ivedp { margin-bottom: 0.1in; line-height: 120%; }a:link { } In an interview with La Tribune de Genève published yesterday, the chairman of the Swiss bankers’ association claims that the Swiss financial market is “under pressure.” To defend it, the head has called for “new strategies for the future” to be elaborated, particularly as the profitability of private wealth management is falling. With 26% of the global market in the area of cross-border wealth management, the Swiss financial market needs to offer a wide range of services. Additionally, the head claims, like London, Singapore, Hong Kong and Luxembourg, it would be pertinent for these to form a common front and to participate upstream in political thinking about financial regulation and international standards. “All of Switzerland would gain from promoting these types of relationships,” says Patrick Odier, adding that it is in the interests of Switzerland is that it offers a strong financial market, despite being “under pressure.” The financial market must also develop new drivers of growth to conserve jobs and contribute to the economic development of the country. Now more than ever, diversification is essential. Commodity trading is one element among others which represents another 3.5% of Swiss gross domestic product (GDP), and generates up to 10,000 direct jobs. Additionally, 22.5% of tax revenues are derived from Geneva businesses.
Le studio Sony Pictures a finalement décidé d’autoriser la sortie demain du film «The Interview» dans «un nombre limité» de salles aux Etats-Unis, une semaine après avoir suspendu la diffusion de cette comédie à la suite d’une cyberattaque. Le directeur général Sony Pictures, Michael Lynton, a expliqué dans un communiqué que des efforts étaient entrepris pour rendre le film visible dans plus de cinémas et sur différentes plates-formes de diffusion.
Les investisseurs institutionnels français restent hésitants quand il est question de faire bouger les lignes dans les entreprises. A l’exception d’un noyau dur d’acteurs convaincus, la culture de l’ISR peine à prendre dans le paysage institutionnel français, en raison, selon lui, de contraintes réglementaires dans la gestion, ou encore de la multiplication des intermédiaires financiers dans le cadre de leur politique de vote en AG. Le risque croissant de réputation pourrait faire néanmoins évoluer les investisseurs institutionnels.
NEXITY a été informée ce jour qu’une soixantaine de ses dirigeants, parmi lesquels Alain Dinin, son Président-Directeur général et Hervé Denize, son Directeur général délégué, ont convenu d’apporter à la société NEW PORT, société nouvellement créée, une partie des titres NEXITY qu’ils détiennent aujourd’hui représentant environ 1,15% du capital de NEXITY. NEW PORT s’est par ailleurs engagée le 23 décembre 2014 à acquérir 3% du capital de NEXITY auprès du groupe BPCE. Au résultat de ces opérations, NEW PORT détiendra à titre individuel environ 4,15% du capital de NEXITY. NEW PORT pourrait renforcer légèrement cette participation en fonction des opportunités de marché et s’inscrit dans une optique de détention durable. Le concert créé entre NEW PORT et les dirigeants concernés détiendra au total 8,18% du capital de NEXITY (ce pourcentage comprenant les titres que les dirigeants concernés conserveront dans leur patrimoine personnel sans les apporter à NEW PORT). Compte tenu de ce qui précède, la détention totale de NEXITY par ses dirigeants et salariés s’élèvera à environ 12,07 % du capital de NEXITY, en ce compris les actions détenues par des dirigeants et salariés de NEXITY non concertistes. Par ailleurs, le capital de NEXITY sera détenu à hauteur de 33,39% par le groupe BPCE, et à hauteur de 4,97%, par GENERALI, le flottant représentant 49,57% du capital de NEXITY.
Les taux de rendement des principaux contrats d’assurance vie en euro, distribués par le réseau des conseillers de La Mondiale, seront en 2014 de 2,65% ou 2,60% pour les contrats d’épargne et de 2,80% pour les contrats de retraite. « Dans un environnement marqué par des taux d’intérêt à long terme descendus à des niveaux sans précédent et une inflation en baisse significative, l’actif général de La Mondiale permet de dégager un rendement réel très satisfaisant pour les sociétaires. Notre stratégie de gestion des actifs et la prudence de notre politique de rémunération permettent également de préserver les rendements futurs des contrats, grâce au renforcement significatif de la provision pour participation aux bénéfices » commente André Renaudin, Directeur général.
