Malgré la généralisation de la complémentaire santé à tous les salariés au 1er janvier 2016, Eovi – MCD Mutuelle, qui affiche un chiffre d’affaires global de 787 M€ contre 826 M€ en 2015, a plus profité du développement en complémentaire santé individuelle qu’en collective. La mutuelle annonce, en individuelle, un développement commercial positif avec 26 M€ d’affaires nouvelles, avec notamment un bon démarrage de l’offre Santé Vitalité destinée aux plus de 55 ans. Mesurée en personnes protégées, la part du collectif a tout de même progressé : elle est passée de 39,9% en 2015 à 41,7% des 1,36 million de personnes protégées en 2016. FORTE VOLATILITÉ Une évolution qui confirme la moindre rentabilité des contrats collectifs pour les organismes complémentaires, et à laquelle s’ajoute une forte « volatilité » du marché. « Nous avions des contrats qui possédaient un bon ratio P/C (ndlr prestations/cotisations) qui ont été remplacés par des contrats ANI qui n’ont pas le même », a expliqué Maurice Ronat, président d’Eovi-MCD, lors d’une conférence de presse mercredi 12 avril. L’ANI a aussi réduit le coefficient familial, c’est-à-dire le nombre d’ayants droit, par contrat. « Nous avons aussi fait le choix de ne pas vendre à n’importe quel prix », ajoute Eric Gex-Collet, directeur général de la mutuelle. Si ce choix a pénalisé le chiffre d’affaires, il a permis à Eovi-MCD de maintenir sa santé financière. Le résultat net ressort à 7,5 M€ et les fonds propres sont stables à 632,5 M€, ce qui permet à la mutuelle d’afficher un taux de marge de solvabilité de 339,6% sous Solvabilité 2. DÉVELOPPER LA PRÉVOYANCE L’ambition pour 2017 tout comme le plan stratégique pour la période 2017-2020 visent en priorité à préserver les équilibres financiers de la mutuelle, à travers un plan d’économies (-5M€ prévus en 2017) et une transformation opérationnelle. Eovi-MCD s’attaque dans ce cadre aux frais de gestion, avec un objectif de réduction de 1% par an, de 19,23% aujourd’hui à 16% en 2020. Autre axe majeur, le développement de l’union mutualiste de groupe (UMG) Aesio créée l’an dernier avec Adréa et Apreva. L’UMG devrait permettre à ses membres de se développer auprès des grands comptes, du courtage et des branches professionnelles, ainsi que de diversifier leurs offres. L’un des axes est l’assurance dommage, en partenariat avec Thélem. Aesio réfléchit aussi à une offre d’assurance emprunteur en partenariat. L’autre axe majeur est la prévoyance. En raison des orientations adoptées par Harmonie Mutuelle concernant Mutex, le développement de la prévoyance passera par de nouveaux partenaires, « toujours dans le monde de l’économie sociale », a affirmé M. Ronat. Enfin, l’entrée de l’UMG Solimut dans Aesio reste à l’ordre du jour. Mais personne, et sans doute pas l’ACPR non plus, ne souhaite voir se constituer une UMG d’UMG. Ce nouveau rapprochement n’interviendra donc pas avant que les mutuelles membres de Solimut n’aient elles-mêmes fusionné.
BNP Paribas Cardif consolide ses positions au Japon. La filiale d’assurance de BNP Paribas a annoncé mercredi « une alliance stratégique » avec Sumitomo Mitsui Trust Bank, l’une des entités du quatrième groupe bancaire du pays. Cet établissement est déjà l’un de ses partenaires locaux. Implantée dans l’Archipel depuis 2000, la compagnie française y travaille avec 60 institutions financières, essentiellement des banques régionales. qui distribuent son offre d’assurance-emprunteur. Elle y a réalisé, en 2016, 500 millions d’euros de chiffre d’affaires. Il est prévu que BNP Paribas transforme ses deux succursales au Japon en filiales de droit nippon d’ici à la fin 2018. Sumitomo Mitsui Trust Bank prendra 20 % du capital de la nouvelle compagnie d’assurance-vie. Les modalités financières de l’opération n’ont pas été divulguées. Il s’agit pour les deux groupes de lancer de nouveaux produits et de développer une activité de bancassurance. Lors de la présentation, fin mars, de son plan 2017-2020, BNP Paribas Cardif (27,1 milliards de chiffre d’affaires en 2016) mettait en avant la singularité d’un modèle de distribution fondé sur 500 partenariats dans le monde.
