La cérémonie de remise de prix récompensant les investisseurs institutionnels «Les Couronnes Instit Invest» a rassemblé mercredi 3 décembre plus de 350 personnes au Collège des Bernardins, à Paris. 10 prix ont été décernés en présence de Lorànt Deutsch et de Charles de Courson. Nous vous proposons de découvrir les lauréats et nominés de cette troisième édition en photos.
Scénario pour 2015 : le contre choc pétrolier autorise un optimisme circonspect Rude tâche que celle de fournir un scénario pour le rendement des principales classes d’actifs en 2015. Les performances pressenties, celles des actions comme celles des obligations, s’annoncent maigres. A y regarder à deux fois, cependant, le contrechoc pétrolier récent a des effets bénéfiques qui pourraient permettre de prolonger encore l’appréciation des actifs obligataires et actions.
Selon nos informations, Guerric Thouvenin exerce désormais la fonction de directeur des investissements de la Mutuelle Générale de la Police (MGP) dans le cadre d’une mission de management de transition. Il remplace à ce poste Sonia Essouri. Guerric Thouvenin est un professionnel reconnu dans le monde de la gestion institutionnelle : directeur de département fixed income expérimenté, gestion d’actifs obligataires et monétaires, stratégie d’allocation d’actifs, analyse crédit, gestion ALM, étude et mise en place de Solvency 2, développement d’outils d’aide à la décision pour la gestion d’actifs fixed income, création de produits de taux d’intérêt innovants. Depuis qu’il a quitté le groupe AG2R - La Mondiale (où il occupait le poste de Directeur de la gestion de taux), en janvier 2012, il avait élaboré un business model pour une activité de gestion d’OPCVM obligataires et monétaires alternatifs (process absolute return). Pour retrouver son parcours complet, vous pouvez consulter son profil Linkedin
Le fonds de pension Ontario Teachers’ Pension Plan (OTPP) a annoncé, ce 2 décembre, la nomination de Jo Taylor au poste de «managing director» pour l’Europe, le Moyen Orient et l’Afrique et de responsable de son bureau à Londres. L’intéressé reste responsable de l’activité de capital investissement, baptisée Teachers’ Private Capital, dans la région, a précisé le fonds de pension dans un communiqué. Jo Taylor, qui a intégré OTPP en 2012, devient également membre du comité d’investissement de l’institution. Cette nomination intervient alors que le fonds de pension, présent à Londres depuis 2007, ouvrira un nouveau bureau dans la capitale anglaise, à Portman Square, en 2015 afin d’accueillir une équipe multi classes d’actifs plus importante. Au 31 décembre 2013, OTPP gérait 21 milliards de dollars d’actifs dans la région sur un encours total de 140,8 milliards de dollars.
A l'occasion de la première Journée Nationale des investisseurs institutionnels organisée par Instit Invest au Collège des Bernardins à Paris (www.journeedesinvestisseurs.com), Jean-René Giraud, CEO de Koris International dévoile en avant première les résultats de l'Enquête 2014 European Institutional Risk-Based Investing.