Après avoir convaincu le conseil de surveillance d’investir dans les fonds de prêts à l’économie, Yves Chevalier et Olivier Rousseau, membres du directoire du FRR, ont eu l’autorisation d’ajouter une enveloppe supplémentaire de 360 millions d’euros pour investir dans des fonds de prêts aux PME et ETI.
CNP Assurances cède à Barclays Bank sa participation de 50% dans la société espagnole CNP BVP (CNP Barclays Vida y Pensiones) pour un montant global de 453 MEUR, y compris dividendes exceptionnels. Sous réserve notamment de l’accord des autorités de concurrence et du régulateur espagnol de l’assurance, le closing de cette opération est prévu avant la fin du 1er semestre 2015. Elle devrait se traduire par une plus-value de l’ordre de 200 MEUR sur l’exercice 2015 (chiffre estimé au moment du signing susceptible de varier au moment de la comptabilisation de l’opération). Au 31 décembre 2014, la participation de CNP Assurances dans la société CNP BVP sera comptabilisée comme Actif non courant détenu en vue de la vente. Frédéric Lavenir, Directeur général de CNP Assurances, a déclaré : “Notre filiale CNP BVP a connu un beau développement, principalement sur les métiers d’épargne retraite. Nous la cédons dans d’excellentes conditions. Nous poursuivons notre ambition de développement en Europe du Sud, notamment sur les métiers de prévoyance/protection, à travers notre filiale espagnole CNP Partners”.
Sa présidente Agnès Benassy-Quéré évoque, dans une interview à l'Agefi, trois secteurs sources d'économies, et plaide pour relever le niveau de formation , l'une des armes contre la baisse du rythme de croissance potentielle.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 120%; }a:link { } DNCA Finance is preparing to launch a global version of its global flagship fund Eurose, Enrico Trassinelli, head of DNCA for Italy, has announced in an interview with Bluerating. The director of the French asset management firm also confirms that DNCA is seeking a new strategic partner “to improve the distribution capacities of the companies on global markets where it is not yet present, while the US private equity fund TA Associates, which entered in 2011 with 50% of capital, has decided to sell its stake.” Trassinelli adds that DNCA is holding meetings with clients on 10 and 11 February in Milan.
Dans une interview donnée à L’Agefi, Patrick Moonen, stratégiste senior chez ING IM, table outre-Atlantique sur une économie domestique forte et davantage de rachats d’actions. « Ce seront les moteurs de la croissance des bénéfices » qui devrait faire la performance du S&P 500, a indiqué le responsable. Mais en 2015, la zone euro et les actions japonaises pourraient offrir un meilleur rendement que les actions américaines même si l’on doit constater une volatilité plus élevée en zone euro et au Japon, eu égard aux incertitudes macroéconomiques et politiques. «Sur les marchés européens, nous prévoyons une croissance des bénéfices autour de 9-10% et des valorisations un peu plus élevées, en fonction des actions de la BCE et de la Fed», note Patrick Moonen.
Les réseaux traditionnels plutôt masculins et fermés sont bousculés par l'émergence des réseaux sociaux où les personnalités en vue sont plus accessibles. Il n'en demeure pas moins que dans la finance et plus particulièrement dans le monde institutionnel, ils occupent toujours une place importante pour dynamiser une carrière et promouvoir une profession.
Un véritable séisme est en passe d’ébranler le monde de la mutualité. Harmonie Mutuelle et la MGEN sont sur le point de se rapprocher dans une UMG créant un véritable mastodonte de la santé. L’annonce officielle devrait être faite en janvier.
