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RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
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Banque centrale américaine : Donald Trump impose son conseiller à la Fed face à une gouverneure contestée
Washington - La banque centrale des États-Unis a entamé mardi sa réunion sur les taux directeurs dans une configuration particulière: un conseiller de Donald Trump, devenu gouverneur in extremis, est à la même table qu’une responsable que l’exécutif cherche à éjecter. Le suspens a duré jusqu’au bout sur la composition du comité qui se réunit jusqu'à mercredi pour fixer les taux directeurs américains. L’exécutif a en effet cherché à accélérer son remaniement de la plus puissante banque centrale du monde, censée travailler à l’abri des interférences politiques. D’un côté, il a propulsé un de ses principaux conseillers économiques, Stephen Miran, à l’un des postes les plus prestigieux de la Réserve fédérale (Fed) après la démission surprise de la gouverneure Adriana Kugler. Le Sénat à majorité républicaine s’est dépêché de confirmer sa nomination, validée lundi soir en séance plénière, ce qui a permis à M. Miran de prêter serment mardi matin, juste à temps pour participer à la réunion. En parallèle, la gouverneure Lisa Cook n’a su que lundi soir qu’elle pourrait bien elle aussi participer à la réunion. Donald Trump a cherché jusqu’au bout à l’empêcher de siéger, via une requête devant une cour d’appel, qui a été rejetée. Accusée par le camp présidentiel d’avoir menti à des banques au sujet de prêts immobiliers personnels, Mme Cook se bat devant la justice pour rester en place. Première femme noire à devenir gouverneure de la Fed, Lisa Cook avait été nommée par l’ex-président démocrate Joe Biden. Son mandat actuel court jusque fin janvier 2038. Si elle part, Donald Trump pourra nommer son remplaçant, qui siégera toutes ces années au conseil des gouverneurs. Un porte-parole du président a fait savoir à l’AFP que l’affaire finirait devant la Cour suprême, à majorité conservatrice, et que la Maison-Blanche comptait triompher au bout du compte. Première baisse de 2025 Tous ces événements se sont précipités alors que le président Trump somme depuis des mois la Fed d’abaisser ses taux directeurs, ce que l’institution semble être prête à faire pour la première fois de l’année. Interrogé par la presse mardi avant son décollage pour Londres, le chef d’État a affirmé que la Fed «devrait» être indépendante, mais que ses responsables «devraient écouter les gens intelligents comme [lui]». Les démocrates se sont opposés à la nomination de M. Miran, craignant qu’il ne fasse qu’appliquer les desiderata du président. Lors de son audition devant les sénateurs, début septembre, M. Miran avait expliqué qu’il ne prévoyait pas de démissionner de son poste de président du Comité des conseillers économiques (CEA) de la Maison-Blanche, mais seulement de prendre un congé sans solde. Il avait précisé qu’il avait reçu un avis juridique en ce sens, du fait de la brièveté du mandat qu’il va couvrir. Celui-ci s’achève en principe le 31 janvier 2026. Douze personnes votent ensemble sur le niveau des taux directeurs américains: les membres du conseil des gouverneurs (six gouverneurs et le président de la Fed, Jerome Powell), le président de la Fed de New York et quatre présidents de Fed régionales qui changent d’une année sur l’autre. Myriam LEMETAYER © Agence France-Presse