Dernière-née des mutuelles du Nord de la France et héritière d’un long passé mutualiste, M comme Mutuelle a fortement investi sur la qualité de service à ses adhérents. Elle entend quasi doubler le nombre de personnes protégées d’ici à 2019. Si l’année 2013 a été l’année du choix de l’indépendance, 2014 est pour M comme Mutuelle celle de la mise en œuvre opérationnelle de cette nouvelle vie après le départ du groupe de protection sociale Humanis. La mutuelle a ainsi réalisé un «reset» complet de son organisation. Tous ses métiers ont été redéployés - S.I. fonctionnels et métiers, organisation, management… - dans une seule logique : toujours mieux servir l’adhérent. Avec des choix relativement innovants, comme le passage à la complète gestion électronique des documents, génératrice d’une productivité «inégalée», la création d’un intranet sous forme de Facebook interne avec ses communautés par direction, mais aussi transverses (GED, marketing…) l’encouragement à la prise d’initiatives, une employabilité renforcée des équipes… Qualité et rapidité de service «Tout n’est pas révolutionnaire, mais tout ce que nous avons fait n’a de sens que si c’est validé par nos clients », explique Jérôme Rehlinger, directeur de M comme Mutuelle. Des clients « remis au cœur de l’entreprise» et qu’elle entend «bluffer par une qualité et une rapidité de services inconnue jusqu’ici, par le changement d’état d’esprit de ses collaborateurs… », mais également par «une vraie politique commerciale de fidélisation avec des tarifs et des évolutions de cotisations très faibles.» Les récents appels à cotisations affichaient une progression de 0 % sur le collectif standard. M comme Mutuelle sera bien sûr dans la course à l’ANI «sur toutes les lignes de départ dès lors que les courses seront territoriales», assure Jérôme Rehlinger, convaincu que «notre proximité et notre qualité de service feront la différence.» Lire la suite sur le site de l’Argus de l’assurance
Alain Martel, secrétaire général de l’Institut Français des Administrateurs (IFA), nous présente les missions de l’Institut et ses chantiers actuels. Il répond à une demande croissante pour des formations sur mesure mais aussi prépare la refonte de son site internet, le développement de sa base d’adhérents et le renforcement de son action en régions.
Comptez-vous lancer au moins un appel d’offres en gestion financière en 2015 ? Répondre Les résultats de ce sondage seront dévoilés lors de la première édition de la Journée des Investisseurs, qui se déroulera à partir de 14h, le 3 décembre, au Collège des Bernardins, 18-24 rue de Poissy, 75005 Paris. A cette occasion, assistez à l'émission de radio «Bilan 2014 sur les appels d’offres de gestion financière» avec pour intervenants : Stéphane Tortajada (EDF), Aymeric Forest (Schroders France), Alexandre Lengereau (Amadeis).
En s’intéressant plus particulièrement à l’analyse du risque, la CRPN a introduit l’année dernière une gestion “minimum variance” sur les poches actions, dans le but d’améliorer le couple rendement-risque. N’étant pas convaincus par les fonds de dettes aux PME, l'institution a préféré plutôt investir dans les obligations senior corporate et le private equity pour participer au financement de l’économie.
Salwa Boussoukaya-Nasr, directrice financière du Fonds de Réserve pour les Retraites (FRR) dans une interview accordée à Option Finance : «La performance financière du FRR a atteint 5 % l’an dernier et 7 % depuis le début de l’année. Mais compte tenu de la volatilité récente sur les marchés, ce niveau pourrait légèrement baisser d’ici à la fin de l’année, même si nous restons optimistes pour nos performances en 2014. En revanche, nous le sommes un peu moins pour l’avenir proche. Ces deux dernières années, nos performances ont largement dépassé nos espérances puisque nous avons notamment pleinement profité de la baisse des taux d’intérêt. Mais cette situation ne devrait pas se reproduire à l’avenir. A l’heure actuelle, le rendement courant de l’OAT 10 ans étant bien inférieur à 1,3 %, si les taux stagnent, nos performances obligataires pourraient rester comprises entre 0,5 et 0,7 % dans les prochaines années. Mais si les taux remontent, ces dernières vont entrer en territoire négatif. Cette situation est entièrement liée à notre gestion actif-passif qui offre peu de flexibilité pour investir en dehors de titres obligataires de bonne qualité dans le cadre de notre poche de couverture. Dans ce contexte et pour assurer la sécurité de nos placements, nous ne pouvons pas décider de vendre nos actifs obligataires, puisque nous devons les conserver pour qu’ils correspondent à notre horizon de placement. De manière paradoxale, la situation idéale serait une remontée très rapide des taux, ce qui nous permettrait de réinvestir nos tombées et coupons à des niveaux de rendement plus attractifs. L’autre option serait de pouvoir prendre plus de risque en crédit ou d’aller plus sur des produits moins liquides comme les fonds de prêt à l’économie, ce qui est plus difficile compte tenu des contraintes actuelles de notre gestion.»