L’Arabie saoudite, épaulée par Citigroup, HSBC, JPMorgan Chase, BNP Paribas, Deutsche Bank et NCB Capital, a réussi à placer aujourd’hui un montant plus élevé que prévu de 8 milliards de dollars d’obligations sukuks répondant aux exigences de la finance islamique grâce à une demande des investisseurs supérieure à 33 milliards de dollars, selon les premières sources de marché. Ce fort appétit a en outre permis de réduire de 15 pb le spread consenti par le pays sur les deux souches à 5 et 10 ans, à respectivement 100 pb et 140 pb au-dessus du taux midswap de référence.
John Paulson, le gérant de hedge funds américain, va quitter le conseil d’administration de l’assureur AIG, ce qui marque la fin de sa campagne activiste pour démanteler la société, rapporte le Financial Times. Le départ doit être annoncé dans les prochains jours. Cela intervient un peu plus d’un an après que John Paulson a obtenu une représentation au conseil d’administration. Le gérant avait, avec d’autres, obtenu le départ de Peter Hancock, mais il n’a pas réussi à démanteler la société.
Les investisseurs qui ont déposé une plainte en mai contre des banques et des traders devant la justice américaine pour manipulation des cours sur le marché mondial des obligations para-souveraines ont ajouté quatre banques à leur liste, dont BNP Paribas. Une version modifiée de leur plainte montre que, outre la banque française, HSBC, RBC et TD Bank sont également visées par l’action en justice, tout comme le trader obligataire Gary McDonald, qui a travaillé dans trois de ces établissements. Lors du dépôt de la plainte en mai, Bank of America, Crédit Agricole, Credit Suisse, Deutsche Bank et Nomura Holdings étaient accusées d’avoir conclu une entente pour élargir les écarts de prix bid-ask (à la vente et à l’achat) fournis à leurs clients sur le marché des obligations d'émetteurs supranationaux, sous-souverains et des agences (SSA). La plainte a été déposée devant une cour fédérale de Manhattan par le fonds de pension Boston Retirement System. Elle intervient après l’ouverture d’enquêtes des autorités de la concurrence aux Etats-Unis et dans l’Union européenne sur des soupçons de manipulation des cours des obligations SSA.
Les investisseurs qui ont déposé une plainte en mai contre des banques et des traders devant la justice américaine pour manipulation des cours sur le marché mondial des obligations para-souveraines ont ajouté quatre banques à leur liste, dont BNP Paribas. Une version modifiée de leur plainte montre que, outre la banque française, HSBC, RBC et TD Bank sont également visées par l’action en justice, tout comme le trader obligataire Gary McDonald, qui a travaillé dans trois de ces établissements. Lors du dépôt de la plainte en mai, Bank of America, Crédit Agricole, Credit Suisse, Deutsche Bank et Nomura Holdings étaient accusées d’avoir conclu une entente pour élargir les écarts de prix bid-ask (à la vente et à l’achat) fournis à leurs clients sur le marché des obligations d'émetteurs supranationaux, sous-souverains et des agences (SSA). La plainte a été déposée devant une cour fédérale de Manhattan par le fonds de pension Boston Retirement System. Elle intervient après l’ouverture d’enquêtes des autorités de la concurrence aux Etats-Unis et dans l’Union européenne sur des soupçons de manipulation des cours des obligations SSA.
