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A la rentrée du parti, Aurore Bergé a réaffirmé la fidélité de Renaissance à Emmanuel Macron
Arras - La ministre démissionnaire Aurore Bergé a réaffirmé «la fidélité» du parti Renaissance envers Emmanuel Macron, alors que Gabriel Attal doit prononcer, selon son entourage, un «discours fondateur» d’un «homme libre» en clôture de la rentrée du parti dimanche à Arras. «Oui, je crois à la fidélité au projet politique que l’on mène depuis 2017 et je crois à la fidélité que l’on a, nous militants, au président de la République. Et je crois que c’est important qu’on le dise, qu’on le fasse savoir et qu’on le réaffirme: on est à ses côtés, pleinement à ses côtés», a déclaré Mme Bergé lors d’un échange avec la salle, dans le cadre de cette rentrée organisée sur un weekend dans le Pas-de-Calais. «J’entends toutes celles et ceux qui espèrent la fin du macronisme, toutes celles et ceux qui espèrent que nous soyons finalement de passage, une parenthèse que l’on pourrait aisément refermer, comme si nous n’avions rien bâti depuis huit ans». Mais «en huit ans, nous avons réussi des transformations majeures», a insisté la ministre démissionnaire chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes. A la tête de Renaissance depuis moins d’un an, Gabriel Attal, en froid avec Emmanuel Macron depuis la dissolution, a promis, selon son entourage, de «renverser la table» lors de son discours, dans lequel il abordera notamment la question de la «pratique du pouvoir» depuis 2017. «Le sujet, ce n’est pas qu’il affirme une ambition présidentielle. Il a le droit d’affirmer une ambition présidentielle» mais «on ne veut pas que ce parti devienne un parti de rupture avec le président de la République», a expliqué une cadre de Renaissance. «On clôt une décennie politique dans 18 mois», «c’est une émancipation non pas contre quelqu’un mais parce que la situation a changé», a-t-on expliqué dans l’entourage de Gabriel Attal, en évoquant une «instrumentalisation» de la séquence de rentrée de Renaissance par des opposants internes. «Quand vous êtes un chef et que vous décidez une ligne, soit vous tracez un chemin et les gens vous suivent, soit vous suivez une ligne tracée par d’autres que vous et dans ce cas, ça ne s’appelle pas être un chef». «Est-ce qu’on sera capable de rassembler une majorité de Français pour éviter que le pays ne tombe aux extrêmes ? C’est ça notre boussole», a-t-on insisté de même source. © Agence France-Presse -
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