Affichant un encours de 6 milliards d’euros dont 5 milliards en fonds euros et le solde en unités de compte, Prépar-Vie, comme toutes les compagnies d’assurance soumises à une gestion actif-passif, consacre un poids prépondérant aux obligations. Quant aux actifs de diversification qui représentent environ 20 % de l’ensemble, ils sont essentiellement destinés à accroître la performance. A titre d’exemple, au sein de l’actif général, en matière de diversification, 8 % de l’ensemble est consacré aux actions, 3 % à l’immobilier, 3 % de produits flexibles, 2 % de gestion alternative et 1 % au private equity. A la différence des obligations qui sont gérés en direct, les autres classes d’actifs sont investis exclusivement en OPCVM, a rappelé Arnaud Laforge dans lecadre d’une interview sur Newsmanagers TV. La gestion quantitative qui ne peut représenter plus que 10 % de la poche diversification, en dépit de son bon comportement cette année. Certes, les résultats peuvent séduire, mais le responsable a rappelé que, pour sa part, en tant qu’assureur, les investissements qui ont ses préférences portent sur des actions de rendement. Un rendement le plus pérenne possible, a-t-il indiqué. « Ce sont les OPCVM investis sur les titres de cette nature ou qui table sur une croissance des rendements que nous recherchons, a relevé Arnaud Laforge. Pas de reproches à proprement à l’encontre de la gestion quantitative donc mais des opportunités plus importantes du côté des actifs de rendement, plus en phase de surcroît avec ses attentes en matière de produits financiers. Enfin, le responsable a confirmé que le fonds eurocroissance ferait bien partie de la gamme de Prépar-Vie en 2015, En l’occurrence, pour la gestion, il s’agira d’un actif cantonné. Par rapport l’actif général, le canton va comporter naturellement une part d’actifs risqués plus importante. Sans que son poids aient été d’ores et déjà définitivement arrêté. « Pour se démarquer de la performance des fonds en euro, l’idéal serait d’avoir le double d’actifs risqués», a néanmoins admis Arnaud Laforge.
Réunica gère 8 milliards d’euros d'encours répartis entre un portefeuille Retraite (7 milliards d’euros) et un portefeuille Prévoyance (1 milliard d'euros). « Nous avons pour projet d’augmenter la part de l’immobilier pour atteindre 8 % du portefeuille en investissant dans des immeubles de bureaux occupés par le groupe », annonce le directeur financier Francis Weber tout en précisant que la fusion avec AG2R La Mondiale se traduira par le maintien d’une implantation sur plusieurs sites.