Michel Manteau, qui a rejoint la Caisse Autonome de Retraite des Médecins de France en 1995, est depuis l’an dernier responsable du service gestion d’un portefeuille d’environ 7 milliards d’euros investi à hauteur de 45% en actions, de 35% en taux et de 20% en immobilier. Il nous détaille son approche de la gestion systématique et la place qu’elle occupe au sein de son portefeuille.
Si la Fédération européenne des assureurs, Insurance Europe, salue les avancées sur les RTS dans le dossier des Priips, elle réclame toutefois des clarifications sur les mesures de niveau 3.
Le groupe, composé de la société d’assurance Sham et du courtier Sofaxis, a annoncé un chiffre d’affaires en hausse et un résultat net en baisse mais revenu à la « normale » après une année 2015 « exceptionnelle ». Sur la RC médicale, activité historique du groupe, la tension tarifaire est toujours aussi forte et pousse le groupe à intensifier son développement à l’international.
Entretien croisé entre Jean-Sébastien Lyonnaz, directeur Trésorerie-Financement Gestion d'actifs du groupe APRIL, et François Millet, responsable du développement produits ETF et indiciels chez Lyxor Asset Management, sur l'utilisation stratégique et tactique des trackers pour les institutionnels, à l'occasion des Clubs Dates Invest qui se sont déroulés à Lyon le 23 mars dernier.
« J’ai toujours voulu travailler dans la banque et l’investissement », déclare Guillaume Dard, fondateur de Montpensier Finance. Le dirigeant, qui a construit sa réputation sur le développement de la Banque du Louvre et de la multigestion en France dans les années 90 est depuis plus de dix ans à la tête de Montpensier Finance, sa troisième expérience entrepreneuriale. Féru de lecture, il se passionne notamment pour les ouvrages d’histoire, d’économie et de finance. Il intervient aussi régulièrement sur BFM Business, où il partage son analyse macroéconomique et stratégique.
Dans la publication intitulée « L'impact de la réglementation prudentielle Solvabilité 2 sur le financement de l'immobilier par le secteur de l'assurance », les pôles de recherche en Economie et Analyse Financière et Comptabilité de l'EDHEC Business School, réalisent une analyse critique de la calibration du risque immobilier dans la réglementation prudentielle Solvabilité 2. Cette étude, conduite en partenariat avec le Ministère du Logement et de l'Habitat Durable, teste la robustesse du calcul des deux éléments clefs de la calibration de Solvabilité 2, l'ampleur du choc immobilier (Value-at-Risk) et le calcul de la corrélation de l'immobilier avec les autres classes d'actifs.
En 2016, les cotisations des Plans d’Epargne Retraite Entreprises sont en hausse de 6 % et atteignent 2,4 milliards d’euros, dont 163 millions d’euros de versements volontaires (+11%).
Flipkart, le premier distributeur en ligne en Inde, a annoncé aujourd’hui avoir levé 1,4 milliard de dollars (1,3 milliard d’euros), dont 500 millions auprès d’eBay, qui va également lui céder les activités du site eBay.in. Microsoft et Tencent ont aussi participé au tour de table, qui est le plus important de la société à ce jour, a indiqué le groupe indien dans un communiqué. Il revendique une valorisation de 11,6 milliards de dollars après cette levée de fonds.
Toyota a annoncé un investissement de 1,33 milliard de dollars (1,26 milliard d’euros) dans son usine du Kentucky dans le cadre d’un plan de développement de 10 milliards de dollars aux Etats-Unis sur les cinq prochaines années. Cette annonce intervient dans un contexte d’incertitude quant à la politique commerciale du président américain Donald Trump, qui pourrait affecter certains projets d’investissements des groupes japonais.
At a time when inflows to real assets from institutional investors are setting records, Eric Wohleber, head of real and alternative asset sales at Amundi, details the major issues surrounding this global fad for NewsManagers.
Suite au rappel à l'ordre de certaines règles aux distributeurs de produits immobiliers, Xavier Parain, directeur de la gestion d'actifs de l'AMF, explique à l'occasion d'une interview, les raisons pour lesquelles les SCPI et OPCI ne sont pas sans risques.
