Daniel Collignon, directeur général de Spirica, revient sur une année 2016 placée sous le signe de la croissance pour la compagnie d'assurance-vie (filiale à 100% du Crédit Agricole) et une restriction sur les fonds en euros. Il évoque par ailleurs ses perspectives pour 2017, et sur le poids de la réglementation qui devrait peser sur l'institution cette année.
Proposée par environ 300 000 entreprises en France à travers les dispositifs d’intéressement et de participation investis dans les PEE et PERCO, l’épargne salariale reste insuffisamment connue, les salariés ne profitant pas assez de ses atouts.
En 2016, 1.057 hedge funds ont été liquidés, dépassant les 1.023 fermetures enregistrées en 2009, selon les dernières statistiques de Hedge Fund Research. En revanche, cela reste inférieur au niveau de 2008, où 1.471 hedge funds avaient été fermés. Cela intervient alors que le secteur des hedge funds a vu ses encours dépasser les 3.000 milliards de dollars en 2016. A fin 2016, le nombre de hedge funds a reculé à 9.803 fonds.
Allianz, en tant qu’assureur historique de l’association d’épargnants Gaipare, gère un portefeuille de 4 milliards d’euros constitué à 94% de produits de taux. Même si la poche de diversification reste encore très faible (1%) les équipes de l’assureur et l’association veulent monter en puissance sur les actifs réels.
Nouvelle étape cruciale concernant la réforme du Code de la Mutualité, le Conseil d’Etat a été saisi du dossier le 6 mars dernier. Il dispose d’un délai d’un mois pour se prononcer sur le projet d’ordonnance. Par ailleurs, les 7 et 9 mars, le Conseil supérieur de la Mutualité et le Comité consultatif de la législation et de la réglementation financières ont rendu un avis favorable à l’unanimité sur le texte. Le nouveau Code de la Mutualité représente une réforme stratégique pour les mutuelles. La FNMF espère que l’ordonnance passera en Conseil des ministres et sera publiée avant le 1er tour des élections présidentielles. Un projet de loi de ratification de l’ordonnance pourrait alors être déposé au Sénat dans la foulée. ...à suivre
Selon nos informations, Nila Mitha prendra en mai prochain le poste de Pascal Borocco en tant que directrice financière d’Alptis Assurances. Nila Mitha a créé en 2012 son propre cabinet de conseil en finance d’entreprise, Mitha & Associés, qu’elle préside. Spécialiste du contrôle de gestion et finances, elle a acquis 25 années dans des PME et des grandes entreprises (Fuchs Petrolub en Asie, Alstom, Areva en Inde, Servisair en Europe et en Amérique du Nord) Nila Mitha a complété son diplôme de finances par l’ Exécutive MBA de HEC et par une expérience pédagogique au CNAM (Conservatoire National des Arts et Métiers) où elle enseigne la finance d’entreprise.
A travers une longue carrière à la Caisse des dépôts et consignations, dans la banque privée et dans les associations d’actuaires française et internationale, Jean Berthon a voulu orienter son action dans le sens de la défense de l’intérêt général. Ce polytechnicien a décidé de se mettre au service des actuaires puis des épargnants en s’impliquant dans le monde associatif. Il est aujourd'hui président de l'association Gaipare.
Le 23 mars 2017, Dates Invest organisera des formations "Face Aux Experts" à Lyon avec des investisseurs professionnels en région : institutionnels, family office, banquiers privés et CGP.
Inscription sur www.clubs.datesinvest.com
The extra-financial ratings specialist EthiFinance has taken a new step in its development, with a merger with Spread Research, a firm dedicated to purely financial analysis working in the same niche as its partner, that of small and mid-sized businesses (SMB). Emmanuel de la Ville, CEO of EthiFInance, explains the reasons for this operation to NewsManagers, and discusses the latest initiatives at the firm.
Une extension pour six mois de l’accord de réduction de la production apparaît nécessaire pour rééquilibrer le marché mais risque de profiter aux producteurs américains.
En préparation au panel de la Journée nationale des investisseurs le 8 décembre dernier, intitulée « Les taux négatifs remettent-ils en question les apports de la théorie économique et financière ? Comment optimiser la gestion des placements à revenus fixes ? », Jean-Marc Vittori, économiste, membre du conseil d’orientation de l’Institut Messine, retrace pour nous les différentes évolutions qui ont conduit à la situation actuelle et nous montre aussi les voies possibles pour en sortir.
