43 milliards

Frédérique Garrouste

C’est le montant, en dollars, des dettes de LBO (leveraged buy-out) dans les banques en Europe et aux Etats-Unis, selon Bloomberg. Elles veulent profiter de l’éclaircie du marché high yield depuis octobre dernier pour en refinancer une partie. Signe des enjeux pour le bilan des banques, le refinancement d’une partie de la dette d’acquisition de la branche thé d’Unilever, Ekaterra, opération lancée par CVC l’été dernier, serait proposé avec une décote de 15 % à 20 %. En Europe, où il est question d’augmenter la charge prudentielle de la dette LBO, les banques sont particulièrement attentives aux possibilités d’alléger leur bilan.

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