Les annonces de rapprochement se sont multipliées ces derniers mois entre grands acteurs de la gestion en Europe. Face à l’augmentation des coûts et à la pression sur les marges, les sociétés de gestion se sont en effet engagées dans une course à la taille. Si les grandes opérations sont très visibles, les rapprochements concernent aussi les structures plus petites et devraient s’accélérer dans les prochains mois.
Au cours des dernières années, la patience et la détermination des investisseurs « value » ont été mises à très rude épreuve en raison de la sous-performance du style « value ». Compte tenu d’un contexte d’aversion pour le risque accrue et de l’incertitude entourant l’économie mondiale, les investisseurs ont privilégié les valeurs de croissance, considérées comme sûres en raison de leurs bénéfices stables et/ou de leur potentiel d’expansion. Ritu Vohora, directrice des investissements actions chez M&G Investments estime que les actions « value » demeureront cette année attractives, mais met en garde les investisseurs contre les valeurs pièges.
(Re)découvrez l’intégralité de l’enquête que la rédaction d’Instit Invest a menée auprès des talents prometteurs de la gestion financière au sein d’institutions ou qui ont déjà su s’imposer à un poste clef, âgés de 25 à 45 ans.
L’avènement du populiste Trump avait suscité un engouement soudain sur les marchés financiers mais aussi beaucoup d’inquiétude dans le reste du monde. Les Etats-Unis allaient-ils tourner le dos à leur système d’alliances et au libre-échange, les deux piliers qui ont structuré le monde et assuré sa sécurité et sa prospérité depuis des décennies ? En réalité, au fur et à mesure que l’administration américaine se peuple de personnes compétentes (et elle a réussi à attirer des profils brillants), les conceptions caricaturales et parfois erronées du Président Trump laissent place à une approche plus rationnelle, tout en intégrant les exigences accrues de la Maison Blanche vis-à-vis des autres nations. Cette normalisation est bienvenue car elle stabilise le cadre dans lequel évoluent les marchés financiers.
Pierre Garcin, directeur des solutions d’assurances du pôle dédié de Natixis, quittera ses fonctions au sein du groupe BPCE d’ici quelques jours. Il devrait rejoindre un cabinet de chasse de tête spécialiste du secteur financier
L’évasion fiscale a fait de nouveau parler d’elle cette semaine. Toujours ancrée au centre des préoccupations des autorités, elle a été à l’origine d’une vaste enquête internationale à l’encontre de Credit Suisse et certains de ses clients. Deux journées de fouilles dans ses locaux se sont conclues, notamment, par des arrestations et la saisie d’informations concernant plusieurs milliers de comptes.En France, L’Erafp a quant à lui publié les résultats de ses votes aux assemblées générales 2016 des grandes entreprises dans lesquelles il investit. Rémunération des dirigeants et dividendes sont dans son viseur. L’institution a aussi livré la liste des heureux gagnants de 16 mandats qu’il a attribués sur les actions européennes gérées conformément à ses principes responsables, et dont les appels d’offre avaient été lancés en juin dernier. Toujours en France, l’Autorité des marchés financiers (AMF) ainsi que l’Autorité des normes comptables (ANC) ont souhaité rappeler quelques principes fondamentaux aux différents acteurs de la Place qui distribuent des produits d’investissements immobiliers, notamment des OPCI et SCPI. Sous le coup d’une très forte collecte auprès des particuliers, les méthodes de valorisation de ces produits peu liquides suscitent leur vigilance. Du côté des acteurs, Amundi a annoncé durant la semaine avoir bouclé son augmentation de capital visant à financer une partie de l’acquisition de Pioneer. La voie est donc libre pour la filiale du Crédit Agricole qui va pouvoir affirmer son empreinte européenne sur le monde de la gestion d’actifs. Carmignac, de son côté, s’est mis à la gestion pilotée pour le compte d’un contrat d’assurance-vie en ligne. Un partenariat avec Grisbee, filiale du Crédit Mutuel Arkéa, donne un coup de jeune à l’institution. Côté « people », iM Square, la plateforme fondée par Philippe Couvrecelle, ancien dirigeant chez Edmond de Rothschild AM et Natixis AM, vient de s’adjoindre les services de Julien Froger jusqu’alors patron du bureau commercial français de Janus Capital. Son départ intervient au même moment que celui de Patricia Kaveh, qui dirigeait le bureau parisien d’Henderson GI et dont on sait que les deux groupes sont en pleine fusion. Enfin, Morningstar France pourrait bientôt changer de dirigeant. Son directeur général, Jean-François Bay, s’apprêterait à rejoindre la Financière de l’Echiquier en tant que directeur du développement.