Les résultats 2016 des grands leaders du secteur se sont très bien tenus malgré les taux bas. A l’image des réassureurs, plusieurs groupes vont rendre du capital à leurs actionnaires.
Avant même les projets avortés d’Intesa Sanpaolo sur Generali, le devenir de Generali France faisait l’objet de beaucoup de spéculations. Comment avez-vous traversé cette période ? Eric Lombard Toutes ces rumeurs n’ont laissé aucune trace. Nos partenaires - courtiers, grands comptes ou conseillers en gestion de patrimoine indépendants - nous sont restés fidèles pendant cette période agitée. Cela nous permet de réaffirmer que l’Italie, l’Allemagne et la France forment un trépied stratégique pour le groupe. D’autant que les résultats de Generali France s’améliorent plus rapidement qu’anticipé. Son résultat opérationnel a progressé de 31 % en deux exercices et de 8 % l’an dernier, à plus de 700 millions d’euros. Sa solvabilité - qui sera communiquée prochainement par le groupe - est aujourd’hui à un niveau très confortable alors que c'était un vrai challenge il y a trois ans. Avec votre plan « We Demain » fin 2014, vous vouliez retrouver une dynamique de conquête. L’objectif est-il atteint ? E. L. Ce qui est original dans notre projet, c’est que nous transformons l’entreprise par le coeur. Tous nos collaborateurs et nos agents sont engagés à être acteurs de la révolution digitale et de la relation client. Les premiers résultats sont déjà là. En assurance-dommages, nous avons stabilisé le chiffre d’affaires en 2016 après plusieurs années de baisse. Surtout, ces activités sont de nouveau rentables, avec un ratio combiné revenu sous les 100 % pour la première fois depuis longtemps, quand bien même les événements climatiques nous ont coûté plus cher qu’en 2015. Nous tirons les fruits d’une politique de souscription sélective et de la revue exhaustive de nos portefeuilles. En automobile, nous avons gagné plus de nouveaux contrats que nous n’avons eu de sorties, malgré la loi Hamon facilitant la résiliation. L’assurance-vie marque le pas depuis l'été. Est-ce aussi le cas pour Generali France ? Stéphane Dedeyan Le chiffre d’affaires a, certes, légèrement diminué en 2016, mais c’est une baisse pilotée. Dans un contexte de taux bas, il n’est pas bon de trop collecter sur les fonds euros pour ne pas avoir à trop réinvestir en obligations et diluer le rendement du portefeuille. Nous avons donc porté nos efforts sur les unités de compte (UC), avec succès, puisque nous avons désormais un taux d’UC dans la collecte de 33 %, soit 13 points au-dessus de la moyenne du marché. D’où viendra votre croissance sur un marché très saturé ? E. L. L’horizon de croissance, c’est le multi-équipement. C’est une idée ancienne pour les banques, mais encore relativement nouvelle pour les assureurs. Cela tient notamment au fait que les assureurs ont finalement assez peu de clients en direct, puisqu’ils travaillent beaucoup avec des intermédiaires. Il est donc nécessaire de trouver un terrain d’entente avec ces derniers pour travailler l'équipement de nos clients. L’un des enjeux sera aussi de trouver une manière d'équiper les clients en n’ayant à leur poser qu’un minimum de questions. Avec le Big Data et en exploitant toutes les informations dont nous disposons sur nos clients dans nos portefeuilles, il doit être possible de s’en tenir à une dizaine de questions, là où il en faut parfois plus de 40 pour un seul contrat ! Les assureurs parlent tous de la nécessité de mieux s’occuper du client. Quels sont vos leviers d’action ? S. D. Le digital a donné le pouvoir aux clients. Il faut donc que nos collaborateurs aient le pouvoir de bien les traiter. Cela suppose une révolution managériale pour donner le pouvoir au terrain. Comme d’autres entreprises, nous avons mis en place le Net Promoter Score [un indicateur du taux de recommandation, NDLR], mais nous le mesurons de manière systématique client par client à la fin de chaque transaction principale. Tout client insatisfait est systématiquement rappelé, ce qui crée un effet waouh. Toute l’entreprise est engagée dans l’amélioration du NPS. Avec Eric et les membres de direction, nous appelons nous-mêmes des clients très régulièrement. Autre exemple, avec le nouveau contrat social signé avec les partenaires sociaux fin 2015, nous avons réussi à augmenter d’une heure et demie l’amplitude horaire de nos plates-formes téléphoniques et le nombre d’appels pris de 40 %. Comment vont évoluer les effectifs de Generali France ? E. L. Cette année, nous n’allons remplacer qu’un départ sur deux pour les non-commerciaux. En revanche, nous allons continuer à recruter des forces de vente. Les outils d’intelligence artificielle et les « chatbots » vont peut-être nous permettre d'être plus productifs en automatisant les tâches simples. Pour autant, nous ne pensons pas que cette révolution technologique va détruire massivement des emplois. L’assurance est un produit compliqué et les clients ont toujours besoin, à un moment ou à un autre, de parler à un conseiller. S. D. Ce mouvement est, par ailleurs, poussé par la réglementation. Avec la nouvelle directive sur la distribution d’assurance (DDA), le devoir de conseil devra, en effet, se faire tout au long de la vie du contrat, et pas seulement au moment de la souscription.
