le cadre du Programme d’Investissements d’Avenir, CNP Assurances et AG2R La Mondiale ; ainsi que des grands groupes industriels mondiaux : Carrefour, Ingenico Group et Renault.
Dans cette vidéo interview, Thierry Renard, dirigeant et associé de CGP et Compagnie à Lyon, explique à Citywire quels sont les outils qu’il utilise afin d’aider ses clients à profiter de leur retraite.
En 2014, selon les premières estimations données par la FFSA, la collecte nette de l’assurance vie s'établit à 21 Md€, soit près du double du celle de 2013, qui avait déjà été une année de reprise. Mais le niveau des années 2009 et 2010, avec 50 Md€ de collecte nette positive, est encore loin d'être atteint. Cette collecte nette de l’année 2014 inclut une collecte nette en décembre de 900 M€. Les cotisations d’assurance vie ont atteint 118 Md€ l’an passé, en hausse de 8% sur un an, tandis que les rachats et prestations sont en léger recul (- 1%), à 107 Md€. Selon la FFSA, les cotisations ont été tirées par les unités de compte, qui représentent 20% de la collecte. 2,5% pour les fonds euros et 4,7% pour les UC Le rendement moyen des fonds en euros en 2014 s'élève à 2,50%, en baisse de 30 points de base sur un an. Les unités de compte affichent, quant à elles, un rendement moyen de 4,7%, certes beaucoup moins élevé qu’en 2013, qui atteignait 8,2%. Au total, en 2014, l’encours des contrats d’assurance vie (provisions mathématiques + provisions pour participation aux bénéfices) atteint 1 515 Md€, en hausse de 4% sur un an.
Eres, premier acteur indépendant en actionnariat salarié, retraite et épargne salariale, publie les premiers résultats de l’édition 2015 de son étude sur l’actionnariat salarié des entreprises du SBF120.
Pierre-René Lemas, directeur général du groupe Caisse des Dépôts, a nommé Gabrielle Gauthey directrice des investissements et du développement local de la Caisse des Dépôts.
La réunion du FOMC qui s’achève aujourd’hui intervient sur fond de décalage dans le temps des anticipations de remontée des taux de la banque centrale.
Si la MACSF compte réduire ses investissements en obligations indexées sur l’inflation et les convertibles cette année, l’institution augmentera ses poches actions et immobilier. En outre, l’assureur continuera de diversifier sa trésorerie à travers des OPCVM diversifiés prudents. Tout en précisant les arbitrages à venir, Eric Dubos et Roger Caniard détaillent l’allocation d’actifs du fonds en euros et évoquent les nouveaux projets sur les unités de compte de la MACSF.
Swiss Life, acteur majeur en assurance et gestion de patrimoine, et MADP Assurances, Mutuelle d’Assurance des Pharmaciens, annoncent mardi 27 janvier 2015 un projet de partenariat, sous réserve de l’approbation de l’assemblée générale de MADP.
Dans son numéro du 30 janvier, l'Argus fait le point sur la volonté des groupes Macif et Matmut de faire évoluer Sferen en « Sgam de Sgam » pour façonner leur futur groupe prudentiel commun. Découvrez en avant-première les éléments clés de cette stratégie.
William Margoline, Directeur général adjoint de CM-CIC Gestion et Directeur financier, juridique et des risques chez CM-CIC AM, évoque l’évolution des relations entre gérants et investisseurs institutionnels et met en lumière le principal enjeu : comprendre parfaitement leurs attentes et donc leur environnement.
Partech Ventures, classée récemment par Preqin parmi les dix meilleures équipes d’investissement en technologie dans le monde, a annoncé le 26 janvier le lancement de Partech Growth, avec un premier closing de plus de 200 millions d’euros. «Nous avons réussi à faire un premier closing du fonds moins de quatre mois après le début de la commercialisation de Partech Growth. C’est une preuve de la maturité de l’écosystème européen et de l’appétit des investisseurs », précise Bruno Crémel, General Partner de Partech Growth. Partech Growth est un fonds de capital-croissance destiné à apporter entre 10 et 30 millions d’euros aux entreprises « tech » et digitales à très forte croissance ayant déjà atteint des chiffres d’affaires significatifs. La création de Partech Growth répond au déficit de financement européen sur ce segment. L’Europe a réussi à faire émerger plus de 30 entreprises « tech » valorisées à plus de 1 milliard de dollars depuis 2000. La tendance s’accélère mais, selon Mark Menell, General Partner de Partech Growth basé à San Francisco, « la majorité des opérations de capital-croissance des entreprises européennes est jusqu’à présent réalisée par des investisseurs non-européens, et notamment américains. » Le lancement de Partech Growth est soutenu par des grands investisseurs institutionnels : Bpifrance qui intervient notamment pour le compte de l’Etat dans le cadre du Programme d’Investissements d’Avenir, CNP Assurances et AG2R La Mondiale ; ainsi que des grands groupes industriels mondiaux : Carrefour, Ingenico Group et Renault.
