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BPCE et Generali renoncent aux pénalités prévues en cas de rupture de leur accord dans la gestion d'actifs
Face aux obstacles qui s’accumulent, Generali et BPCE ont décidé de se donner plus de temps pour conclure le rapprochement de leur gestion d’actifs, annoncé en janvier dernier, rapporte Les Echos. Ils auraient ainsi décidé de repousser à la fin de l’année la date de la signature d’un accord contraignant initialement prévue pour le 15 septembre. Les deux parties ont par ailleurs renoncé aux pénalités de rupture prévues initialement. Parmi les obstacles, outre l’opposition de l’Etat italien, Mediobanca, principal actionnaire de Generali et soutien de l’opération, a vu son propre actionnariat modifié avec le succès de l’offre hostile de Monte dei Paschi sur son capital. Tout le conseil d’administration de Mediobanca a démissionné ce jeudi. Les actionnaires de Monte dei Paschi sont eux-mêmes hostiles à l’offre.
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Des experts soulignent l'incompatibilité entre les prévisions de production d'énergies fossiles et les objectifs climatiques
Paris - Les pays producteurs d'énergies fossiles du monde entier prévoient d’augmenter toujours plus leurs extractions ces prochaines années, à des niveaux radicalement incompatibles avec les objectifs climatiques internationaux, selon un rapport publié lundi par plusieurs instituts de référence. «Les gouvernements, au total, prévoient de produire beaucoup plus d'énergies fossiles que ce qui serait cohérent avec une limitation du réchauffement mondial entre 1,5°C et 2°C», a souligné devant des journalistes Derik Broekhoff, de l’Institut de l’environnement de Stockholm (SEI), coauteur de cette étude. «Les pays prévoient désormais une production de ces énergies encore plus élevée comparé à il y a deux ans», lors de sa dernière édition, souligne-t-il, pointant du doigt la «déconnexion entre les ambitions climatiques et ce que les pays prévoient réellement de faire». La production de charbon, pétrole et gaz prévue à l’horizon 2030 représente ainsi plus du double (120% de plus) du volume qui permettrait de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C, la limite la plus ambitieuse de l’accord de Paris, selon les calculs du SEI. Pour respecter la limite haute de l’accord de 2015, fixée à 2°C, la production d'énergies fossiles prévue est 77% trop élevée, selon ce rapport rédigé avec l’Institut international du développement durable (IISD) et l’institut Climate Analytics. L'écart entre ces trajectoires de production et des volumes compatibles avec les ambitions climatiques internationales s’est encore creusé depuis la dernière édition de cette étude en 2023. Entre-temps, la Chine a anticipé un déclin moins rapide de son charbon, et le gaz, notamment sous sa forme liquéfiée (GNL), a connu un fort regain d’intérêt. Les auteurs appellent les pays, qui doivent présenter leurs feuilles de routes climatiques avant la COP30 en novembre au Brésil, à «inverser» la tendance. Lors de la COP28 de Dubaï en 2023, le monde s'était pourtant engagé à opérer une «transition» vers «une sortie des combustibles fossiles». L’utilisation massive du charbon, du pétrole et du gaz fossile est la première cause du réchauffement climatique d’origine humaine. Parmi les 20 plus gros pays producteurs étudiés (Arabie saoudite, États-Unis, Chine, Brésil...), 17 prévoient d’augmenter la production d’au moins une énergie fossile d’ici 2030. Onze d’entre eux ont même augmenté leurs perspectives d’extraction par rapport à ce qu’ils prévoyaient en 2023. © Agence France-Presse -
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