Cette semaine, la plus grande société de gestion d’actifs au monde, BlackRock, a annoncé qu’elle comptait faire pression sur les entreprises pour les sensibiliser au changement climatique et à la promotion de la diversité au sein des conseils d’administration. Compte tenu des 5.100 milliards de dollars d’actifs sous gestion du groupe, cette initiative pourrait faire des vagues. Elle intervient au moment même où le Parlement européen a renforcé les droits des actionnaires dans les entreprises. Les actionnaires auront ainsi leur mot à dire sur la politique de rémunération des dirigeants d’entreprises, un autre sujet clé. Les règles introduiront aussi de nouvelles obligations en matière de transparence pour les investisseurs institutionnels et les gestionnaires d’actifs. Un autre grand acteur de la gestion d’actifs a fait parler de lui cette semaine. Il s’agit d’Amundi, qui a lancé mardi son augmentation de capital en vue de financer l’acquisition de Pioneer. Cet appel au marché représente 1,4 milliard d’euros sur les 3,5 milliards que coûte l’opération de rachat.Pendant ce temps, Candriam Global Investors réfléchit aussi à des acquisitions, mais d’une dimension plus modeste. Son CEO, Naïm Abou-Jaoudé, également chairman de NYLIM International, ne cherche pas à réaliser une opération du type Amundi-Pioneer, mais plutôt à compléter les savoir-faire de Candriam avec des acquisitions ciblées dans un esprit « multi-boutiques ». « Nous nous intéressons à des sociétés qui gèrent entre 2 et 10 milliards d’euros », a précisé Naïm Abou-Jaoudé à NewsManagers. En attendant, la société a réalisé une collecte de 5,5 milliards d’euros en 2016.L’année dernière aura été moins favorable pour M&G Investments, qui continue de décollecter. Ainsi, en 2016, la société de gestion du groupe Prudential a accusé des rachats nets de 8,1 milliards de livres, après 7 milliards en 2015. La maison britannique semble toutefois entrevoir de la lumière au bout du tunnel, ayant enregistré environ 900 millions de livres de collecte nette auprès des clients «retail» au cours du quatrième trimestre 2016.De son côté, la société de gestion canadienne BMO Global Asset Management, qui a racheté F&C Asset Management en 2014, cherche à gagner des parts de marché en Europe, et notamment en France, a indiqué dans une interview à NewsManagers Jean-Michel Bongiorno, directeur commercial de la société pour la France. Pour finir, J. P. Morgan Asset Management a annoncé le recrutement d’un directeur international ETF. Basé à Londres, l’intéressé sera chargé d’accélérer le développement international de la société de gestion plus connue pour sa gestion active dans le domaine des ETF.La société espère sans doute se faire une place sur le marché toujours florissant des ETF en Europe. Fin février, les actifs investis dans les ETF/ETP cotés en Europe ont atteint le niveau record de 620 milliards de dollars, soit environ 580 milliards d’euros, selon les dernières statistiques d’ETFGI. Sur les deux premiers mois de l’année, la collecte dépasse légèrement les 24 milliards de dollars.
