L’Association des assureurs mutualistes (AAM) a nommé Cornélia Federkeil au poste de secrétaire générale le 28 mars. Elle remplace Anne Mounolou qui avait quitté son poste en décembre 2016.
Après avoir finalisé l'acquisition d'Antarius, la Société Générale nomme Laurent Doubrovine au poste de directeur général d'Antarius et Jean-Manuel Mercier au poste de directeur général délégué.
Fondact, association professionnelle de promotion de l’épargne salariale, a publié ses propositions destinées aux équipes de campagnes à l’élection présidentielle et au prochain Président de la République pour favoriser le partage des résultats dans les entreprises.
Retour sur les principaux enseignements du nouveau rapport de la Fédération internationale des coopératives et mutuelles d’assurance (Icmif), qui vient de publier son étude annuelle sur la place des mutuelles et coopératives d’assurance dans le marché de l'assurance.
C’est via son fonds Aviva Impact Investing France, géré en partenariat avec le Comptoir de l’Innovation (INCO) et doté de 30 millions d’euros dédiés au financement des projets à impact social et environnemental, qu’Aviva France a souhaité accompagner particuliers et professionnels à s’engager dans une épargne solidaire et rentable. Ainsi pour 1€ investi via la plateforme de financement participatif 1001PACT.com le fonds Aviva Impact Investing France investira 1€ dans les projets qui auront été validés par le comité d’investissement du fonds. Patrick Dixneuf, directeur général : « Aviva France est un acteur pionnier dans l’accompagnement au développement de l’entrepreneuriat à impact en France que ce soit avec notre fonds Aviva Impact Investing France, géré avec le Comptoir de l’Innovation, via nos solutions d’assurance distribuées par nos agents généraux partout en France ou avec la Fabrique Aviva, qui finance les initiatives à impact local et social. Par ce partenariat particulièrement innovant avec 1001Pact, nous souhaitons participer au développement de cet entrepreneuriat social et environnemental, secteur particulièrement innovant qui crée des solutions économiquement viables pour répondre aux grandes problématiques sociétales actuelles. Nous souhaitons aussi démontrer que les acteurs de cette économie peuvent répondre à des exigences raisonnables de rentabilité financière et ainsi attirer d’autres acteurs du monde financier et des investisseurs particuliers vers ce secteur. » « Tale Me » : première start-up innovante à impact social et environnemental ouvert à l’investissement en ce moment sur 1001Pact.com. Le premier projet à profiter de ce partenariat est la société Tale Me, une entreprise qui a mis en place un système de location de vêtements pour jeunes enfants (0-6 ans) et la maternité.
Entretien croisé entre Jean-Rémy Roulet,directeur de la Caisse paritaire de prévoyance de l’industrie et de la construction et président de l’ASIP et Fabrice Lombardo, membre du directoire de Swiss Life Reim, sur l’investissement immobilier, à l’occasion des Clubs Dates Invest qui se sont déroulés à Lyon le 23 mars dernier.
Dans le cadre du questionnaire des Couronnes Instit Invest 2016, Philippe Dutertre, directeur adjoint des investissements chez AG2R La Mondiale, évoque la politique de l'institution dans l'économie réelle. Si ces investissements présentent un caractère ISR passant par le financement les entreprises contribuant au développement durable, ils sont aussi destinés à favoriser l'emploi durable en France.
Entrée dans la finance pour y trouver du mouvement, Caroline Le Meaux, responsable de la gestion déléguée au sein de la direction des retraites et de la solidarité de la Caisse des Dépôts, a troqué il y a six ans sa casquette de gérante actions pour celle d’investisseur institutionnel. Fascinée par le Japon après y avoir passé une année universitaire, elle a emmené un groupe de travail sur l’Archipel pour étudier les innovations écologiques du pays du Soleil-Levant. Des berges de l’île de Shikoku au quai d’Austerlitz, voyage en compagnie d’une institutionnelle impliquée dans l’ISR.