«Sur la base des résultats 2014, la question est : où se trouve le potentiel de revalorisation des actifs obligataires ?», s’est interrogé Michel Manteau, responsable de la gestion taux de la CARMF, le 27 novembre, lors de la table-ronde sur la diversification obligataire, qui s’est déroulée dans le cadre de la rencontre émetteurs/investisseurs Morningstar. Devant des taux d’intérêt à des niveaux historiquement bas, « et qui le resteront durablement », a ajouté Eric Dubos, directeur de la gestion financière de la MACSF, la recherche de rendement passe par la diversification du portefeuille. D’autant qu’en tant qu’assureur, la MACSF doit prendre en compte l’entrée en vigueur au 1er janvier 2017 de Solvabilité II. « La charge en capital demandée sur des obligations 10 ans notée ‘AA’ est de 9%, a précisé Eric Dubos. Sur des émissions ‘A’ cela monte à 10%, 20% sur du ‘BB’ et cela peut atteindre 58% en dessous, autant dire que les assureurs ont coupé tous les émetteurs corporate longs ». Selon lui, les assureurs se diversifient en prenant en considération trois critères : le rendement, le risque et le coût en capital. La Banque Postale doit quant à elle composer avec deux contraintes réglementaires, Bâle 3, mais aussi ISFR 9, qui entrera en vigueur le 1er janvier 2018. «Avec cette législation, les plus-values réalisées ne transitent plus par le compte de résultat, a détaille François Marbeck, directeur du portefeuille de diversification chez La Banque Postale. Elles représenteront une amélioration de capitaux propres et ne seront en aucun cas susceptibles de distribuer du revenu. Le changement est radical, une banque ne peut plus utiliser son portefeuille de placement pour lisser son résultat en réalisant par exemple des plus-values». La banque se trouve donc dans l’obligation d’aller chercher du rendement en s’appuyant sur de nouvelles classes d’actifs. «La situation a beaucoup évolué, a expliqué François Marbeck. Aujourd’hui, nous demandons au portefeuille de diversification de fabriquer du revenu car il n’y en a plus ailleurs. » Dans la recherche de diversification, François Marbeck a mis en avant les classes d’actifs « illiquides» comme l’immobilier et les infrastructures. «Nous avons de la visibilité pour investir dans les infrastructures, à hauteur de 5 à 10 millions d’euros, avait-il déclaré récemment à la rédaction d‘Instit Invest. Nous n’avons pas encore décidé précisément sur quel type d’actifs nous allons nous diriger.» François Marbeck avait cependant précisé ce qu’il attendait de ces fonds : «Nous demandons absolument à tous nos fonds d’infrastructures de bien structurer leur distribution de capital en revenu d’un côté, et remboursement de capital de l’autre, car ce que nous recherchons vraiment c’est du revenu comptable.» De son côté, Michel Manteau a expliqué que la CARMF allait bientôt disposer de trois overlay sur la gestion obligataire (sur le souverain, le crédit et les convertibles) de façon à se protéger contre le risque de remontée des taux. «De cette manière nous conservons une certaine flexibilité de l’allocation obligataire, a développé le gérant taux de la CARMF. Notre objectif est de saisir des opportunités lorsque la volatilité des marchés se met en place, car nous pouvons subir des chocs de liquidité sur le souverain et le crédit surtout.»
Pendant ses études, Francis Weber effectue plusieurs stages à la Fnac du 17ème arrondissement de Paris, qui est à l’époque située avenue de Wagram, dans le rayon réservé au matériel hi-fi. Diplômé de Sciences Po Paris (section économique et financière) en 1975, et attiré par l’expertise-comptable, il saisit l’opportunité de travailler à la Fnac mais cette fois en tant qu’employé au contrôle de gestion.
Installé le 20 juin dernier par le Gouvernement, le Conseil d’orientation de la participation, de l’intéressement, de l’épargne salariale et de l’actionnariat salarié (COPIESAS) a achevé ses travaux relatifs à la réforme de l’épargne salariale. Le 26 novembre 2014, Christophe CASTANER, Vice président du COPIESAS, a remis un rapport comportant 31 propositions à Michel SAPIN, Ministre des Finances et des Comptes publics, François REBSAMEN, Ministre du travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social et Emmanuel MACRON, Ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique. Conformément aux orientations que lui avait données le Gouvernement, les recommandations du COPIESAS visent à rendre l’épargne salariale plus simple et attractive pour les entreprises et leurs salariés, quelle que soit leur taille et à permettre une meilleure contribution de cette épargne au financement de l’économie. Sur la base de ce rapport et de ces recommandations, le Gouvernement consultera les partenaires sociaux pour confirmer leurs attentes et propositions sur ce sujet. Il formulera des propositions d’ici à la fin d’année, qui seront intégrées au projet de loi pour l’activité au 1er trimestre 2015, lors de son examen par le Parlement. La réforme de l’épargne salariale devra répondre à 3 objectifs : Simplification des dispositifs d’épargne salariale ; Extension de l’épargne salariale, notamment aux PME ; Meilleur financement de l’économie. Consultez le rapport du COPIESAS
Kim Nguyen, directeur général délégué de Forward Finance a exposé son point de vue sur «l’allocation au contrôle : nécessité du respect de la chaîne de gestion d’actifs» lors des 15èmes rencontres MutRé.
