
Avec 12,2% de rendement annuel, le fonds souverain australien a dompté la volatilité
Le Future Fund dépasse les 250 milliards de dollars australiens d’actifs pour la première fois.

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RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
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Paris - Les Bourses européennes ont ouvert en hausse mercredi, emboîtant le pas à Wall Street au lendemain d’un triple record pour les indices américains, dans un marché soutenu par les anticipations de baisses des taux de la Réserve fédérale (Fed). La Bourse de Paris a ouvert en hausse de 0,32%, Londres de 0,22% et Francfort de 0,50%. Euronext CAC40 © Agence France-Presse -
La France insoumise déposera une motion de censure à l'Assemblée contre Sébastien Lecornu
Paris - La France insoumise déposera «dès le premier jour de la session parlementaire à l’Assemblée nationale» une motion de censure spontanée contre le gouvernement du nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu, a indiqué mercredi le coordinateur du mouvement Manuel Bompard sur RMC et BFMTV. Si Sébastien Lecornu ne demande pas la confiance de l’Assemblée, «dès le premier jour de la session parlementaire à l’Assemblée nationale, nous déposerons une motion de censure sur la base de l’article 49.2 de la Constitution», a dit Manuel Bompard, dénonçant une nomination qui s’apparente pour lui à un «déni de démocratie». Si cette motion de censure était votée par l’ensemble de la gauche et le Rassemblement national, elle renverserait le gouvernement du nouveau Premier ministre. «Les Français ont dit +On est en désaccord avec la politique d’Emmanuel Macron+. Il a quand même décidé de ne pas tenir compte du résultat, de continuer à imposer sa politique, ça fait maintenant à deux reprises que l’Assemblée nationale a censuré ses gouvernements et il continue dans la même direction. Donc, je trouve qu’il y a là évidemment quelque chose de totalement inacceptable, de totalement méprisant», a argué le député des Bouches-du-Rhône. «Monsieur Barnier est tombé sur la base d’une motion de censure déposée en vertu de l’article 49.3 de la Constitution. Monsieur Bayrou est tombé, après avoir demandé un vote de confiance, sur l’article 49.1 de la Constitution. Et là encore, j’ai l’impression que Monsieur Macron veut faire le tour de tous les articles de la Constitution, et peut-être que Monsieur Lecornu tombera sur la base de l’article 49.2 de la Constitution», a étayé le bras droit de Jean-Luc Mélenchon sur BFMTV et RMC. © Agence France-Presse -
Les dirigeants océaniens réunis en sommet, la Chine accusée d'ingérence
Honiara - Les dirigeants des îles du Pacifique ont ouvert mercredi leur sommet aux îles Salomon, une rencontre marquée par des accusations d’ingérence visant la Chine à l’influence régionale croissante. Les îles Salomon, alliées de Pékin, ont interdit cette année à la plupart des acteurs non-membres, dont Taïwan, d’assister comme d’ordinaire aux réunions du Forum des îles du Pacifique (FIP) - une organisation regroupant 18 membres dont l’Australie, la Nouvelle-Calédonie et la Polynésie française. Selon certains observateurs, Honiara agit sur demande de Pékin pour exclure Taïwan, dont la Chine revendique la souveraineté. La Chine cherche à renforcer son influence dans le Pacifique Sud. Elle compte parmi les partenaires les plus importants des îles Salomon, avec lesquelles elle a signé un pacte de sécurité en 2022. Pékin a même fait don de véhicules et d'équipements de police en amont du forum. Et c’est dans un stade de 10.000 places construit et financé par le pouvoir chinois dans la capitale, Honiara, qu’a eu lieu lundi une cérémonie de bienvenue pour les dirigeants. A l’ouverture du sommet, la présence policière a été renforcée dans la capitale. Les réunions ont commencé vers 09H00 mercredi matin (22H30 GMT mardi) et se tiendront principalement à huis-clos. Les observateurs craignent que des dissensions au sujet de la Chine lors du sommet ne compromettent la coopération régionale, essentielle dans tous les domaines, du changement climatique à la santé, en passant par la sécurité. «Des influences extérieures nous dictent désormais qui nous pouvons inviter», a accusé auprès de l’AFP le chef de la diplomatie néo-zélandaise, Winston Peters, le mois dernier. «Eléphant dans la pièce» La Chine est devenue «l'éléphant dans la pièce», explique aussi à l’AFP Mihai Sora, ex-diplomate australien aujourd’hui directeur du programme des îles du Pacifique au Lowy Institute. Pékin a même indiqué qu’il serait présent au sommet, sous une forme ou une autre, alors même qu’il n’est pas membre du FIP. L’ambassadeur de Chine aux Salomon, Cai Weiming, a affirmé que l'équipe de liaison de la police chinoise, déployée dans le pays insulaire au titre du pacte de sécurité, pourrait participer à la gestion de la sécurité du sommet. Des responsables néo-zélandais ont dit à l’AFP craindre que le forum ne «s’effondre» si la Chine y participait. Les points de tension ne manqueront pas. Outre la Chine, la coopération en matière de sécurité transnationale devrait être un sujet sensible. Des Etats membres ne veulent pas renoncer à ce qu’ils considèrent comme une souveraineté durement acquise, même pour faire face aux menaces régionales. Le changement climatique sera également une thématique majeure après la victoire du Vanuatu devant la Cour internationale de justice, établissant que les Etats sont tenus de lutter contre le changement climatique, faute de quoi ils doivent accorder des réparations. Si les partenaires du Forum travaillent ensemble sur la gestion des risques de catastrophes naturelles, certains s’inquiètent de voir des membres s’ouvrir à l’exploitation minière en eaux profondes ou à l’exploration pétrolière et gazière. Ben STRANG © Agence France-Presse