Par une décision du 19 décembre 2014, la Commission des sanctions de l’ACPR a prononcé à l’encontre de la société ALLIANZ VIE un blâme assorti d’une sanction pécuniaire de 50 millions d’euros. Ces sanctions répriment essentiellement le fait que, jusqu’à une date récente, ALLIANZ VIE n’avait pas adapté son organisation et ses moyens aux nouvelles exigences d’identification des assurés sur la vie décédés et de recherche des bénéficiaires qui ont résulté de la loi du 17 décembre 2007 : Écartant initialement de ses consultations du Registre national d’identification des personnes physiques (RNIPP) la quasi-totalité de son portefeuille de contrats d’assurance sur la vie (99,5 %), ALLIANZ VIE n’a en conséquence, pendant plusieurs années, identifié qu’un nombre très faible d’assurés décédés. Le nombre important d’assurés dont elle a connu le décès à la suite des consultations plus larges de ce registre effectuées à partir d’octobre 2013 démontre, pour la période antérieure, un manquement massif et prolongé de l’entreprise à ses obligations dans ce domaine. Malgré la faiblesse du nombre de recherches à effectuer, en raison de ce manquement, de sérieuses insuffisances ont aussi été constatées dans les diligences entreprises en vue d’identifier les bénéficiaires des contrats d’assurance sur la vie dénoués par décès du souscripteur et de les aviser de la stipulation effectuée à leur profit. Par cette décision, la Commission a en outre sanctionné des manquements aux obligations d’exécution des contrats à terme fixe, de revalorisation des capitaux décès et d’établissement de la liste des contrats d’assurance sur la vie dénoués comportant des montants non réglés. Elle n’a en revanche pas retenu certaines critiques qui portaient sur des pratiques ou des faits très anciens. Afin de déterminer la sanction qu’elle a prononcée, la Commission a tenu compte de ce que ces manquements s’étaient initialement traduits pour ALLIANZ VIE par des dépenses moindres que ce qui était nécessaire et par la conservation indue de sommes, atteignant des montants très élevés, qui auraient dû être versées aux bénéficiaires. Elle a relevé qu’il en est résulté pour ceux-ci un préjudice ainsi que, sur un plan plus général, un effet négatif sur la confiance des assurés pour les produits d’assurance sur la vie.
La Mutuelle nationale territoriale (MNT) et Smacl Assurances, mutuelle d’assurance des collectivités locales, ont officialisé, ce vendredi 19 décembre, des discussions en vue d’un rapprochement « afin de développer entre elles une synergie de compétences ». Coopération opérationnelle puis politique Les contours de ce rapprochement sont encore flous. Les deux mutuelles entendent toutefois « étudier les moyens de construire et déployer ensemble une stratégie commune de développement dans leur champ affinitaire naturel et historique », font-elles valoir. Dans un courrier adressé en interne, dont l’Argus de l’assurance s’est procuré une version, Jean-Luc de Boissieu, président du conseil de surveillance de Smacl précise vouloir jeter « les bases d’une coopération politique et opérationnelle qui vise un développement réciproque au service de la famille territoriale. » La question de la gouvernance n’est pas tranchée Mais sous quelle forme ? Selon des sources proches du dossier, les deux entités envisageraient, dans l’immédiat et dans une démarche pragmatique, la mise en commun des réseaux de distributions ainsi que de certains services aux sociétaires. « Les questions de gouvernance seront abordées dans un second temps. Pas avant 2015-2016 », indique cette même source. Mais l’option d’une société de groupe d’assurance mutuelle (Sgam) semblerait exclue mais pas celle d’un groupement d’assurance mutuelle, un statut moins intégrateur qu’une Sgam au sens de Solvabilité 2, sans lien de solidarité financière. Lire la suite sur le site de l’Argus de l’Assurance
Le président directeur général des pôles santé-prévoyance et mobilité-assistance d’April, Patrick Petitjean, quittera officiellement le groupe lyonnais d’ici à la fin du mois de décembre 2014. Son départ arrive après 14 ans passés au sein du premier courtier grossiste français. Après avoir occupé pendant 11 ans le poste de PDG d’April Assurance, il est nommé, en 2011, directeur général du groupe lyonnais. Mais, Bruno Rousset, actuel PDG d’April, décide de revenir aux commandes fin 2012 et de refondre complètement l’organisation managériale. Ainsi, en décembre 2012, Patrick Petitjean est de nouveau en charge du développement des activités santé-prévoyance et prend également la responsabilité des pôles mobilité internationale et assistance du groupe. Son départ intervient également après la nomination d’Emmanuel Morandini (ex-CNP Assurances) en qualité de directeur général délégué du groupe April, qui a pour mission principale d’accélérer le développement du groupe lyonnais en France mais aussi à l’international. Ce dernier assurera d’ailleurs, par intérim, les fonctions de PDG du Pôle Prévoyance Santé, en attendant le recrutement du successeur de Patrick Petitjean.
