The US authorities want to fine the French bank BNP Paribas over USD5bn for breaking a US embargo on certain countries, according to the news agency Bloomberg. The financial news agency, citing a source familiar with the matter, claims that the decision has not yet been announced, and that it may be announced next month. The US authorities accuse BNP Paribas of breaking US sanctions against financial transactions with Iran, Sudan and Cuba between 2002 and 2009. The sums cited in these reports is higher than those cited last week by the Wall Street Journal, which claimed that the authorities planned to fine the French bank about 6 months of profits. The bank has already set aside USd1.1bn for this legal action, but its CEO, Jean-Laurent Bonnafé, last week noted that the sanction may be “very significantly higher.”
For foreign banks in Switzerland, 2013 was a year of changes from a political point of view, but stable from an economic standpoint. There are only 121 foreign firms on Swiss soil, compared with 129 at the end of 2012, but their assets under management last year increased by 9% to a total of CHF960bn. Their profits topped those of the previous year by 23%, according to statistics from the Association of foreign banks. Peronnel, however, fell by 900, to 24,458, with 8,217 in Geneva, which remains the centre fore foreign banks in Switzerland, ahead of Zurich (5,247). The largest asset management firms with offices in Switzerland are J.Safra Sarasin Holding SA, BSI SA, J.P. Morgan (Suisse) SA, HSBC Private Bank (Suisse) SA, Bank Morgan Stanley SA, Crédit Agricole (Suisse) SA et Deutsche Bank (Suisse) SA.
Citadel, the hedge fund based in Chicago led by billionaire Ken Griffin, has become the first foreign hedge fund to finalise inflows in Chinese yuan from Chinese investors, including businesses and high net worth individuals, according to Bloomberg. The Shanghai financial authority introduced the qualified domestic limited partner (QDLP) programme last year, to allow foreign hedge funds to raise capital in China in local currency to be invested international. The move comes as part of an engagement by Chinese directors to facilitate movements of capital between China and the rest of the world, and allows the value of the yuan to fluctuate more freely. Citadel received permission from the local authorities in July last year to raise the equivalent of USD50m in yuan in China under the QDLP programme, and began to collect the sum after receiving an operating license on 30 August, according to a statement from the government information office in Shanghai.
Amundi has launched a new bond sub-fund of its Luxembourg Sicav. Amundi Funds Global Macro Bonds & Currencies, managed by the Global Fixed Income and absolute return team based in London, aims to profit from the best opportunities on international bond markets, regardless of their evolution. The portfolio will invest in all bond securities, including government bonds, corporate bonds, emerging market bonds, and currencies. Due to the current evolution of interest rates and their low levels, Amundi Funds Global Macro Bonds & Currencies stands out for its flexible absolute return approach. “With the acceleration of growth in developed markets, the main central banks are beginning to adjust their liquidity projections, and the euro zone crisis appears to be attenuating,” a statement says, adding that these two factors are likely to influence interest and inflation rates. In this context, exposure to bonds is actively managed, free of benchmark indices in order to target positive returns, even in falling markets. In order to achieve these reutrn objectives, the fund follows a dynamic risk allocation. Lastly, the construction of the portfolio is based on a top-down approach, with a macroeconomic orientation that combines long- and short-term positions. In terms of returns, the fund aims to outperform the Euro Overnight Index Average daily compounded (EONIA) over a 3-year investment horizon.
As mid-year balance sheets approach, requests for redemptions from hedge funds have reached their highest level in five months. The index which measures this redemption variable, the SS&C GlobeOp Forward Redemption Indicator, which aggregates requests as a percentage of assets under administration, in May rose to 4.32%, compared with 3.23% in April. This is a normal development, observed each year in the month of May since 2008, according to figures from SS&C GlobeOp.
La société de gestion écossaise Aberdeen Asset Management devrait lancer dans les prochaines semaines un fonds investissant dans les actions brésiliennes et la dette brésilienne, rapporte l’agence Reuters qui cite deux responsables.Le fonds, présenté comme un «fundo multimercado», une déclinaison locale du hedge fund mais encadré, mettra en œuvre une stratégie long-only.Avec ce nouveau véhicule, dont le portefeuille sera à 50% dans des actions et à 50% dans des obligations, Aberdeen espère intéresser la clientèle locale des fonds de pension, comme ailleurs dans le monde à la recherche de stratégie de rendement, a indiqué George Kerr, responsable senior du développement des activités au Brésil.
Le spécialiste britannique du trading en produits dérivés a reconnu que ses revenus sur l’ensemble de l’exercice au 31 mai seraient légèrement inférieurs aux attentes en raison d’une activité morose au dernier trimestre de son exercice fiscal. IG Group assure toutefois que sa rentabilité bénéficiera de coûts d’exploitation inférieurs aux prévisions.