Le conseil d’administration de la Fondation du Patrimoine a nommé son nouveau président en la personne de Guillaume Poitrinal. Il succède à Charles de Croisset qui présidait la Fondation depuis 12 ans et dont le mandat est arrivé à échéance. Charles de Croisset précise : « J’ai eu l’honneur de présider la Fondation du Patrimoine pendant douze ans. Je remercie nos bénévoles et nos salariés, en particulier les deux directeurs généraux avec qui j’ai eu le plaisir de travailler : Frédéric Néraud puis François-Xavier Bieuville. Grâce à eux la Fondation se porte bien, mais elle doit bien sûr poursuivre sa modernisation et son développement, pour cela trouver de nouvelles ressources et de nouveaux mécènes, dans un environnement qui n’est pas facile. Je suis très heureux que Guillaume Poitrinal ait été élu à la présidence de notre Fondation. Son parcours personnel, ses réussites, son dynamisme, son intérêt pour le patrimoine de la France dans toute sa diversité, en faisaient le candidat idéal. Je lui souhaite la plus grande réussite. » Guillaume Poitrinal ajoute : « C’est un grand honneur d’avoir été choisi par le Conseil pour succéder à Charles de Croisset et à Edouard de Royère. La Fondation est une entreprise exceptionnelle qui rassemble près de 600 bénévoles et 70 salariés, tous passionnés par la cause de la défense de notre patrimoine. Je suis heureux de pouvoir consacrer mon énergie à consolider les acquis et à relever, avec cette équipe, tous les défis qui sont devant nous. » Diplômé d’HEC (1989), Guillaume Poitrinal a débuté sa carrière chez Morgan Stanley à Londres et à Paris, avant de rejoindre Unibail en 1995 où il restera 18 ans. A compter de 2005, il dirige le groupe, opère la fusion avec Rodamco, multiplie sa taille par quatre et le fait entrer dans le CAC 40. En 2013, il décide de quitter Unibail-Rodamco 217.85€ | -0.57% pour fonder Woodeum, une société spécialisée dans la promotion immobilière bas carbone utilisant le bois massif CLT. En parallèle, il crée le fonds d’investissement ICAMAP destiné à favoriser la croissance des sociétés foncières de petite et moyenne taille en Europe. Guillaume Poitrinal est membre du Conseil de la simplification pour les entreprises (qu’il a présidé pendant 2 ans à sa création), membre du Conseil stratégique de la Ville de Paris, président du Conseil stratégique de l’attractivité et de l’emploi en Ile-de-France et membre fondateur de l’Association pour le développement du bâtiment bas carbone. Il est l’auteur de “Plus vite ! La France malade de son temps” (Ed. Grasset). Guillaume Poitrinal est chevalier de la Légion d’Honneur et décoré de la Médaille de l’académie d’architecture. Il est marié, et père de trois enfants.
Investisseur au service de la transition énergétique depuis 2014, l'Ircantec réaffirme aujourd'hui ce rôle en précisant ses initiatives. Caroline Le Meaux, responsable de la gestion déléguée de l'institution, détaille le travail effectué pour former les administrateurs et pour continuer à prôner les bonnes pratiques à l'extérieur.
Le Club Cleantech de l’Association Française des Investisseurs pour la Croissance (AFIC), publie son baromètre des investissements réalisés par les acteurs français du capital-investissement dans le secteur des Cleantech en 2016, en collaboration avec le site GreenUnivers et EY (anciennement Ernst & Young).
Après une année 2016 riche en actualités, Muzinich & Co, société de gestion indépendante spécialisée dans les stratégies de dettes d’entreprises, travaille cette année à l’ouverture d’un bureau à Singapour, indique dans une interview à NewsManagers Anne Petit, country manager France. Cette dernière annonce par ailleurs le lancement prochain d’un fonds paneuropéen sur la dette privée.
Les dispositions du pilier 1 de Solvabilité 2 perpétuent l’incitation des assureurs à investir dans la dette souveraine. La bonne représentation du risque souverain et de ses conséquences dans l’ORSA fait figure de défi pour les assureurs, explique Pierre Thérond, actuaire chez Galéa & Associés.