La société spécialisée dans le développement de médicaments orphelins en oncologie a indiqué hier que son titre sera transféré du compartiment C vers le compartiment B d’Euronext Paris à compter du 28 janvier. Ce transfert intervient quelques semaines après l’intégration d’Onxeo dans l’indice EnterNext PEA-PME 150, indice de référence lancé en novembre 2014 pour les valeurs éligibles au PEA-PME.
Optimind Winter vient d’annoncer les nominations de deux nouveaux managers pour contribuer à la poursuite du développement des métiers «Actuariat Conseil» et «Protection Sociale» d’Optimind Winter. Yves Menetrier, sous la responsabilité de Pierre-Alain Boscher, directeur métier en Protection Sociale, et Damien Perez, sous la responsabilité de Gildas Robert, directeur métier Actuariat Conseil, sont nommés managers. Yves Menetrier Yves Menetrier a rejoint Winter & Associés en 2008 et a effectué l’ensemble de sa carrière au sein d’Optimind Winter. Il est diplômé d’un Master en Sciences Actuarielle et Financière de l’ISFA. Consultant au sein du métier Protection Sociale, Yves a accompagné le développement des activités d’actuariat dédiées à la protection sociale auprès de grandes entreprises de tous secteurs. Il a notamment œuvré sur des missions portant sur la mise en place et le pilotage de régimes de prévoyance, santé, dépendance et retraite, ou encore sur le suivi de gestion financière et d’épargne salariale. Il a également occupé la fonction de Practice Leader Dépendance au sein du Pôle de Compétence dédié Optimind Winter. Damien Perez Damien Perez a rejoint Optimind en 2009 en tant que consultant après avoir effectué son stage de fin d'études chez BNP Paribas Cardif. Il membre qualifié et certifié de l’Institut des Actuaires. Actuaire consultant, Damien a participé activement au développement du métier del’actuariat conseil d’Optimind Winter en intervenant sur différentes missions d’expertises et notamment sur des chantiers de conception d’offres Produits, de processus d’arrêtés de comptes ainsi que sur Solvabilité II. Sur ce dernier sujet, Damien est notamment intervenu sur des missions d’accompagnement aux exercices quantitatifs Solvabilité II ainsi que sur des travaux d’homologation d’un modèle interne. Il a également occupé la fonction de Practice Leader Retraite puis Practice Leader Solvabilité II Quantitatif au sein des Pôles de Compétences dédiés Optimind Winter.
At the end of 2014, Carmignac Gestion had assets of EUR50.3bn, thanks to a market effect of EUR3.4bn, which partly offset net outflows of about EUR6.4bn last year. “But above all,” says Didier Saint-Georges, managing director, in an interview with Newsmanagers, “outflows were stopped in second half, as the EUR6.4bn were more or less all lost in the first six months.”Another satisfactory point is that Carmignac Patrimoine, the flagship fund of the range, has returned to gains. Last year, the fund, with has EUR25bn in assets, after outflows of EUR4.3bn last year, posted returns of +8.81%. This result may help to forget the disappointment of 2013 (+3.53%), the cause of the outflows in 2014.In terms of business development, the firm plans to continue its conquest in foreign lands. Some countries show a very good dynamic of inflows. Carmignac Gestion, which does not communicate figures country by country, says it had good results in Belgium and Spain. In the United Kingdom, the firm has also beel ploughing the furrow: “our funds have been detected on the ‘radar screens’ of investors on the major platforms we have identified. As a result, our reputation is growing and inflows are rising gradually,” says Saint-Georges.Lastly, Germany and Switzerland are two countries in which Carmignac Gestion has market shares which remain modest, and where, as a result, “the growth margin is higher.” France, without much surprise, ranks alongside Italy as one of the disappointments of 2014.The French asset management firm is not planning to limit itself to Europe. Over a longer term, it would like to harvest the fruit of the prospecting it is currently carrying out in Latin America and Asia. “Growth in the next five years will be strong and, as such, our market share is weak there,” says Saint Georges.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 120%; }a:link { } Jean-Pierre Mustier, former head of corporate and investment banking (CIB) at UniCredit until last year, has joined Tikehau as a partner, Les Echos reports. The new recruit is better known for heading CIB at Société Générale from 2003 to 2008; he left that firm in 2010 after contributing to the construction of the asset management firm Amundi. Mustier will now be one of five individual partners at the investment company, while the capital of the parent company, Tikehau Captial Advisors, is distributed between employees of the group (85.4%), UniCredit (7.3%), Amundi (7.3%) and Crédit Mutuel Arkea (shareholder in the asset management affiliate). In an interview with Les Echos, Mustier says that his role will be to participate in the management of the group, “but I will be especially responsible for the business development of activities at Tikehau in the United Kingdom, Germany and Italy.” The arrival of Mustier will clearly allow Tikehau to accelerate its international growth after a strong year in 2014. The group posted inflows of EUR1.6bn, allowing it to top EUR5bn in assets under management, including EUR4bn in collective management, and about EUR1bn in proprietary management.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 120%; }a:link { } The online asset management platform of the banking group Mediobanca, CheBanca!, launched one year ago, has posted net inflows of over EUR1bn, exceeding its target of EUR600m, Funds People Italia reports, in an interview with Roberto Ferrari, CEO of CheBanca!. The objective is to reach EUR2.5-3bn in net inflows by mid-2016. CheBanca! has also signed a partnership with Anima SGR, and is in the process of concluding a partnership with Arca SGR. The platform offers access to 2,000 funds.