L'indice PMI du secteur manufacturier hexagonal s'est contracté à 49,3, contre 51,2 en avril, alors que les indices de zone euro confirment la poursuite de la reprise
L’Equateur aurait trouvé un accord pour racheter 80% de sa dette encore en circulation et sur laquelle le pays avait fait défaut il y a cinq ans. En retirant les dernières obligations en circulation, Quito pourrait ainsi retourner sur les marchés de dette internationaux. Le hedge fund Greylock Capital Management, l’un des créanciers du pays, a fait part de l’accord. Le rachat se ferait à un prix supérieur à 50% du pair, selon les rumeurs de marché.
Allianz Global Investors a lancé Allianz Asian Small Cap Equity fund, un nouveau fonds actions dédié aux petites capitalisations asiatiques hors Japon. Domicilié au Luxembourg, Allianz Asian Small Cap Equity Fund a vocation à détenir entre 40 et 60 titres en portefeuille en ciblant des capitalisations comprises entre 100 millions et 3 milliards de dollars.
Le Government Pension Investment Fund (GPIF), un méga fonds de pension japonais, prévoit d’adopter une version japonaise du UK Stewardship Code, ce code de bonne gouvernance adressé aux investisseurs institutionnels. Il couvrira notamment des thématiques telles que la rémunération des dirigeants, l’environnement, les Droits de l’Homme ou encore les stratégies métiers.
«La politique des taux d’intérêt est au cœur de nos instruments de politique monétaire. L’attention d’un banquier central serait bien sûr focalisée avant tout sur ce point, si finalement il s’avérait nécessaire d’agir», déclare dans un entretien le président de la Bundesbank Jens Weidmann. «Mais pour l’heure, il n’est pas certain que nous ayons à agir», ajoute-t-il.
Le rendement des obligations d’Etat américaines à 10 ans est passé brièvement sous le seuil symbolique des 2,5% pour tomber à son plus faible niveau depuis juillet 2013. Depuis le début de l’année, il a ainsi chuté de 50 pb, prenant à revers les anticipations des investisseurs.
L’Esma devrait publier aujourd’hui ses propositions de standards techniques de la nouvelle directive d’organisation des marchés financiers (MIF 2). Ces standards devraient détailler entre autres, les exemptions à la transparence pré-transactions et l’encadrement du trading à haute fréquence.
«L’avis d’Axa IM UK est que le conseil d’AstraZeneca ne devrait pas empêcher l’offre de Pfizer de 55 livres par action d'être présentée aux actionnaires de la société», a déclaré Jim Stride, responsable des actions britanniques chez Axa IM. La division britannique du gérant détient 0,9% du capital du groupe pharmaceutique mais sa maison-mère Axa contrôle une participation supérieure.
La Luxembourg Fund Labelling Agency (LuxFLAG) annonce le lancement du Label ESG LuxFLAG. Le Label ESG sera délivré à des fonds de placement répondant à des critères spécifiques concernant le respect d’objectifs environnementaux, sociaux et de gouvernance. Ce label est accessible à des fonds UCITS et AIFMD domiciliés dans toute l’Europe ou dans des juridictions équivalentes. Trois sociétés de gestion d’actifs se sont déjà portées candidates à l’obtention du nouveau Label ESG : OFI Asset Management, Nordea et Sparinvest. Au cours des dix années écoulées, le secteur de l’investissement responsable s’est développé à un rythme qui a largement devancé la croissance de la plupart des autres stratégies d’investissement. Le Label ESG de LuxFLAG est un nouvel outil parmi le large éventail d’initiatives qui encouragent les parties prenantes de fonds à agir de façon responsable et visent à réaliser un avenir meilleur et durable. Au Luxembourg, nous soutenons ardemment cette tendance, a commenté Pierre Gramegna, le ministre des Finances du Grand-Duché de Luxembourg. Ce label convient à des fonds d’investissement intégrant véritablement les critères rigoureux ESG dans leur processus d’investissement. Il permettra à ces fonds de se différencier d’autres offres présentes sur le marché et aux investisseurs de prendre des décisions en toute connaissance grâce à la transparence accrue et la visibilité offertes par ce label, a déclaré Thomas Seale, président de LuxFLAG. M. Seale a poursuivi : Le nouveau Label ESG de LuxFLAG comble un vide dans le marché européen des fonds d’investissement car il n’existait pas de label de produits couvrant les domaines ESG. Le Label ESG est délivré pour une période d’un an et peut être renouvelé. Le label est délivré par le Conseil d’Administration de LuxFLAG sur candidature du fonds de placement incluant un audit des informations fournies et une recommandation du comité d'éligibilité de LuxFLAG. Le comité d'éligibilité du nouveau Label est composé de : Nathalie Dogniez, Associée, PwC Luxembourg Ulrika Hasselgren, Présidente, Ethix SRI Advisors Suède Adrie Heinsbroek, Conseiller en développement durable, ING Pays-Bas Nicolas Hennebert, Associé, Deloitte Luxembourg Hakan Lucius, Chef de division, responsabilité d’entreprise et société civile, Banque Européenne d’Investissement