Avez-vous prévu de renforcer les équipes de la direction financière sur les 12 prochains mois ? Répondre Les résultats de ce sondage seront dévoilés lors de la première édition de la Journée des Investisseurs, qui se déroulera à partir de 14h, le 3 décembre, au Collège des Bernardins, 18-24 rue de Poissy, 75005 Paris. A cette occasion, assistez à l'émission TV «Prospective sur les métiers de la direction financière» avec pour intervenants : Patricia Forest (CRPN), Jean-Marc Didier (Fidelity Worldwide Investment), Frédéric Debaere (Mercer Investments).
Le rapport de la mission d’évaluation parlementaire sur « Les normes prudentielles et le financement non bancaire de l’économie » est prévu pour le début d’année prochaine. L’objectif de cette mission d’évaluation des conséquences de Bâle 3 et Solvabilité 2 est d’abord de vérifier que ces dispositifs ne conduiront pas à des arbitrages réglementaires, voire à l’émergence de mécanismes non contrôlés.
Au cœur des missions de la nouvelle Commission européenne et des réflexions du Parlement européen, le thème « Régulation et croissance » a été abordé lors de la conférence annuelle 2014 de l’EIFR qui s’est déroulée le 25 novembre dernier à Paris. Plusieurs invités de marque sont ainsi venus débattre sur le sujet : Patrick Gounelle, président de l’EIFR ; Robert Ophele, sous-gouverneur de la Banque de France ; Steven Maijoor, chairman de l’ESMA ; Martin Merlin, directeur de la direction marchés financiers à la Commission européenne ; Philippe Messager, président de l’AFTE ; Laurent Guillot, directeur financier de Saint-Gobain ; Emmanuelle Nasse-Bridier, responsable de la politique d’investissement Crédit chez Axa ; et Philippe Heim, directeur financier de la Société Générale.
La banque privée suisse BSI compte ouvrir prochainement un nouveau bureau en Italie pour répondre au développement de ses activités dans la péninsule, a indiqué son directeur général, Stefano Coduri, dans une interview parue mercredi dans le quotidien Corriere del Ticino. La nouvelle entité sera indépendante de la succursale milanaise de BSI Europe, ouverte en avril 2013, et devrait occuper une demi-douzaine de collaborateurs. Le CEO n’exclut par ailleurs pas l’ouverture d’autres bureaux en Italie.Si BSI compte continuer de concentrer ses activités sur ses principaux marchés que sont la Suisse et l’Italie, son CEO évoque également une expansion à l’international. Stefano Coduri évoque notamment l’Asie, l’Amérique latine, le Moyen-Orient et l’Europe de l’Est, qu’il qualifie de «très intéressants et en forte croissance».La banque privée restera le coeur de métier de l'établissement, mais le CEO n’exclut pas une diversification des activités suite à son récent rachat par le groupe financier brésilien BTG Pactual. Il rappelle cependant que le transfert de propriété ne sera réalisé qu’au début de l’année prochaine et que, jusque-là, la banque «reste entièrement sous le contrôle du groupe Generali».
