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SCAF : Dassault défie Berlin et Madrid sur le futur avion de combat européen
Cergy-Pontoise - «Ici, on sait faire». Le patron de Dassault a tapé du poing sur la table mardi, assurant que l’avionneur français pouvait concevoir «seul» le futur avion de combat européen, alors que l’Allemagne et l’Espagne jugent le projet Scaf en panne et menacent de poursuivre sans la France. Le Scaf, plus grand projet de défense en Europe, censé renforcer l’autonomie stratégique du continent et qui devrait entrer en 2026 dans une phase concrète du démonstrateur, s’enlise au rythme de déclarations de plus en plus désobligeantes. Malgré tout, les gouvernements français, allemand et espagnol cherchent à trouver un accord d’ici la fin de l’année, alors que le Scaf a pour ambition de remplacer le Rafale en France et l’Eurofighter en Allemagne et en Espagne à l’horizon 2040. En inaugurant une nouvelle usine de Dassault Aviation à Cergy, au nord-ouest de Paris, Eric Trappier a réitéré mardi qu’il n’accepterait pas la gouvernance paritaire à trois dans ce projet où il représente la France et l’avionneur européen Airbus, l’Allemagne et l’Espagne. Dans les locaux flambant neuf où sont aménagés des fuselages du Rafale, Eric Trappier a fait fi de la colère qui gronde en Allemagne et a déclaré que Dassault pouvait développer l’avion du futur de sixième génération «tout seul». «Je veux bien que les Allemands grondent. Ici, on sait faire. S’ils veulent faire tout seuls, qu’ils fassent tout seuls», a lancé M. Trappier en rappelant son rôle de «best athlete» (meneur). Dans les grands programmes de défense européens, la France est traditionnellement considérée comme leader dans l’aéronautique et l’Allemagne dans le domaine des chars. Le Scaf sans Dassault? «Pour l’instant, nous n’avons pas trouvé de solution» avec Airbus, a souligné M. Trappier en déplorant que son interlocuteur côté Airbus ne soit pas son homologue, Guillaume Faury, mais un responsable allemand. «Je crois que le Scaf ira de l’avant sans Dassault», a pour sa part estimé Thomas Pretzl, président du comité d’entreprise d’Airbus Defence dans une interview au quotidien allemand Handelsblatt publiée mardi. «Il existe en Europe des partenaires plus attractifs et mieux adaptés», a-t-il ajouté. «On sait faire de A jusqu'à Z. On l’a démontré depuis plus de 70 ans. On a les compétences. On est tout à fait ouverts à la coopération, y compris avec les Allemands», a martelé mardi Eric Trappier. Mais «donnez-nous la capacité de driver le programme. Dans la gouvernance, je n’accepterai pas qu’on soit à trois autour de la table pour décider de toute la technique pour faire voler un avion de très haut niveau», a-t-il souligné. Solution d’ici fin 2025? Maître d’oeuvre du Scaf, Dassault Aviation juge nécessaire de réviser la gouvernance du projet avant de le faire entrer dans une nouvelle phase, au grand dam de ses partenaires pour lesquels les accords initiaux doivent être respectés. Lors d’une visite à Madrid la semaine dernière, le chancelier allemand Friedrich Merz a déclaré que l’Allemagne et l’Espagne voulaient «essayer d’arriver à une solution d’ici fin 2025" sur le Scaf. «Nous partageons le même avis: la situation actuelle n’est pas satisfaisante. Nous n’avançons pas dans ce projet», a déclaré le chancelier allemand aux côtés de son homologue espagnol. Le ministère français de la Défense a tenté de calmer le jeu ce weekend. «La France, l’Allemagne, l’Espagne et les équipes industrielles sont pleinement mobilisées pour préparer la phase 2", a déclaré le ministère en se disant «pleinement investi pour aboutir à une solution mutuellement acceptable d’ici la fin de l’année». La phase 1B du programme, lancée en 2023 et qui devrait se terminer en 2026, vise à développer les technologies qui seront embarquées à bord d’un démonstrateur, sorte de pré-prototype, qui doit voler en 2028-2029. La phase 2 prévoit la construction proprement dite du démonstrateur - que Dassault veut mener - et ses essais en vol. Le Scaf est sous pression pour accélérer son développement face au projet rival du Global Combat Air Programme (GCAP), entre le britannique BAE Systems, l’italien Leonardo et le japonais Mitsubishi Heavy Industries. Ces trois entreprises se sont engagées à construire un avion de chasse avancé d’ici 2035. Olga NEDBAEVA © Agence France-Presse -
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