L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution a approuvé l’intégration de l’Unité Lorraine Mutualiste (ULM Prévoyance) au sein de l’union nationale mutualiste interprofessionnelle (UNMI).
Le spécialiste des ingrédients alimentaires Solina, cible d’un LBO d’Ardian début 2016, est en passe de boucler la renégociation de ses financements bancaires. Selon LCDNews, le groupe augmentera de 65 millions d’euros sa dette senior «bullet» avec remboursement in fine dans sept ans, à 352 millions d’euros. La guidance a été arrêtée à une fourchette de 350 à 375 points de base (pb) au-dessus de l’Euribor, contre 475 pb pour le Term loan B précédent.
Après les déclarations du patron de la Caisse, Qualium doit clarifier sa situation en vue de sa future levée de fonds. Un rachat par l'équipe est évoqué.
Patricia Kaveh quitte Henderson Global Investors où elle occupait le poste de directeur du développement pour la France, Monaco et Genève à Paris, a révélé hier Newsmanagers (Groupe Agefi). Ce départ intervient alors que la société de gestion britannique est en pleine fusion avec le groupe américain Janus Capital. Dans un communiqué, Henderson GI a confirmé la promotion de Charles-Henri Herrmann, 36 ans, au poste de directeur du développement France, Genève et Monaco. Charles-Henri Herrmann travaille chez Henderson GI depuis 2010.
Elle travaillait depuis 13 ans chez Henderson Global Investors et occupait le poste de directeur du développement pour la France, Monaco et Genève à Paris. Ce départ surprise, dont les raisons ne sont pas connues, intervient alors que la société de gestion britannique est en pleine fusion avec le groupe américaine Janus Capital.
Alors que la dette privée est toujours attractive, son profil de rentabilité/risque a considérablement évolué depuis 2012. A travers son étude "Dette privée: qu’est-ce qui a changé ?", bfinance révèle les principaux développements, enjeux et points clés à surveiller sur cette classe d’actifs à partir des recherches et sélections de gérants conduites.
Pour son édition 2017 de l’Observatoire de la dette des collectivités locales, Finance Active analyse l’endettement des collectivités et des stratégies de dette mises en œuvre tout au long de 2015. Construit grâce à l’exploitation des bases de données Finance Active et commenté par l’équipe chargée des études économiques et financières, l’Observatoire Finance Active décrypte les évolutions récentes et les tendances de moyen terme.
La Caisse des Dépôts (CDC) a officialisé son souhait de se désengager de Qualium, sa filiale de LBO majoritaire. «La société de gestion Qualium a notamment vocation à être cédée car son activité n'a plus d'originalité particulière sur le marché», a déclaré Pierre-René Lemas, directeur général de la CDC, dans une interview aux Echos. Il se fait plus précis qu’en janvier dernier, lorsqu’il indiquait que Qualium «pourrait prendre son envol sans la CDC courant 2017».
BNP Paribas Cardif enregistre un résultat net avant impôt s’élevant à 1,4 milliard d’euros, en croissance de 2,8% par rapport à 2015. Ses actifs sont pour leur part en hausse de 5,1% à 226 milliards d’euros. Face aux évolutions technologiques, comportementales et réglementaires, l'assureur met en place un plan de développement 2017-2020 axé sur la transformation digitale.
Selon une enquête AXA IM auprès de 122 compagnies d'assurance européennes menée entre septembre et novembre 2016, les taux bas (pour 75% des personnes interrogées), la réglementation (47%) et l’incertitude de l’avenir de l’Europe (43%) constituent les trois principaux défis auxquels doivent faire face les assureurs dans la gestion de leur portefeuille d'investissement.
