
Le fonds norvégien dévoile la liste des candidats à la succession de Yngve Slyngstad
Trond Grande, directeur général adjoint du fonds souverain qui gère 1.000 milliards d’euros, est l’un des huit candidats au poste de directeur général de la Norges Bank Investment Management (NBIM).
Tuba Raqshan

Un évènement L’AGEFI
TECH ET DIRECTIONS FINANCIERES
Plus d'articles du même thème
-
Maaria Kettunen est nommée directrice des investissements de Keva
Elle était précédemment directrice adjointe des investissements au sein du plus grand fonds de pension de Finlande. -
EssilorLuxottica grignote 1% supplémentaire du capital de Nikon
Le groupe franco-italien détenait déjà 8,45% du capital et pourrait grimper jusqu'à 20%. -
BPCE et Generali renoncent aux pénalités prévues en cas de rupture de leur accord dans la gestion d'actifs
Face aux obstacles qui s’accumulent, Generali et BPCE ont décidé de se donner plus de temps pour conclure le rapprochement de leur gestion d’actifs, annoncé en janvier dernier, rapporte Les Echos. Ils auraient ainsi décidé de repousser à la fin de l’année la date de la signature d’un accord contraignant initialement prévue pour le 15 septembre. Les deux parties ont par ailleurs renoncé aux pénalités de rupture prévues initialement. Parmi les obstacles, outre l’opposition de l’Etat italien, Mediobanca, principal actionnaire de Generali et soutien de l’opération, a vu son propre actionnariat modifié avec le succès de l’offre hostile de Monte dei Paschi sur son capital. Tout le conseil d’administration de Mediobanca a démissionné ce jeudi. Les actionnaires de Monte dei Paschi sont eux-mêmes hostiles à l’offre.
Sujets d'actualité
ETF à la Une

Invesco casse les frais de gestion sur son ETP Bitcoin
Le gestionnaire réduit les frais de gestion annuels de ce produit à 0,10 % contre 0,25 %, et cela jusqu’à la fin de l’année 2026.
Les plus lus
- Nicolas Namias assure que le projet de fusion des gestions d’actifs de BPCE et Generali se poursuit
- Groupama cherche son futur directeur de la gestion des placements financiers
- Jean-Baptiste Tricot (Axa) : « Nous continuerons à travailler avec Axa IM dans les mêmes conditions »
- Le fonds de pension néerlandais PFZW poursuit la rotation drastique de ses gérants
- L’absence de traité international sur le plastique contrarie les projets des investisseurs
Contenu de nos partenaires
A lire sur ...
-
Effet drapeau
Drapeaux palestiniens : les frontons des mairies longtemps réservés aux photos d'otages français
La polémique que créent les drapeaux palestiniens est beaucoup plus intense que pour l'affichage des couleurs ukrainiennes -
Reconnaissance de l’État palestinien : le Portugal et le Royaume-Uni franchissent le pas, malgré la pression d’Israël
Londres - Le Royaume-Uni et le Portugal doivent reconnaître officiellement dimanche l’Etat de Palestine, à la veille d’annonces similaires d’autres pays, une décision dénoncée par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu comme un «danger» pour l’existence d’Israël. Un nombre croissant de pays, longtemps proches d’Israël, ont franchi ce pas symbolique ces derniers mois alors que l’armée israélienne a intensifié son offensive à Gaza, déclenchée par une attaque meurtrière du mouvement islamiste palestinien Hamas en 2023. Lors d’un sommet lundi à New York, coprésidé par la France et l’Arabie saoudite, qui doit se pencher sur l’avenir de la solution à deux Etats, une dizaine de pays doivent confirmer leur reconnaissance formelle de l’Etat palestinien. Le Royaume-Uni, allié historique d’Israël, va faire ce pas dès dimanche, selon les médias britanniques. Le Premier ministre Keir Starmer doit s’exprimer dans la journée, a confirmé le vice-Premier ministre David Lammy, sur la BBC. Keir Starmer avait annoncé en juillet que son pays allait reconnaître un Etat palestinien, sauf si Israël prenait une série d’engagements, dont celui d’un cessez-le-feu dans la bande de Gaza. «Le Premier ministre annoncera sa décision plus tard dans la journée, en regardant si ces conditions ont été remplies», a déclaré dimanche David Lammy, qui représentera le Royaume-Uni à l’Assemblée générale de l’ONU. Depuis juillet, «avec l’attaque (d’Israël) au Qatar, l’idée d’un cessez-le-feu à ce stade est partie en lambeaux, et les perspectives sont sombres», a-t-il aussi fait valoir sur Sky News. «Nous devons maintenir vivante la perspective d’une solution à deux Etats, actuellement en danger», a-t-il insisté. Keir Starmer avait estimé que la reconnaissance de l’Etat palestinien contribuerait à un véritable processus de paix. En réponse, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu l’a accusé de récompenser le «terrorisme monstrueux». Dimanche, ce dernier a promis de «lutter à l’ONU et sur tous les autres terrains contre la propagande mensongère à notre encontre et contre les appels à la création d’un Etat palestinien qui mettrait en danger notre existence et constituerait une récompense absurde pour le terrorisme». «La communauté internationale nous entendra à ce sujet dans les prochains jours», a-t-il ajouté, avant une réunion du Conseil des ministres. «Nous avons été très clair: le Hamas est une organisation terroriste et il ne peut y avoir aucun rôle pour le Hamas» qui «doit libérer les otages» israéliens, a rappelé dimanche David Lammy. Selon un sondage publié vendredi, 44% des Britanniques soutiennent la reconnaissance d’un Etat palestinien par le Royaume-Uni. Expansion en Cisjordanie Le ministère des Affaires étrangères portugais a de son côté confirmé vendredi que le Portugal «reconnaîtra l’Etat de Palestine» dimanche. Fin juillet, Lisbonne avait annoncé cette mesure compte tenu notamment de «l'évolution extrêmement préoccupante du conflit, tant sur le plan humanitaire que par les références répétées à une possible annexion de territoires palestiniens». Le gouvernement israélien a notamment approuvé un plan, baptisé E1, qui vise à construire 3.400 logements en Cisjordanie. Il est dénoncé par l’ONU car il devrait couper ce territoire palestinien en deux. Les Etats-Unis, alliés indéfectibles d’Israël, ont critiqué l’initiative franco-saoudienne. En visite d’Etat cette semaine au Royaume-Uni, Donald Trump a affirmé son opposition au choix britannique, lors d’une conférence de presse avec Keir Starmer. Les trois quarts environ des 193 Etats membres de l’ONU reconnaissent l’Etat palestinien proclamé par la direction palestinienne en exil en 1988. Ces nouvelles reconnaissances interviennent alors qu’Israël a lancé cette semaine une vaste campagne militaire terrestre et aérienne à Gaza-ville, dans le nord du territoire palestinien, pour y anéantir le Hamas. Mardi, une commission d’enquête indépendante mandatée par l’ONU a établi qu’Israël commettait un génocide contre les Palestiniens à Gaza, ce que les autorités israéliennes ont nié. L’attaque du 7-Octobre 2023 contre Israël par le Hamas a entraîné la mort de 1.219 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon des données officielles. Selon le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas à Gaza, les représailles israéliennes ont coûté la vie à 65.062 Palestiniens, en majorité des civils, dans la bande de Gaza, où le Hamas a pris le pouvoir en 2007. Marie HEUCLIN © Agence France-Presse -
Reconnaissance de l'Etat de Palestine : malgré l'opposition de Trump, l'opinion publique américaine divisée
Une courte majorité d'Américains soutient cette idée, à laquelle se rallient certains républicains