
Les fonds long-short ont raté leur moment
Un évènement L’AGEFI
RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
Plus d'articles du même thème
-
Les fonds actions tirent la collecte en Suède en août
Les fonds ouverts commercialisés en Suède ont attiré 8 milliards de couronnes suédoises (environ 704 millions d’euros) en août, selon Fondbolagens Förening, l’association suédoise des fonds d’investissement. -
La chaire de triple comptabilité veut apporter sa pierre à la durabilité des entreprises
Cette nouvelle chaire vise, avec l’école d’économie Aix-Marseille et l’Institut Louis Bachelier, à apporter une caution académique à la méthodologie du cabinet conseil Goodwill Management. -
Quadrille Capital cumule 500 millions d’euros de collecte dans ses stratégies phares
La société d’investissement spécialisée dans la tech porte ses encours à 1,8 milliard d’euros, un quasi doublement en cinq ans. -
Un groupe d'investisseurs publics et privés lève son premier fonds pour 510 millions de dollars
Le fonds d'infractrures durables est géré par Pentagreen Capital. -
MSIM lance un fonds de dette privée
Morgan Stanley Investment Management (MSIM) a lancé le fonds Morgan Stanley Dette Privée Europe SLP (MS DPE), fonds professionnel spécialisé (FPS) sous la forme d’une société en libre partenariat française. MS DPE offre aux investisseurs un accès au marché européen du prêt direct dans une structure semi-liquide de type « evergreen ». Pour ce fonds, MSIM s’est associé à IQ EQ Management, qui agit en tant que gestionnaire de fonds d’investissement alternatif (AIFM). -
LFDE lance un fonds nourricier d’un fonds de LBP AM
Ce fonds obligataire de performance absolue sera proposé aux CGP.
Sujets d'actualité
ETF à la Une

BNP Paribas AM se dote d’une gamme complète d’ETF actifs
La filiale de gestion de BNP Paribas vient de lancer six ETF « enhanced alpha » en s’appuyant sur ses équipes de gestion quantitative.
Les plus lus
Contenu de nos partenaires
A lire sur ...
-
Dans le sud-ouest de l'Allemagne, les PME guidées pour s'adapter aux besoins de la défense
Une agence de soutien à l'innovation explique quelles étapes ces petites entreprises doivent accomplir pour prétendre à des commandes du secteur militaire -
Poussez pas !
Tout le monde veut entrer, personne ne veut sortir : embouteillage en prévision au gouvernement
La nomination de l’un des plus proches d’Emmanuel Macron à Matignon exige, en contrepartie, des changements au gouvernement pour casser l’impression d’un statu quo. Bien plus facile à dire qu'à faire -
Frappes israéliennes au Qatar : le Hamas accuse les Etats-Unis d'être « complices »
Doha - Le Hamas a accusé jeudi les Etats-Unis d'être «complices» des frappes israéliennes au Qatar contre des responsables du mouvement islamiste palestinien, estimant que l’attaque visait à torpiller les négociations pour une trêve à Gaza. «Ce crime était (...) une mise à mort de l’ensemble du processus de négociation», a affirmé un responsable du Hamas, Fawzi Barhoum, dans une déclaration télévisée, au moment où se déroulaient les funérailles des six personnes tuées dans le raid. «Nous affirmons que l’administration américaine est pleinement complice de ce crime», a-t-il ajouté. L’attaque sans précédent menée par Israël au Qatar mardi visait des responsables du Hamas réunis dans un complexe résidentiel en plein cœur de Doha, la capitale de ce pays du Golfe allié des Etats-Unis. Le Qatar a affirmé avoir été informé par Washington «10 minutes» après l’attaque, qui a suscité une rare réprimande du président américain Donald Trump, pourtant allié d’Israël, qui a dit être «très mécontent». L’administration Trump a affirmé n’avoir été notifiée qu'à la dernière minute «par l’armée américaine». «J’ai immédiatement demandé à l'émissaire spécial Steve Witkoff d’informer le Qatar de l’attaque imminente, ce qu’il a fait, mais malheureusement trop tard pour arrêter» les frappes, a-t-il dit. Le Qatar accueille le bureau politique du Hamas depuis 2012, avec la bénédiction des Etats-Unis qui cherchaient alors à maintenir un canal de communication avec le groupe classé terroriste par la plupart des pays occidentaux. Funérailles sous haute sécurité L'émir du Qatar, Cheikh Tamim bin Hamad Al Thani, a participé jeudi aux funérailles aux côtés de dizaines d’hommes en tenue traditionnelle qatarie, et d’autres en civil ou en uniforme. Un cercueil ceint d’un drapeau qatari, et cinq autres drapés aux couleurs palestiniennes ont été placés dans la mosquée Cheikh Mohammed ben Abdel Wahab de la ville, selon les images diffusées par la chaîne Qatar TV. Les autorités ont renforcé les mesures de sécurité, installant des points de contrôle tout autour de la mosquée. Le Hamas a affirmé que les dirigeants du mouvement avaient survécu à l’attaque, mais a fait état de six morts: le fils du négociateur en chef Khalil al-Hayya, le chef du bureau de M. Hayya, trois gardes du corps et un policier qatari. Le ministère qatari de l’Intérieur a confirmé la mort du caporal Badr Saad Mohammed Al-Humaidi Al-Dosari, membre de ses forces de sécurité intérieure, ainsi que de trois autres personnes. Fawzi Barhoum a en outre indiqué que l'épouse du négociateur en chef du Hamas, la femme de son fils décédé et ses petits-enfants avaient été blessés dans l’attaque du bâtiment où ils résidaient. Selon les images visionnées par l’AFP, rien ne permettait de confirmer visuellement la présence de Khalil Al-Hayya aux funérailles. Selon des sources du Hamas, six dirigeants dont Khalil al-Hayya, Khaled Mechaal, ancien numéro un, et Zaher Jabarine, responsable du mouvement en Cisjordanie, étaient dans le bâtiment au moment de l’attaque. L’AFP n’est parvenue à joindre aucun d’eux depuis. Doha réévalue son rôle Le petit Etat gazier, qui abrite la plus grande base américaine de la région, joue le rôle de médiateur dans la guerre entre Israël et le Hamas à Gaza, aux côtés de l'Égypte et des États-Unis. Mais après les frappes israéliennes, le Premier ministre qatari, Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani, a affirmé que son pays «réévalu(ait) tout» concernant son rôle de médiateur, annonçant la tenue prochaine d’un sommet arabo-islamique à Doha pour discuter de la réponse à l’attaque israélienne. Il a en outre estimé mercredi que son homologue israélien, Benjamin Netanyahu, devrait être traduit en justice. Les frappes israéliennes ont choqué les riches monarchies du Golfe, qui ont longtemps misé sur les Etats-Unis pour garantir leur sécurité, et suscité de nombreuses condamnations internationales. Ali CHOUKEIR © Agence France-Presse