Dans une étude Ipsos menée pour la Fédération Française de l’Assurance (FFA) sur l’assurance vie et les Français, la FFA rappelle l’effort des assureurs pour le financement de l’économie. L’année 2016 a constitué « un record historique du financement des entreprises (françaises et zone euro, ndlr) par les assureurs », relève la FFA. Les assureurs ont consacré 59% de leurs placements à des actifs d’entreprise (1.349 milliards d’euros), répartis en obligations d’entreprises (884 millions d’euros soit 39% de leurs actifs), en actions (391 millions d’euros soit 17% de leurs actifs) et en immobilier d’entreprise (74 millions d’euros soit 3% de leurs actifs). Plus de la moitié de ces investissements (756 milliards d’euros) a bénéficié aux entreprises françaises. Les PME et ETI française ont notamment reçu des financements directs en hausse avec 63,4 milliards d’euros consacrés par les assureurs à fin 2016. Les engagements des assureurs vis-à-vis des PME et ETI ont triplé en 6 ans. Ils ont été orientés en 2016 vers des financements en capital (31,4 milliards d’euros) et des financements par la dette (32 milliards d’euros). « Ces bons résultats sont la conséquence d’un effort d’innovation sans précédent conduit depuis 2012 par les assureurs en partenariat avec les pouvoirs publics et la Caisses des Dépôts », se félicite la FFA en faisant référence aux lancements des fonds Nova et des fonds privés en 2012, aux fonds Novo et la création des fonds de prêts à l’économie en 2013 et au lancement des fonds Novi en 2015. « Le financement des entreprises passera de façon croissante par les marchés financiers et les investisseurs institutionnels que sont les assureurs », assure la FFA. Les assureurs français détiennent également 18% de la dette française (292 milliards d’euros), soit presque la moitié de la dette détenue par des résidents Les Français peu enclins à se tourner vers les actions La part de la collecte en unités de compte dans les contrats d’assurance vie a presque doublé entre 2012 et 2016 atteignant 20% l’année dernière. Mais dans son enquête, la FFA montre que les Français ont une appétence limitée pour les contrats en actions. 78% des détenteurs d’assurance vie ne souhaitent pas prendre plus de risque en investissant davantage en actions d’entreprises. De même, 69% des détenteurs d’assurance vie ne souhaitent pas souscrire, si la loi le proposait, un nouveau contrat d’assurance-vie fortement investi en actions de petites et moyennes entreprises, plus risqué mais avec une fiscalité plus avantageuse. Les deux nouveaux contrats d’assurance vie, Euro-croissance et Vie génération, lancés en 2014, doivent aussi permettre de mieux mobiliser l'épargne en faveur de l’investissement productif et du financement des PME et ETI mais leur attrait reste modéré compte tenu de leurs faibles rendements. Avec 54 millions de contrats, 37 millions de bénéficiaires et un encours de 1.632 milliards d’euros, l’assurance vie est le premier placement financier des Français.
Patricia Kaveh quitte Henderson Global Investors où elletravaillait depuis 13 ans et occupait le poste de directeur du développement pour la France, Monaco et Genève à Paris, a appris Newsmanagers. Ce départ surprise, dont les raisons ne sont pas connues, intervient alors que la société de gestion britannique est en pleine fusion avec le groupe américain Janus Capital.En attendant d’en savoir davantage sur le rapprochement des bureaux français de Henderson et de Janus, c’est Charles-Henri Herrmann qui va être nommé directeur du développement France, Genève et Monaco. Il dirigera l’équipe de distribution basée à Paris et sera en charge du développement de l’activité institutionnelle en France. Charles-Henri Herrmann avait rejoint Henderson Global Investors en 2010 en tant que senior sales manager.
Le cabinet Alpha FMC France, spécialiste des acteurs de la gestion d’actifs et de la banque privée, a annoncé ce 29 mars le recrutement d’Annabelle Rocat en tant qu’associée en charge de sa « practice » dédiée au « Wealth Management ». L’intéressée a débuté sa carrière en tant que conseiller en gestion de patrimoine au sein du Crédit du Nord et du CCF. Elle a ensuite intégré les équipes organisation & stratégie de BNP Paribas Wealth Management à l’international. Depuis 9 ans, au sein de structures de conseil, elle pilote l’offre « Banques Privées » et intervient sur des problématiques de distribution produits et développement d’activité en gestion sous mandat, définition et mise en place de stratégies opérationnelles, accompagnement de projets de transformation/fusions, adaptation aux évolutions réglementaires et mise en place d’outils CRM.