Matteo Colafrancesco, actuel directeur général et administrateur délégué de Banca Fideuram, a été nommé vice-président d’Intesa Private Banking, rapporte Bluerating. Cette nomination intervient alors que Banca Fideuram et Intesa Private Banking doivent fusionner.
Le Conseil d’administration de la Caisse Centrale de Réassurance (CCR) a proposé de nommer M. Pierre BLAYAU en tant que Président du Conseil d’administration, en remplacement de Mme Stéphane PALLEZ. Michel SAPIN soumettra cette proposition à l’approbation du Président de la République. A la tête de CCR depuis juillet 2011, Madame Stephane PALLEZ a œuvré avec succès à la modernisation de l’entreprise dans le cadre des orientations fixées par l’Etat. Elle a en particulier recentré l’entreprise sur ses activités « cœur » de réassurance publique et contribué à la préservation du régime d’indemnisation des catastrophes naturelles. Le Gouvernement salue son engagement à la tête de CCR, au service de l’intérêt général. Grace à sa grande expérience à la tête d’entreprises de premier plan, M. Pierre BLAYAU dispose des atouts pour poursuivre la modernisation de la CCR en tandem avec un directeur général qui sera prochainement désigné par le Conseil d’administration. M. BLAYAU a été en particulier Président de Pont-à-Mousson, de la FNAC, de la Redoute et de Geodis (filiale de la SNCF), et est actuellement Président du conseil de surveillance d’AREVA.
Axylia, le spécialiste des solutions financières responsables, en partenariat avec Mutuelle Saint Christophe, a organisé ce mardi 16 décembre 2014, la 5ème édition des [profit for Non Profit] Awards. Une cérémonie a récompensé tous les acteurs de la finance altruiste. Une finance qui réconcilie sens, performance et traçabilité. Près de deux cents personnes se sont jointes à cette fête de l’altruisme. Le Jury a souhaité récompenser les solutions financières qui permettent aux associations et fondations de collecter des ressources nouvelles. Cette 5ème édition a été exceptionnelle : le recensement unique en France mené par Axylia s’enrichit d’une catégorie «Solutions» en plus des livrets, cartes, fonds communs et assurance-vie ; - le calcul exclusif «per capita» a mis en lumière les initiatives altruistes d’acteurs inconnus jusque-là ; pour la première fois, la sortie d’un Compteur Altruiste permet d’affirmer qu’1 Français sur 10 utilise des outils financiers qui génèrent des dons ! la présence aux cotés des financiers de 15 associations et fondations partenaires (CCFD-Terre Solidaire, L’Outil en Main, Solidarités Nouvelles face au Chômage, Amnesty International, Jardins de Cocagne et bien d’autres…) un Award d’Honneur a été remis au Père Bernard Devert pour son exceptionnel développement donné à Habitat et Humanisme depuis 30 ans un Award International a été remis à Mark Benniof, PDG de Salesforce, pour son innovant modèle philanthropique « 1/1/1 » : 1% du temps des employés, 1% des produits et 1% des capitaux propres de Salesforce donnés aux associations et fondations, à travers le monde. Jean-Louis Baffier, vice-Président EMEA l’a reçu en son nom. 11 lauréats primés par les [profit for Non Profit] Awards Parmi les 130 produits financiers participants, 11 ont été primés par un Jury indépendant qui s’est prononcé sur la base du montant des dons de l’année précédente (données récoltées directement auprès des promoteurs par Axylia). « Toutes les sociétés financières participantes nous ont communiqué cette information, se réjouit Vincent Auriac. C’est un signe de maturité et de légitimité des [profit for Non Profit] Awards ! » Au total, 5 Awards des Donateurs, 2 Awards de l’Altruisme et 4 Awards Spéciaux du Jury ont été décernés. Les Awards ont été organisés avec le soutien actif de Mutuelle Saint-Christophe assurances et le relai de l’IDAF, de l’Association Française des Fundraisers, de Youphil et d’Institinvest. Palmarès des [profit for Non Profit] Awards 