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RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
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Canada : la Banque centrale abaisse son taux directeur face à l’incertitude économique et commerciale
Montréal - La Banque du Canada a abaissé mercredi son taux directeur le faisant passer de 2,75% à 2,50%, soit la première diminution en six mois, dans un contexte où les droits de douane américains et l’incertitude commerciale pèsent «lourdement sur l’activité économique». "Étant donné que l'économie s’est affaiblie et que les risques à la hausse entourant l’inflation ont diminué, le Conseil de direction a jugé qu’une réduction du taux directeur était appropriée», a expliqué la banque centrale canadienne dans un communiqué. La dernière baisse, d’une série de sept consécutives, remonte à mars dernier, mois au cours duquel les droits de douane imposés par le président américain Donald Trump sont entrés en vigueur. Depuis, la banque centrale note une «incertitude persistante» et une croissance économique mondiale qui «montre des signes de ralentissement». «Nous avions, au sein du Conseil de direction, un consensus clair pour abaisser le taux directeur», a expliqué mercredi Tiff Macklem, gouverneur de la banque du Canada, lors d’une conférence de presse à Ottawa. Le banquier central a aussi affirmé que «le coût de la vie continue d’inquiéter les Canadiens», et que la banque va «continuer d'évaluer les répercussions des droits de douane» sur l’activité économique canadienne. «Prudence» Le Canada, en conflit commercial avec son principal partenaire économique, les États-Unis, a vu son PIB reculer d’environ 1,5% au deuxième trimestre et les exportations chuter de 27%, soit «un revirement important» par rapport au premier trimestre. La diminution du taux directeur survient au lendemain de l’annonce par l’agence nationale de la statistique que l’inflation au Canada a grimpé à 1,9% sur un an en août, contre 1,7% le mois précédent, un taux se situant dans la fourchette cible de 1 à 3% visée par la banque centrale. «Dans les mois à venir, la faiblesse à la fois de la croissance démographique et du marché du travail viendra vraisemblablement freiner les dépenses des ménages», a expliqué la banque dans son communiqué. Selon l'économiste à la banque CIBC Katherine Judge, «l'économie perd de sa résilience et l’inflation continuera d'être maîtrisée par un taux de chômage élevé et la suppression des contre-droits de douane». Elle prédit une autre baisse d’un quart de point de pourcentage lors de la prochaine annonce du taux directeur, le 29 octobre, soit une semaine avant le dépôt du budget fédéral. Une prédiction que partage également l'économiste Royce Mendes, de la banque Desjardins. «La Banque du Canada semble encore réticente à présumer que toutes les conséquences de la politique commerciale américaine sont derrière nous», a-t-il commenté dans une note. Face à l’incertitude économique et aux «bouleversements mondiaux», la banque centrale dit vouloir procéder «avec prudence», un constat observé par plusieurs analystes. «Le discours d’ouverture lors de la conférence de presse a fourni très peu d’indices à savoir si les décideurs entrevoient de nouvelles réductions (du taux directeur)», a renchéri Katherine Judge. «Il est clair que la Banque dépend des données disponibles et prendra des décisions une étape à la fois». Tiff Macklem a fait savoir que la banque était «prête» à prendre des mesures additionnelles, mais qu’elle le ferait «une réunion à la fois». «Nous sommes un peu moins tournés vers l’avenir qu'à l’habitude», a-t-il affirmé. Geneviève NORMAND © Agence France-Presse -
Pénuries de médicaments : l’Union européenne critiquée pour son manque de coordination
Bruxelles - L’Union européenne «n’a pas encore trouvé de remède» contre les pénuries de médicaments, selon un rapport publié mercredi par la Cour des comptes européenne, qui appelle à renforcer l’Agence européenne des médicaments. Cet audit analyse notamment les pénuries records de 2023 et 2024, pour des antibiotiques comme l’amoxicilline. L’UE a identifié les causes du problème, en particulier ses vulnérabilités dans la chaîne d’approvisionnement, car une partie importante de la production est réalisée en Asie. Mais la réponse politique des 27 n’est pas à la hauteur, d’après la Cour. «De nombreux États membres ont commencé à stocker des médicaments sans se concerter, ce qui a pu aggraver les pénuries dans certains d’entre eux», affirme l’instance basée au Luxembourg. Et si l’Union européenne a fait un «grand pas en avant» dès la fin 2023 en établissant sa première liste de médicaments critiques, elle n’a pas agi suffisamment pour «garantir leur disponibilité», selon le rapport. La Cour des Comptes salue «le rôle de coordination important» de l’Agence européenne des médicaments (EMA), mais déplore qu’elle ne soit «toujours pas habilitée à venir en aide aux pays de l’UE en dehors» des crises sanitaires. Et l’agence «n’est pas suffisamment informée des pénuries pour être en mesure de les prévenir», estime l’audit. La Cour rappelle que la santé relève des compétences des Etats membres, et pas directement de l’Union européenne. Et elle regrette le manque d’harmonisation entre les règles qui s’appliquent à l’industrie en fonction des pays européens. En France, les industriels doivent signaler une pénurie «dès que le risque de rupture de stock est connu», tandis qu’en Italie, il faut le faire «4 mois avant toute interruption d’approvisionnement», selon le rapport. La Cour des comptes européenne critique également la fragmentation du marché européen des médicaments qui entrave leur libre-circulation, par exemple en raison d’emballages différents d’un pays à l’autre. Entre autres recommandations, le rapport appelle la Commission européenne à prendre des mesures pour garantir le signalement rapide des pénuries à l’Agence européenne des médicaments. Cette agence devrait aussi «gérer une base de données des médicaments et une plateforme de signalement uniques», conseille la Cour des comptes. © Agence France-Presse -
Bourses européennes attentistes avant la décision de la Fed
Paris - Les marchés boursiers européens ont clôturé sans direction claire mercredi, dans l’attente de la décision de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed), qui devrait baisser ses taux directeurs pour la première fois de l’année. Londres a gagné 0,14% et Francfort 0,13%. Paris a cédé 0,40%, tandis que Milan a connu une nette baisse de 1,29%. Euronext CAC40 © Agence France-Presse