Le cabinet Alpha FMC France, spécialiste des acteurs de la gestion d'actifs et de la banque privée, a annoncé ce 29 mars le recrutement d'Annabelle Rocat en tant qu'associée en charge de sa « practice » dédiée au « Wealth Management ».
Au cours de l’événement Clubs Dates Invest à Lyon, Arnaud de Langautier, président d’Amplegest, David Charlet, président de l’Anacofi et Jean-Philippe Mango, associé gérant du cabinet Evolia ont expliqué leurs difficultés pour orienter les investissements vers les PME. Jérémie Garrot, directeur général adjoint de L’Auxiliaire doit également faire face à d’importantes contraintes. Après l’éclatement de la bulle internet, la crise financière de 2008 ayant causé un choc de liquidité sur les marché et la crise de 2011, la clientèle des conseillers en gestion de patrimoine (CGP) semble échaudée par les fonds cotés des petites et moyennes valeurs et privilégie plutôt le non coté, a constaté Arnaud de Langautier, président d’Amplegest. « Tout le monde semble avoir perdu la culture des actions, des PME, des entreprises familiales et du temps long », affirme-t-il. « Pourtant la performance des petites entreprises régionales ou parisiennes tient la comparaison des fonds small et middle caps. L’erreur serait de la comparer à la performance du CAC40 où la volatilité est très importante », ajoute-t-il. Les CGP ont du mal à orienter leurs clients vers le financement de l’économie malgré les ambitions du gouvernement. « Un CGP n’est ni un opérateur de marché ni une société de gestion, il ne peut faire que du conseil. Faute de nouveaux outils, nous proposons donc surtout l’option de la gestion collective à nos clients », a indiqué David Charlet, président de l’Anacofi. En outre, « les CGP ont besoin de comprendre la façon dont les fonds sont gérés mais cela demeure complexe de faire de la due diligence. Nous n’avons pas les moyens des prestataires des services d’investissement (PSI) par exemple », ajoute Jean-Philippe Mango, associé gérant du cabinet Evolia. Seule innovation récente : les plateformes de crowdfunding, qui ont permis d’apporter environ 400 millions d’euros sur le marché. « Mais un CGP ne peut pas être rémunéré par la plateforme pour une affaire qu’il réalise, ce qui réduit l’intérêt d’apporter des investissements », précise David Charlet. Quoi qu’il en soit, les CGP observent un retour notable de leurs clients pour des actifs tangibles. « En parlant d’une région et de petites et moyennes valeurs, le CGP donne corps à une histoire. Son client matérialise mieux son projet, ce n’est pas un investissement fiction », évoque Jean-Philippe Mango. Côté investisseur institutionnel, les contraintes sont nombreuses pour investir dans des entreprises. « Avec Solvabilité 2, il est nécessaire de réaliser une due dilligence assez poussée à chaque investissement, ce qui nous empêche d’aller investir seul directement dans des PME ou des ETI », explique Jérémie Garrot, directeur général adjoint de L’Auxiliaire. Les investisseurs regardent également attentivement le coût en capital des fonds actions (39%), nettement plus élevé que celui des fonds obligataires (10%). Ils observent les ratios d’emprise des fonds et doivent prendre en compte les exigences de reporting et de transparisation des fonds dues à Solvabilité 2. De fait, L’Auxiliaire rationnalise ses portefeuilles : « en deux ans, nous sommes passés de 60 à 30 fonds dans notre portefeuille », précise Jérémie Garrot. Finalement, les small et mid caps peuvent intéresser L’Auxiliaire grâce à leur rendement très intéressant mais « il nous faut trouver des fonds qui conviennent à toutes nos contraintes, cela revient à n’investir que dans des fonds d’une taille minimum de 100 millions d’euros », conclut-il, ce qui laisse peu de chance, selon lui, à des fonds régionaux.