Dans une longue interview au Financial Times, Anne Stausboll, directeur général de Calpers, parle de son rôle au sein du fonds de pension californien qui gère 295 milliards de dollars. Evoquant sa bataille contre les frais de gestion, elle estime que les coûts ne baisseront que si les fonds de pension s’unissent et défendent la même cause. Mais ce qui passionne vraiment Anne Stausboll, ce sont les questions sociales et environnementales. Aujourd’hui, Calpers fait pression sur les sociétés pour qu’elles évaluent les risques induits par le changement climatique. Calpers essaie aussi de faciliter la nomination de représentants d’actionnaires aux conseils d’administration, dans l’espoir que ces instances soient moins dominées par les hommes, les blancs et les personnes âgées. Anne Stausboll envisage aussi de mettre en avant le sujet de l’inégalité sociale.
L’assouplissement quantitatif décidé par la BCE «va accroître le champ des opportunités» pour la Colombie, a déclaré le ministre des Finances Mauricio Cardenas dans une interview au quotidien. La hausse de la liquidité induite «pourrait nous inciter à émettre des obligations en euros», a précisé le dirigeant, ajoutant que ce stimulus monétaire ne devrait pas affecter le cours du peso par rapport à l’euro.
Depuis plus de deux ans, Instit Invest a réalisé 70 portraits de décideurs financiers. Pour vous permettre d’aller plus loin dans l’échange sur vos passions communes, découvrez, grâce au nouveau moteur de recherche, avec quels institutionnels vous avez le plus d'affinités.
Norman Champ, responsable de l’asset management au sein de la SEC, va quitter le régulateur américain à la fin du mois, indique Reuters. Il avait notamment travaillé au sein de la commission sur la réglementation des fonds monétaires. L’intéressé part après cinq années au sein de l’autorité de régulation. Il était responsable de la division Investment Management depuis 2012. Norman Champ rejoint l’Université de Harvard en tant que professeur invité pour le prochain semestre. Il y donnait déjà occasionnellement des cours, rappelle Reuters. Son départ intervient alors que la SEC projette de lancer un ensemble de réformes en trois volets pour s’assurer que les grands acteurs gèrent correctement les risques de portefeuilles et opérationnels et ont des plans en cas d’accident de marché majeur.
Thiery Boutros rejoint Allianz Global Investors, en qualité de Chargé de relations avec les investisseurs institutionnels, au sein de la direction commerciale à Paris. Thiery Boutros débute sa carrière en 2002 en tant que responsable Marketing au sein de la société BI-SAM, fournisseur de services de mesures de performance et de risques pour la gestion d’actifs. Il intègre en 2006 Natixis Investor Servicing en tant que responsable du Développement de la plateforme de reporting et de mesure de performance. En 2008, il rejoint Natixis Asset Management en tant que responsable de l’Animation Commerciale, pilotant le développement de solutions et de services à destination de la clientèle de Natixis Asset Management, notamment la clientèle Institutionnelle. Avant de rejoindre AllianzGI il était chargé d’affaires pour la clientèle Institutionnelle chez Natixis Global Asset Management en France. Boutros Thiery est titulaire d’un diplôme d’Ingénieur, filière Management des produits innovants, de l‘Université de Technologie de Compiègne (UTC), et d’un Master en Marketing International des Hautes Etudes Commerciales (HEC).