L’AMF met les choses au point. Alors que par voie de communiqué de presse diffusé le 20 novembre 2014, la société Aristophil indiquait que : " son activité est validée par l’Autorité des marchés financiers " et que, par ailleurs, dans une interview publiée sur le site nicematin.com, Monsieur Gérard Lhéritier, président d’Aristophil, indiquait que " tous les produits de sa société ont régulièrement été soumis à l’AMF et ils ont toujours obtenu son feu vert ", le régulateur a démenti ces affirmations.L’activité de la société Aristophil est hors de son champ de compétence a tenu à préciser l’AMF. De fait, elle n’a ni agréé, ni visé, ni enregistré des produits de cette société. Fondée en 1990, Aristophil propose à ses clients de placer dans des lettres et manuscrits anciens. Or, la justice soupçonne, une escroquerie de type pyramide de Ponzi. Selon l’hebdomadaire Le Point, le fisc et Tracfin ont repéré des irrégularités dans les finances du groupe. Au printemps dernier une enquête préliminaire pour «pratiques commerciales trompeuses» et «escroquerie en bande organisée» a été ouverte.
Changement à la tête de Pioneer Investments. La société de gestion italienne et sa maison-mère UniCredit ont en effet annoncé, ce 26 novembre, le départ effectif au 31 janvier 2015 de son actuel directeur général Sandro Pierri. Giordano Lombardo, actuel directeur général adjoint et directeur des investissements, «assurera la continuité du management des activités de Pioneer Investments durant cette période», précisent UniCredit et Pioneer Investments dans un communiqué. Giordano Lombardo compte plus de 25 ans d’expérience, dont 17 au sein de Pioneer. Il a débuté sa carrière chez UniCredit il y a 20 ans tant qu’analyste financier et gérant de portefeuilles. Sandro Pierri occupait le fauteuil de directeur général depuis deux ans et demi, une période au cours de laquelle la société de gestion a cumulé 24 milliards d’euros de collecte nette. Cette réorganisation intervient alors qu’UniCredit a engagé des discussions avec Santander en vue de fusionner Pioneer Investments et Santander Asset Management (Lire NewsManagers du 24 septembre 2014). Une opération qui valoriserait Pioneer entre 2,7 milliards et 3 milliards d’euros.
Une situation qui se dégrade pour les acteurs associatifs et les mal-logés Aggravation de la crise du logement, baisse des réponses publiques aux plus exclus... le secteur associatif est confronté à une évolution brutale dans un environnement qui se fragilise. Les acteurs agissant auprès des personnes mal logées sont touchés de plein fouet par ce contexte et confrontés à des difficultés pour développer leurs actions — parfois même pour les maintenir — alors même que les besoins explosent. Suite à une enquête conduite par la Fondation Abbé Pierre auprès des associations qu’elle soutient : 90 % d’entre elles citent la diminution des financements publics comme leur principale difficulté, 82 % indiquent le manque de fonds propres comme leur principale difficulté interne, 60 % identifient le besoin d’un accompagnement stratégique. Une réponse innovante et complémentaire aux actions de la fondation En créant SOLIFAP, avec le soutien d’AG2R LA MONDIALE, la Fondation Abbé Pierre ambitionne aujourd’hui de compléter ses actions en faveur du logement des personnes défavorisées grâce aux investisseurs solidaires. Il lui faut aujourd’hui utiliser tous les outils mobilisables pour renforcer les initiatives du secteur associatif, l’accompagner dans son développement et faciliter son accès aux financements. L’épargne et l’investissement solidaires doivent jouer ce rôle pour lutter contre le mal-logement des personnes exclues de notre société. SOLIFAP propose un nouveau dispositif d’accompagnement aux acteurs associatifs autour d’une approche basée sur trois leviers complémentaires : un outil foncier pour plus de logements très sociaux, un outil financier pour développer les actions sociales, un outil d’accompagnement et de conseil pour sécuriser les modèles socio-économiques. Afin de soutenir cette action et contribuer au développement de SOLIFAP, la Fondation Abbé Pierre a signé une convention de partenariat avec le Fonds d’innovation AG2R LA MONDIALE dans une démarche innovante de co-construction. SOLIFAP : une entreprise solidaire pour une utilité sociale visant «Au mieux vivre» des mal-logés L’utilité sociale recherchée est accompagner sur 5 ans plus de 250 associations qui seront soutenues directement ou indirectement dans leurs modèles socio-économiques. Ces dernières travaillant avec près de 100 000 personnes à la rue ou sans domicile personnel, ce seront autant de victimes du mal-logement qui pourront être mieux accueillies et accompagnées vers un logement décent, facilitant la mise en oeuvre d’un nouveau projet de vie.