La Caisse de dépôt et placement du Québec a annoncé que Roland Lescure, son directeur des investissements, a décidé de quitter ses fonctions « afin de s’engager dans la vie publique et politique », selon un communiqué. L’intéressé avait rejoint l’institution québecoise en 2009, en provenance de Groupama AM où il était directeur de la gestion. « À l’aube des élections françaises, j’ai pris la décision de m’engager davantage dans la vie publique et politique, parce que je souhaite jouer un rôle plus actif à un moment déterminant pour la France et l’Europe tout entière », a expliqué Roland Lescure, cité dans un communiqué. Ce dernier a quitté la Caisse le 6 avril. Un processus de recrutement international a été lancé pour le remplacer. Durant l’intérim, Michel Sabia, directeur général de la Caisse, assumera les responsabilités de Roland Lescure.
A l'occasion du Forum obligataire 2017, Emmanuel Brutin, responsable de la gestion des portefeuilles Assurés chez CNP Assurances revient sur la place des obligations indexées sur l'inflation dans l'allocation d'actifs de l'institution et sa politique d'investissement.
Les membres de l’association qui rassemble les sociétés d’assurance de taille moyenne et modeste ont reconduit, le 3 avril 2017, le directeur général d'AG2R La Mondiale à la présidence de Roam. La composition du bureau et de la commission exécutive composée de 22 membres ont également été ratifiées.
La mutuelle nationale de retraite et d’épargne introduit, dès le mois d’avril, une nouvelle offre d’unités de compte dans ses deux contrats multi supports.
Dans son invitation à l’assemblée générale du 24 avril publiée hier, le conseil d’administration de GAM demande aux actionnaires de refuser en bloc toutes les propositions faites par le fonds activiste RBR Capital et d’accepter les siennes, rapporte L’Agefi suisse. RBR reproche notamment à GAM de ne pas savoir vendre ses produits, par ailleurs qualifiés de «magnifiques». Le fonds dénonce également des rémunérations des dirigeants trop généreuses manquant de rapport avec l’évolution des affaires, la sous-performance de GAM par rapport à ses pairs, et des économies de coûts réalisées qui tiennent surtout à des opérations comptables liées à une évolution favorable des cours de change. Les chiffres présentés par GAM auraient ainsi même camouflé une légère augmentation des coûts. Une vraie baisse des coûts pourrait être réalisée par une forte réduction d’effectifs préconisée, répartie à moitié sur Zurich et Londres et touchant tous les domaines en dehors de la gestion des investissements et de la distribution des produits.Ce différend intervient alors que le retrait du président du conseil Johannes A. de Gier donnera un véritable choix aux actionnaires entre deux candidats. RBR Capital propose l’actuelle partenaire d’Hanover Investors, Kasia Robinski, en tant qu’alternative au Britannique Hugh Scott-Barrett, le candidat du Conseil. L’issue est incertaine au vu de la composition fragmentée de l’actionnariat, le britannique Silchester étant le seul à détenir une part supérieure à 15%.
L 'Autorité des marchés financiers (AMF) a publié ce 5 avril les détails d'un accord de composition administrative conclu le 12 décembre 2016 avec la société Promepar Asset Management, anciennement Promepar Gestion, et représentée par son directeur général Marc Favard.