Le Groupe Pasteur Mutualité a investi, pour la première fois, à hauteur de 2 millions d’euros, dans un fonds ouvert de dette privée géré par Idinvest Partners. Jean-Pierre Cave, Trésorier général du Groupe Pasteur Mutualité a expliqué à la rédaction d’Instit Invest que les rendements attendus avec ce placement étaient de l’ordre de 5%. C’est la première fois que la mutuelle investit dans cette classe d’actifs. Nous avons réalisé cet investissement pour diversifier notre partie obligataire et dans le but d’investir dans une classe d’actifs qui n'était pas présente dans notre allocation. Jean-Pierre Cave a en outre déclaré que le Groupe Pasteur Mutualité avait renforcé son exposition aux convertibles en 2013, avec une augmentation de 2%. Le portefeuille du Groupe Pasteur Mutualité au 31/12/2013 : 47% obligations 10% convertibles 17% actions 3% diversifié 10% alternatif 12% immobilier Le restant en monétaire
L’Equateur aurait trouvé un accord pour racheter 80% de sa dette encore en circulation et sur laquelle il avait fait défaut il y a cinq ans. En 2009, le pays avait fait défaut sur 3,2 milliards de dollars de dette, puis avait repris à 35 centimes du pair la majorité ( plus de 90%) des titres. En retirant les dernières obligations en circulation, Quito pourrait ainsi retourner sur les marchés de dette internationaux. Le hedge fund Greylock Capital Management, l’un des créanciers du pays, a fait part de l’accord. Le rachat se ferait à un prix supérieur à 50% du pair, selon les rumeurs de marché.
Invesco PowerShares, la filiale dédiée aux ETFs de la société de gestion Invesco, a nommé Bryon Lake au poste de responsable de la zone Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA), révèle Fundweb. A ce titre, l’intéressé prendra la direction de l’ensemble de l’activité ETF de PowerShares dans cette vaste région et travaillera en étroite collaboration avec l’équipe mondiale dédiée aux ETF d’Invesco.
La société de gestion britannique Smith & Williamson Funds a lancé Emerging Markets Value fund, un fonds actions dédié aux marchés émergents. Ce nouveau véhicule sera géré par Richard McGrath qui travaille pour AGF, un actionnaire minoritaire de Smith & Williamson, selon Investment week. Ce fonds pourra détenir entre 50 et 90 lignes en portefeuille et n’investira que dans des sociétés dont la capitalisation boursière est supérieure à 500 millions de dollars en utilisant l’approche dite « 30/30/30 ». Cette dernière consiste à sectionner exclusivement des sociétés affichant un PE au moins 30% moins élevé que l’indice de référence, ayant un rendement du dividende 30% supérieur à celui de l’indice de référence et dont le cours de l’action est 30% moins cher que son plus haut des 18 derniers mois.
Alexandre Sauterel rejoint Fidelity Worldwide Investment pour prendre la responsabilité de la distribution sur le marché suisse, rapporte finews. Un retour aux sources pour Alexandre Sauterel qui a déjà travaillé pour Fidelity en Suisse entre 2007 et début 2012 en qualité de directeur des ventes à Zurich et Genève. Dans ses nouvelles fonctions, Alexandre Sauterel aura la responsabilité des relations clients avec les banques, les compagnies d’assurances et les gestionnaires de fonds. Au cours des deux dernières années, Alexandre Sauterel travaillait chez Invesco Suisse en qualité de directeur des ventes senior et membre de la direction.
Les agences d'évaluation financière Standard & Poor’s (S&P) et Moody’s ont maintenu le 20 mai les notes de Credit Suisse et de Credit Suisse Group, après la lourde amende que la banque suisse devra payer aux Etats-Unis.S&P laisse inchangée les notes de Credit Suisse, à A/A-1 et de Credit Suisse Group, à A-. L’agence confirme également sa perspective négative, précise-t-elle dans un communiqué. Standard & Poor’s avait déjà envisagé, dans ses propres prévisions relatives au capital de Credit Suisse, la possibilité d’une amende si lourde et estime que la reconnaissance de culpabilité ne va pas entraîner des conséquences négatives significatives sur le profil d’affaires et de risque de la banque, explique l’agence.De son côté, Moody’s a confirmé les notes de Credit Suisse Group ("(P)A2») et de sa filile à A1/Prime 1 mais abaissé la perspective de stable à négative. L’agence explique dans un communiqué que le changement de perspective reflète notamment le risque pour la banque de perdre des clients et du chiffre d’affaires en raison du litige fiscal aux Etats-Unis.