Dans une interview accordée à l'AGEFI, Matthias Seewald et Edouard Jozan, respectivement Directeur des investissements et Responsable ALM-Stratégie d'investissement chez Allianz France, expliquent les conséquences potentiels d'une hausse de taux sur leur passif.
L’association de promotion du développement de l’intéressement et de la participation, Fondact, a salué le 26 novembre comme une avancée majeure les recommandations publiées dans le rapport du Copiesas, remis le même jour à Emmanuel Macron, ministre de l'économie, François Rebsamen, ministre du travail, et Michel Sapin, ministre des finances. Fondact, qui a pris une part active aux travaux du Copiesas, se réjouit notamment que le rapport recommande l'élargissement des dispositifs existants aux salariés des petites entreprises et aux agents de la fonction publique. Il approuve également la simplification des mécanismes selon la taille des entreprises avec le Livret E pour les petites, «le contrat collectif de performance» pour les plus grandes, assortie d’une harmonisation des règles de gestion de l’intéressement et de la participation et d’une adaptation du cadre législatif pour le secteur public. En revanche, Fondact regrette que la fiscalité ne soit évoquée que très indirectement. «Les meilleures entreprises sont celles qui gagnent de l’argent, les autres n’iront pas loin; parmi ces meilleures entreprises, il en est qui sont meilleures encore, en associant tous leurs salariés à leurs succès par les mécanismes de l'épargne salariale. Le forfait social est donc un impôt qui vise directement et exclusivement les meilleures des meilleures entreprises. C’est un impôt absurde, il doit être aboli», souligne Fondact.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 120%; } As it celebrates its fourth birthday, “Le Comptoir par CPR,” the activity of CPR AM dedicated to independent financial advising, has announced that it has passed the psychologically significant EUR1bn threshold. Since its launch in September 2010, this unit has posted net inflows of EUR600m as of the end of June 2014. With EUR240m in inflows in the year 2013 alone, “at the conclusion of first half, we were at EUR170m,” Jean-Eric Mercier, CEO of CPR AM, said recently in an interview with Newsmanagers. Due to this performance, “Le Comptoir par CPR» now positions itself among the top asset management company partners of IFAs,” CPR AM says in a statement.
La gérante actions d’Europe de l’Est, Renata Klita, a quitté Blackfriars Asset Management, a appris Citywire Global. Ce départ intervient six mois après celui de Glen Prentice. Renata Klita était pressentie pour remplacer ce dernier sur le BNY Mellon Compass East Europe Diversified aux côtés d’Anastasia Levashova.
Après avoir délaissé le marché, Aviva Investors revient en Italie avec de nouveaux produits et de nouvelles initiatives pour les investisseurs institutionnels, rapporte Bluerating, qui a interviewé Manuel Della Corte, directeur d’Aviva Investors pour la Suisse et l’Europe du Sud, lors du Lugano Fund Forum. « Notre objectif pour les prochains mois et les prochaines années est de renouer les relations que nous avons et de gagner de nouveaux clients », a-t-il déclaré lors d’une interview filmée. Aviva Investors gère environ 500 millions d’euros pour des clients italiens.
Agrica Epargne, filiale du Groupe Agrica, accompagne pas à pas les entreprises et les salariés du monde agricole dans la mise en place de solutions d'épargne salariale favorisant le financement de projets ou de la retraite. A l'occasion des 10 ans d'Agrica Epargne, un film a été réalisé (www.agrica-epargnesalariale.com/10ans), réunissant différents témoignages.