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Un gérant de Capital Group investit des milliards dans les crypto
Capital Group, connu pour ses investissements disciplinés, a fait un pari important sur le bitcoin, grâce au gérant de portefeuille Mark Casey, rapporte le Wall Street Journal. Ces quatre dernières années, Mark Casey a transformé moins d’un milliard de dollars en plus de 6 milliards de dollars grâce à des investissements dans le bitcoin. Il considère la cryptomonnaie comme une réserve de valeur moderne remplaçant l’or. Les investissements de Capital Group dans le bitcoin incluent Strategy, Metaplanet et Mara Holdings.
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BlackRock lance le premier ETF adossé à la méthodologie MSCI World sur la neutralité géographique et sectorielle
Premier fonds listé à commercialiser cette méthodologie MSCI World, l'ETF iShares MSCI World Sector & Country Neutral Equal Weight Ucits vise, selon la société de gestion, un meilleur accès aux entreprises potentiellement sous-évaluées.
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Anne Hidalgo porte plainte après des révélations sur ses notes de frais
Paris - La maire de Paris Anne Hidalgo a annoncé vendredi qu’elle allait porter plainte contre X pour «dénonciations calomnieuses» après la publication par une association des notes de frais de déplacement et de représentation de l'édile socialiste, révélées par Mediapart. «Depuis plusieurs jours une campagne médiatique calomnieuse vise la maire de Paris quant à l’utilisation et à l’interprétation qui en est faite de ses frais de représentation. Il est évident que le but de cette campagne n’est autre que de salir et de nuire», écrit la mairie de Paris dans un communiqué. La plainte contre X, qui sera déposée «dans les tous prochains jours» selon l’entourage d’Anne Hidalgo, «permettra d’identifier les personnes physiques ou morales auteures de ce délit pénal». Mediapart a publié mercredi des documents obtenus par l’association Transparence citoyenne présentant les frais de déplacement et de représentation, notamment en vêtements, d’Anne Hidalgo entre 2020 et 2024, pour un total d’au moins 75.000 euros selon les calculs de l’AFP réalisés à partir des données disponibles sur le site. «Il est établi qu’Anne Hidalgo a toujours agi dans le cadre posé par la loi et a eu une utilisation de ses frais qui est totalement justifiée, et en deçà de ce qu’elle était autorisée à dépenser», affirme la municipalité, précisant que le plafond de l’enveloppe dont dispose l'édile - environ 20.000 euros par an - n’avait pas été dépassé. «Toutes les dépenses sont strictement encadrées par le code de déontologie de la ville de Paris élaboré en 2019 par la commission de déontologie de la ville de Paris, en lien avec la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP)», a-t-elle précisé à l’AFP. En mars 2024, l’association Transparence citoyenne, qui se présente comme une association de «lutte contre la corruption et la gabegie de l’argent public», avait demandé à la mairie de lui fournir les notes de frais depuis 2020 et, face au retard de la municipalité, fini par saisir le tribunal administratif pour les obtenir. La mairie a reconnu auprès de l’AFP avoir «tardé», mais précisé avoir fourni les documents «également sur les six premiers mois de 2024, alors que Transparence citoyenne n’avait demandé que jusqu'à 2023". Transparence citoyenne a publié sur son site internet les notes de frais de très nombreuses municipalités, ainsi que de collectivités territoriales. L’un des trois fondateurs de l’association, Guillaume Leroy, a précisé à Mediapart avoir reçu 10.000 euros de financement du milliardaire conservateur Pierre-Edouard Stérin, initiateur du projet politique Périclès qui vise notamment à «faire se lever une élite» avec «toutes les forces de droite». Guillaume Leroy s’est défendu de toute contrepartie à ce soutien. © Agence France-Presse -
Valérie Pécresse entendue dans l’enquête sur des soupçons de détournement de fonds publics
