Nos articles d’actualité et d’analyse sur le financement des entreprises par dette obligataire (marché primaire, DCM, obligations hybrides) ou bancaire.
Les SRT consistent à sortir du bilan d’une banque les risques liés à des portefeuilles de prêts ciblés en vue d’alléger sa charge en capital réglementaire, au profit d’investisseurs en fonds de crédit spécialisés.
Suravenir et AG Real Estate, qui détiennent respectivement 6,9% et 5,4% du capital n’ont pas l’intention de participer à l’augmentation de capital de 600 millions d’euros. Malakoff Humanis et La Mutuelle Générale semblent encore réfléchir.
Ce marché de la dette octroyée par des acteurs non bancaires, hors régulation financière stricte, pourrait atteindre 4.500 milliards de dollars en 2030. Un tel levier suscite les convoitises mais nourrit aussi les inquiétudes sur les risques de dérapage.
En dix ans, le crowdfunding a connu une croissance discontinue, brutalement arrêtée par la remontée des taux d’intérêt. Retour sur les dates clés d’un marché qui connaît sa première crise.
Le gendarme boursier prononce des amendes pour plus de 4 millions d’euros, au-delà des demandes du Collège, pour diffusion d’informations fausses ou trompeuses et manipulation de cours dans le cadre du financement par Odirnane d’Auplata.
Alors que le seuil de déclenchement est relevé, ce qui va exclure nombre d'entreprises de ce suivi, l’institution assure qu'elle n'en laissera aucune sur le bord du chemin de son accompagnement.
Les Vingt-Sept officialiseront vendredi un accord sur l’harmonisation de certains éléments de leurs législations nationales en matière d’insolvabilité. Un compromis modeste, qui s’ajoute néanmoins à la liste des progrès réalisés au forceps par l’UE au fil des années sur ce sujet essentiel du point de vue de l’Union des marchés de capitaux, et plus globalement, pour l’attractivité économique du Vieux Continent.
L’Agence France Trésor et les organismes de Sécurité sociale pourront continuer à lever de la dette pour couvrir les besoins financiers. Les retraites de base progresseront de 2,2% au 1er janvier.
Une large partie des émissions Tier 1 et Tier 2 ont servi à refinancer des obligations de même type émises avant la mise en œuvre de Solvabilité 2, et dont l’avantage réglementaire prend fin après décembre 2025. Ces refinancements devraient continuer à alimenter l’offre l’an prochain.