Le câblo-opérateur est venu sur le marché pour la première fois de l'année afin d'allonger la maturité et réduire le coût de la dette de ses filiales américaines.
A l'occasion du Forum ETF et gestion indicielle, Julien Bordeaux, equity fund manager chez BNP Paribas Cardif est revenu sur l'utilisation de la smart beta et du factor investing par l'institution. Il espère notamment le développement d'offres d'ici quelques mois grâce à la nouvelle réglementation.
Le premier ministre chinois Li Keqiang a annoncé le lancement dès cette année du China-Hong Kong Bond Connect sur le même principe que le Stock Connect.
Pascal Borocco quittera début mai son poste de directeur administratif et financier du groupe lyonnais Alptis Assurances, poste qu’il occupait depuis mai 2015. Retrouvez tout son parcours à travers le portrait que nous lui avions consacré il y a un an. La direction financière d’Alptis Assurances gère une trésorerie dont l’encours total s’élève à 80 millions d’euros. Alors que les placements ont jusqu’ici essentiellement été effectués dans des comptes courants rémunérés, des comptes à terme et des FCP monétaires, une diversification est à l'étude dans une recherche de rendement. Le groupe Alptis, qui a fêté l’an dernier ses quarante ans, est constitué de six associations « sœurs », Alptis, Alptis Entreprises, Alptis Frontaliers, Alptis Seniors, Apti et l’UNEP (Union Nationale d’Epargne et de Prévoyance). Leur filiale commune, Alptis Assurances, société de courtage et de gestion, détient majoritairement deux courtiers : l’un est axé sur la vente directe sur Internet, Alptis Direct, et l’autre est positionné comme courtier-grossiste sur la gestion patrimoniale : Unep Diffusion Courtage. Alptis Assurances a la charge de la gestion opérationnelle et financière de l’ensemble du groupe, ainsi que, par délégation, du groupe Miltis. Ce dernier est composé de Miltis, une mutuelle axée sur l’assurance de personnes et de sa filiale, et de Mutuelle.fr, spécialisée dans les prestations sur internet dont un comparateur.
Thierry Lardenois, président de la Caisse autonome de retraite des médecins de France (CARMF), s'oppose au projet de décret sur la gestion financière des caisses de retraite complémentaire, tout comme la CNAVPL. Il demande un report du décret pour pouvoir envisager une concertation et la prise en compte des spécificités de chaque caisse.
Plusieurs milliers de comptes Twitter, dont le compte officiel du ministère français de l'Économie et des Finances, ont été victimes d’un piratage ce matin. Le compte officiel de Bercy a été utilisé, comme beaucoup d’autres, pour poster un message rédigé en turc et renvoyant à une vidéo sur YouTube mettant en scène le président turc Recep Tayyip Erdogan. La bannière du compte du ministère a également été remplacée par un drapeau turc.
Henrik Gade Jepsen, le nouveau responsable de la gestion d’actifs du département gestion de fortune de Danske Bank, a déclaré dans une interview à Børsen vouloir réduire drastiquement le nombre de fonds de Danske Bank Asset Management, rapporte FW AM. Le nombre de fonds sera réduit de moitié sur les prochaines années. En février, Danske Bank a réuni sa société de gestion et son fonds de pension, donnant naissance à Danske Bank Asset Management.
Selon les statistiques annuelles de Willis Towers Watson, la demande de produits plus sophistiqués alimente l’intérêt des investisseurs institutionnels pour les stratégies de diversification et de recherche de performance.
Selon nos informations, la Maif a recruté Sophie Elkrief comme directeur des investissements après le départ de Benoit Julien mi-2016. Depuis la fin 2013, Sophie Elkrief était managing director des solutions d’investissement chez Meeschaert Asset Management. Elle a développé l’offre de solutions de gestion proposée par le groupe avec notamment la création d’une gamme de produits à performance absolue. Elle faisait partie du directoire de Meeschaert. Depuis 2011, elle siègeait également au conseil d’administration de Société Générale Mauritanie en tant que membre indépendant. Entre 2001 à 2013, Sophie Elkrief a travaillé chez Dexia Asset Management (devenu Candriam) et a acquis 12 ans d’expérience en gestion alternative. D’abord en tant que gérante des fonds d’arbitrage de fusions/acquisitions et situations spéciales dont les encours ont atteint 3 milliards d’euros. Puis, à partir de 2009, en tant que responsable adjointe de la gestion alternative, en charge des stratégies fondamentales incluant les situations spéciales, le long/short, le crédit, les convertibles, émergents et matières premières. Sophie a commencé sa carrière chez Salomon Brothers puis JP Morgan à Londres, New York et Paris au sein de la banque d’affaires. Sophie est ingénieur Civil des Ponts et Chaussées et titulaire d’un MBA de l’INSEAD.