2014 Awards des Donateurs récompensant les produits ayant distribué le plus de dons à des associations (un Award dans chaque catégorie pour trois nominés excepté pour l’assurance-vie) : Cartes : la Carte Sociétaire du Crédit Agricole Fonds : le FCP Faim et Développement Equilibre de Ecofi Investissements Livrets : le Livret Agir du Crédit Coopératif Assurance-vie : le contrat Entraid’Epargne de la Carac Solutions : les Tookets du Crédit Agricole Awards de l’Altruisme distinguant la clientèle et la société financière qui distribuent le plus de dons dans les cinq catégories confondues, per capita. « La méthodologie est unique et consiste à regrouper les dons et à diviser ce montant par le nombre de leurs salariés, précise Vincent Auriac. Cela permet de prendre en compte les efforts réels déployés par la structure pour promouvoir les produits de finance altruiste. » Clientèle altruiste 2014 : la société financière de la NEF Financier altruiste 2014 : Financière de l‘Echiquier Awards Spéciaux du Jury : destinés à récompenser les initiatives exemplaires ou de création encore récente qui méritent d’être plus connues. « Ces actions sont les coups de coeur du Jury, explique Henri Vannerot, son Président. Nous espérons qu’elles auront du succès et seront largement copiées-dupliquées ! ». Award Spécial 2014 du Jury - Mention Spontanéité à BNP PARIBAS pour Simplidons Award Spécial 2014 du Jury – Mention Nouvel Acteur à TOBAM pour l’Anti-Benchmark Emerging Markets Equity Fund Award d’Honneur 2014 du Jury à Bernard Devert, Président d’Habitat et Humanisme Award Spécial 2014 du Jury – Mention International : Mark Benioff, Président de Salesforce.com
Les enquêtes de satisfaction que nous réalisons régulièrement auprès de nos lecteurs sont formelles. Votre attachement à NewsManagers ne se dément pas. Pour la plus grande fierté de tous ceux qui participent, chaque jour, à la réalisation de votre newsletter. Chacun pourra, de façon très personnelle, justifier l’intérêt qu’il y trouve, qu’il s’agisse de la revue de presse internationale, des études, des interviews et, depuis cette année, des vidéos relayant les points de vue d’experts, asset managers ou investisseurs institutionnels… Il est cependant une raison qu’expriment tous nos lecteurs : le gain de temps que NewsManagers leur procure, en balayant quotidiennement l’actualité de l’univers de la gestion d’actifs, en France, en Europe et dans le monde. Toutes les équipes qui oeuvrent à la réalisation de NewsManagers en sont également convaincues: votre temps est précieux ! Aussi, il nous tenait à cœur de vous en faire encore gagner. Depuis ce matin, vous pouvez découvrir sur votre smart phone une nouvelle version mobile de votre newsletter. Utilisable quel que soit votre appareil, elle se veut plus moderne, plus ergonomique, plus complète, et doit vous permettre, où que vous soyez, de découvrir les informations qui comptent aussi facilement que si vous vous trouviez à votre bureau, devant votre ordinateur. Entre autres nouveautés, vous pouvez désormais accéder aux vidéos et, même opter pour une lecture audio des articles. Enfin, un système d’alertes a été mis en place qui doit vous avertir, en temps réel, des derniers évènements dans le monde de la geston d’actifs… Au seuil de la traditionnelle « trêve des confiseurs », sur votre lieu de vacances, chez vous ou dans votre cadre professionnel, les équipes de NewsManagers vous invitent à vous approprier ce nouveau service moderne et intuitif dont l’objectif est de vous tenir toujours le plus rapidement et le mieux informé... Nous profitons également de cette occasion pour vous souhaiter d’excellentes fêtes de fin d’année… Très cordialement, Les équipes de Newsmanagers
Aymeric Forest, directeur Europe des investissements Multi-Assets chez Schroders, nous explique pourquoi certains investisseurs institutionnels ont recours à la gestion multi-actifs dans le contexte actuel.