Paris - La présidente LR de la région Île-de-France Valérie Pécresse a été entendue vendredi dans l’enquête sur des soupçons de détournement de fonds publics au conseil régional, a indiqué à l’AFP son entourage, confirmant une information de Mediapart. Dans l’immédiat, il n'était pas possible de savoir si Mme Pécresse a été entendue comme témoin ou sous un statut de mise en cause. Le parquet de Paris n’a pas répondu à l’AFP. Mediapart indique que Mme Pécresse est entendue par les gendarmes de la section de recherches de Paris. L’enquête, portant notamment sur des contrats de collaborateurs chargés de mission mais soupçonnés d’avoir eu en réalité des missions de conseillers politiques, avait été ouverte en février 2020 à la suite d’un signalement de la chambre régionale des comptes (CRC). Les locaux du conseil régional avaient été perquisitionnés en septembre de cette année. «Il n’y a pas grand-chose à dire de nouveau sur un dossier ouvert il y a six ans. C'était attendu. Cela concerne des emplois qui sont administratifs, au service des Franciliens et de la région et qui ne sont pas des emplois politiques», a indiqué l’entourage de Mme Pécresse à l’AFP. Dans son rapport, la chambre avait noté à l'époque «des irrégularités persistantes en matière de ressources humaines», ou encore une masse salariale qui «n’a pas diminué» malgré «la baisse des effectifs». Un responsable de la région avait au contraire défendu en septembre 2020 auprès de l’AFP une mise en conformité opérée par Valérie Pécresse. © Agence France-Presse -
La Bourse de Paris termine la semaine stable
Paris - La Bourse de Paris a terminé stable vendredi, les investisseurs digérant une semaine riche en décisions de politique monétaire, dont la première baisse de taux de l’année de la Réserve fédérale américaine (Fed). L’indice vedette de la place parisienne, le CAC 40, a terminé à l'équilibre (-0,01%), cédant 1,02 point, pour s'établir à 7.853,59 points. Jeudi, la Bourse de Paris avait terminé en hausse de 0,87%, à 7.854,61 points. «Les investisseurs font le point sur les récentes décisions prises par diverses banques centrales, avec une attention particulière portée sur les actions de la Réserve fédérale américaine, qui a été au centre de l’attention», note Patrick Munnelly, analyste chez Tickmill Group. La banque centrale américaine a baissé les taux directeurs de 0,25 point de pourcentage à l’issue de sa réunion de politique monétaire mercredi, les ramenant dans une fourchette désormais comprise entre 4,00% et 4,25%. «Le marché digère les annonces de la Fed et la ligne directrice en terme de trajectoire de baisse des taux», commente Dembik, conseiller en investissement pour Pictet AM. Stephen Miran, un des gouverneurs de la banque centrale des Etats-Unis tout juste promu par Donald Trump, a affirmé vendredi qu’il n’avait reçu aucune consigne du président cette semaine avant de voter sur les taux d’intérêt. Ailleurs, la Banque d’Angleterre a maintenu son taux directeur inchangé jeudi à 4% et la Banque du Japon (BoJ) a sans surprise maintenu son taux directeur inchangé vendredi, à 0,5%. À l’inverse de celles-ci, «les banques centrales des États-Unis, du Canada et de la Norvège ont abaissé leurs taux d’intérêt, alimentant les attentes de nouveaux assouplissements», relève M. Munnelly. Flou autour d’une entrée en Bourse d’Eurenco Le groupe public de production de munitions Eurenco, leader européen des poudres et explosifs, envisage une entrée en Bourse selon des informations du site d’information La Lettre, démenties par le ministère de l’Economie. «Aucun travail concernant une introduction en Bourse d’Eurenco n’a été initié», a affirmé Bercy jeudi soir à l’AFP. Feu vert pour BNP Paribas «BNP a fourni une mise à jour confiante sur ses perspectives à court terme (2025/2026) et moyen terme (2028), que nous considérons comme crédibles», estiment les analystes de Deutsche Bank dans une note, révisant à la hausse leur opinion sur le titre, portant le cours de l’action sur la séance. BNP Paribas a terminé en hausse de 1,54% à 79,60 euros. Euronext CAC40 © Agence France-Presse