Suivant les recommandations du régulateur, les assureurs ont drastiquement baissé les rémunérations servies aux épargnants sur les fonds en euros. Et le contexte s’annonce encore complexe pour 2017.
BlackRock compte faire pression sur les entreprises pour les sensibiliser au changement climatique et à la promotion des diversités au sein des conseils d’administration. Avec 5.100 milliards de dollars (4.769 milliards d’euros) d’actifs sous gestion, le groupe américain pourrait notamment soutenir les efforts en matière de pratiques environnementales développés par le Conseil de stabilité financière.BlackRock, qui possède des participations dans la plupart des grandes entreprises américaines, a défini ses premiers «engagements prioritaires» pour les réunions qui se dérouleront cette année avec leurs responsables. Le risque climatique et la diversité au sein des conseils d’administration figurent dans les documents qui les récapitulent et qui ont été publiés le 13 mars sur son site.Cette démarche intervient après que le groupe a fait l’objet de critiques d’associations de protection de l’environnement pour n’avoir pas soutenu les résolutions en faveur du climat lors d’assemblées générales des actionnaires. Parallèlement, BlackRock a dit vouloir comprendre comment les entreprises travaillaient à intégrer davantage de diversité, notamment un plus grand nombre de femmes, dans les conseils d’administration. «Des conseils d’administration variés, au niveau de l’expérience, de l’expertise, de l'âge, de la race et du genre (...) prennent de meilleures décisions», peut-on lire dans les documents de BlackRock.
The latest annual survey of anaysts by Fidelity International reveals that the confidence of directors has improved significantly, and has returned to its highest levels since 2014. This trend is markedly different from 2016, in which confidence was down worldwide. The global sentiment indicator from Fidelity which ias based on fiv key factors in the health of businesses, has gone far into positive territory, from a level of 5 to 6, in contrast to last year, when criteria such as profitability, confidence of directors and spending on investment were all down, reflecting a much more uncertain outlook.With a cyclical dynamic apparent in all regions and sectors, the rise in profits now appears to be due firstly to growth in demand, while last year, it had been attributable to cost reductions. This global cyclical acceleratoin is becoming more general, and is affecting all markets. The sentiment of analysts has particularly improved in relation to the Eastern Europe, Middle East and Africa and Latin America regions, where the indicator has risen from 2.7 to 6.4.In terms of sectors, the main thrust of the trend concerns sentiment regarding the “old economy,” which was scarcely present last year, and particularly the energy and materials sectors. Nearly all analysts responsible for these sectors say they have optimistic outlooks for businesses they are watching in 2017. After hitting the bottom of the trough last year, sectors and regions which are sensitive to oil prices are recovering, following the price per barrel. Contrary to all expectations, businesses in the cyclical consumer sectors, which generally benefit from a recovery in growth, are the ones for which sentiment is weakest this year.The 2017 survey involved about 17,000 interviews with directors of businesses, and collected the opinions of 146 equity and bond anaysts at Fidelity International.
Virgine Chapron-du Jeu est diplômée de l’Institut d’Etudes Politiques (IEP) de Paris et titulaire d’une maîtrise Finances–Contrôle de Gestion ainsi que d’un DESS d’Affaires Internationales de l’Université Paris IX Dauphine. Après un parcours professionnel de plus de 25 ans au sein des activités bancaires et financières de la Caisse des Dépôts et Consignations, elle est nommée en septembre 2016, directrice des finances du groupe CDC. En octobre, elle prend aussi la présidence de Novethic.
Dans le cadre de la sensibilisation des entreprises marocaines à la gestion dynamique de leurs excédents de trésorerie, BMCE Capital Gestion et la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM) ont co-organisé le 9 mars dernier une conférence autour du thème : "Comment valoriser votre trésorerie à travers les placements en OPCVM ?".