Pour mieux se protéger face aux risques financiers, les entreprises envisagent de recourir davantage aux services des managers de transition en 2015. L’année 2015 devrait être particulièrement riche pour les managers de transition. Selon une étude publiée par le cabinet de recrutement Robert Half, 38,5 % des directeurs financiers se disent prêts à faire appel à des spécialistes de la gestion des risques l’an prochain. Un certain engouement que le directeur de Robert Half, Fabrice Coudray, explique par l’impact de nombreux facteurs : la plus grande complexité des systèmes d’information, la disparition des frontières, le mouvement vers le digital, des financements plus complexes, un développement à l’étranger plus instable... Autant de risques auxquels les sociétés sont confrontées et qui inquiètent les directeurs financiers. «?L’entreprise étant exposée à une multitude de facteurs de risque et ne pouvant plus les amortir, le DAF, gardien du temple financier, cherche à recruter un expert hyper compétent, hyper spécialisé, totalement indépendant de la politique interne de l’entreprise et opérationnel, chargé de les identifier?», souligne Fabrice Coudray. Mais les entreprises ne se cantonnent pas à la gestion des risques. Elles cherchent également des professionnels de la réglementation financière (25 %), de l’optimisation de la performance (25 %), de la conformité de la gouvernance (19 %) ou encore des systèmes d’information (18,5 %). Bien définir le périmètre d’action Car, dans le cadre d’un changement majeur – projet stratégique, amélioration de la performance, etc. –, qui entraîne une charge de travail supplémentaire pour les équipes, les grandes entreprises – tout comme les PME – ont bien compris qu’elles avaient tout à gagner à engager des cadres-experts opérationnels, très spécialisés, pour une courte période de temps. «?Dans une économie qui pourrait reprendre des couleurs en 2015, les entreprises sont dans une position ambiguë : elles veulent accélérer, tout en sécurisant leurs investissements et leurs axes de croissance. Pour cela, elles font appel aux managers de transition, dont le rapport coût-efficacité peut être bien plus intéressant que pour quelqu’un qui vient d’un cabinet de conseil?», précise le directeur de Robert Half. Mais, si elles souhaitent que ces professionnels apportent réellement une valeur ajoutée, les entreprises doivent précisément déterminer, avant tout projet, les compétences qu’elles recherchent et définir le périmètre d’action du manager de transition qui sera recruté, rappelle Robert Half. Pour ce faire, le cabinet de recrutement conseille de préparer en amont son arrivée, en l’intégrant aux toutes premières réunions de projet, afin de décider avec lui des objectifs à atteindre. Et ce en évitant toute rétention d’informations, «?un problème classique auquel est souvent confronté le manager de transition?», assure Fabrice Coudray.
Pour mieux se protéger face aux risques financiers, les entreprises envisagent de recourir davantage aux services des managers de transition en 2015. L’année 2015 devrait être particulièrement riche pour les managers de transition. Selon une étude publiée par le cabinet de recrutement Robert Half, 38,5 % des directeurs financiers se disent prêts à faire appel à des spécialistes de la gestion des risques l’an prochain. Un certain engouement que le directeur de Robert Half, Fabrice Coudray, explique par l’impact de nombreux facteurs : la plus grande complexité des systèmes d’information, la disparition des frontières, le mouvement vers le digital, des financements plus complexes, un développement à l’étranger plus instable... Autant de risques auxquels les sociétés sont confrontées et qui inquiètent les directeurs financiers. «?L’entreprise étant exposée à une multitude de facteurs de risque et ne pouvant plus les amortir, le DAF, gardien du temple financier, cherche à recruter un expert hyper compétent, hyper spécialisé, totalement indépendant de la politique interne de l’entreprise et opérationnel, chargé de les identifier?», souligne Fabrice Coudray. Mais les entreprises ne se cantonnent pas à la gestion des risques. Elles cherchent également des professionnels de la réglementation financière (25 %), de l’optimisation de la performance (25 %), de la conformité de la gouvernance (19 %) ou encore des systèmes d’information (18,5 %). Bien définir le périmètre d’action Car, dans le cadre d’un changement majeur – projet stratégique, amélioration de la performance, etc. –, qui entraîne une charge de travail supplémentaire pour les équipes, les grandes entreprises – tout comme les PME – ont bien compris qu’elles avaient tout à gagner à engager des cadres-experts opérationnels, très spécialisés, pour une courte période de temps. «?Dans une économie qui pourrait reprendre des couleurs en 2015, les entreprises sont dans une position ambiguë : elles veulent accélérer, tout en sécurisant leurs investissements et leurs axes de croissance. Pour cela, elles font appel aux managers de transition, dont le rapport coût-efficacité peut être bien plus intéressant que pour quelqu’un qui vient d’un cabinet de conseil?», précise le directeur de Robert Half. Mais, si elles souhaitent que ces professionnels apportent réellement une valeur ajoutée, les entreprises doivent précisément déterminer, avant tout projet, les compétences qu’elles recherchent et définir le périmètre d’action du manager de transition qui sera recruté, rappelle Robert Half. Pour ce faire, le cabinet de recrutement conseille de préparer en amont son arrivée, en l’intégrant aux toutes premières réunions de projet, afin de décider avec lui des objectifs à atteindre. Et ce en évitant toute rétention d’informations, «?un problème classique auquel est souvent confronté le manager de transition?», assure Fabrice Coudray.
Pour améliorer la rentabilité, Apicil s’est fortement intéressé cette année aux obligations d’entreprises non notées. Tout en perfectionnant les outils de gestion et de contrôle des risques, Bertrand Jounin, directeur de la gestion d’actifs du groupe de protection sociale, nous explique comment. Sensible à l’emploi régional, il mène également une réflexion sur les moyens de financer l’économie.
The Financial Conduct Authority (FCA) has banned Jonathan Paul Burrows from performing any function in relation to any regulated activities «for not being fit and proper» after he dodged GBP43,000 in rail fares.'Burrows held a senior position within the financial services industry. His conduct fell short of the standards we expect. Approved persons must act with honesty and integrity at all times and, where they do not, we will take action,’ said Tracey McDermott the FCA’s director of enforcement and financial crime. Jonathan Paul Burrows was a managing director at Blackrock Asset Management Investor Services Limited. On 19 November 2013, he was stopped by a Revenue Protection Officer at the exit gates of London Cannon Street Station and was found to have failed to purchase a valid ticket for the entire journey whilst travelling on the Southeastern train service from Stonegate railway station, East Sussex. Burrows was interviewed under caution and admitted to evading his rail fares on a number of occasions. On the occasions on which Jonathan Paul Burrows failed to purchase a valid ticket he boarded the London bound train at Stonegate, a rural station with no barriers, without purchasing a ticket. Once he had arrived in London he exited through the barriers at Cannon Street Station by «tapping out» using an Oyster travel card, paying the maximum fare of GBP7.20 rather than purchasing the required ticket for GBP21.50. Jonathan Paul Burrows admitted to the FCA that he had evaded his train fare on a number of occasions and had done so in the knowledge that he had been breaking the law.
Les investisseurs institutionnels peinent à trouver le juste équilibre entre les mouvements de marché à court terme et leurs mandats de long terme, selon une étude mondiale menée par Natixis Global Asset Management.
Distinctions Ont été nommés Chevaliers de l’Ordre national du mérite, par décret du 13 novembre 2014 (JO du 15 novembre) : Mme Sylvie MALECOT, Gérant, Millenium – Actuariat & Conseil Arnaud CHNEIWEISS, ancien directeur général adjoint de la MATMUT et secrétaire général du GEMA Thierry DISSAUX, président du fonds de garantie et de résolution bancaire Jean-Bernard LAUMET, vice-président de l’AMAFI.
Coe-Rexecode et l’AFTE ont publié le 12 décembre les principaux résultats de l’enquête mensuelle de décembre 2014 sur la trésorerie des grandes entreprises. Elle s’est déroulée entre le 3 et le 9 décembre. En résumé : la situation de trésorerie d’exploitation des grandes entreprises et des ETI est un peu moins aisée qu’au milieu de l’année 2014 ; en revanche, la trésorerie globale des entreprises s’améliorerait à nouveau en décembre ; les délais de paiements des clients se seraient stabilisés en fin d’année. Il en va de même pour les délais vis-à-vis des fournisseurs ; les recherches de financement sont aisées selon les trésoriers dans un contexte de réduction des marges bancaires sur le crédit ; l’environnement de taux d’intérêt très faibles contribue à faire de la détention en cash le support privilégié de placement des liquidités.