Barclays a annoncé le 23 novembre le lancement de Barclays Equity Euro Market Neutral, un fonds de droit luxembourgeois enregistré en France. Dans le cadre d’une stratégie d’investissement neutre par rapport au marché, son objectif est de générer une performance d’environ 7 %, avec une volatilité limitée à 5%.Pour suivre une stratégie neutre, le fonds investira dans les actions européennes avec un processus d’acquisition par paires. Chaque fois qu’une action sera sélectionnée en position acheteuse dans le cadre d’un investissement long, le gérant sélectionnera une autre action du même secteur en position vendeuse. Ces deux actions auront un poids identique dans le portefeuille. Le processus d’investissement s’appuie sur trois moteurs pour identifier les opportunités du marché. Ces moteurs constituent un premier filtre qui permet de dégager un certain nombre d’opportunités. Un premier moteur étudie les valorisations de Price Earning Ratio par rapport à une moyenne du marché et détermine celles qui sont susceptibles de présenter un signal d’achat ou un signal de vente pertinent. Le deuxième moteur étudie sur une semaine, un mois et trois mois, les révisions à la hausse ou à la baisse des résultats des entreprises pour aboutir à la validation des paires sélectionnées. Le troisième moteur d’origine qualitative fait intervenir l’analyse fondamentale de l’équipe de recherche suivant des critères plus traditionnels. Ces trois moteurs permettent de sélectionner une liste de 40 à 50 paires. Dans une seconde étape, l’équipe de gestion effectue une validation de la liste obtenue, en vérifiant que les paires sélectionnées correspondent bien à des opportunités d’investissement et ne sont pas dues à des mouvements structurels. Elle aboutit à une liste de 20 à 25 paires. Enfin, l’équipe d’investissement intervient pour réaliser le calcul du Stock Ratio. Ce ratio synthétisant les valorisations de chacune des paires sélectionnées permet de prendre en compte les niveaux de valorisation des deux titres d’un point de vue historique et de déterminer le timing de l’investissement. Ce processus très sélectif permet d’arriver à un portefeuille final de 10 paires bénéficiant d’une bonne diversification. L’entrée d’un titre en portefeuille entraîne la mise en place d’un «stop loss», mais aussi d’un «stop gain», des indicateurs de vigilance qui entraîneront la sortie d’une valeur si elle dépasse l’une de ces deux bornes.Caractéristiques: Code ISIN Retail LU0450750012 Institutionnels LU0450749949Commission de souscription : 3% max Frais de gestion Retail 1,20 % Institutionnels 0, 8%
Même sans l’assouplissement monétaire mené par les Etats-Unis, les devises des économies émergentes seraient appelées à s’apprécier, selon le président de la Banque mondiale, Robert Zoellick. «Il est inévitable qu’il y ait des pressions en vue de l’appréciation des devises des pays émergents, même si la Fed n’avait pas lancé sa politique d’assouplissement quantitatif», a-t-il déclaré dans une interview à Reuters Insider. Selon Robert Zoellick, les Etats-Unis devront toutefois, à plus long terme, se concentrer sur d’autres moyens de relancer l'économie. «Il y a aux Etats-Unis un grand débat entre partisans et détracteurs de l’assouplissement quantitatif. A titre personnel, je pense que la question essentielle à terme est la gestion du déficit budgétaire et des incertitudes des entrepreneurs, le retour à la croissance et la résistance au protectionnisme», a soutenu Robert Zoellick.
Les sociétés Assya Capital et Global Equities Capital Markets ont annoncé lundi 22 novembre leur rapprochement afin de créer une compagnie financière entrepreneuriale paneuropéenne.La nouvelle entité, précise un communiqué, prend le nom d’Assya, compagnie financière et intervient dès à présent dans les six métiers suivants : • L’intermédiation actions, dérivés, obligations et commodities ; • La gestion d’actifs ; • Le corporate finance ; • Le capital investissement ; • L’assurance ; • L’immobilier. Comme annoncé par Assya Capital le 1er juillet 2010, Thierry Leyne, son fondateur, a été nommé président du conseil de surveillance de la nouvelle entité et Gilles Boyer, fondateur de Global Equities, président du directoire. A noter que les dirigeants prévoient de réaliser un chiffre d’affaires de 24 millions d’euros en 2010 et de dépasser 50 millions d’euros en 2012 avec une marge d’exploitation de l’ordre de 15%. Dès cet été, Global Equities a également affirmé qu’elle avait pour ambition de renforcer ses activités dans les pays où Assya Capital et Global Equities opèrent et compte aussi étudier de nouveaux rapprochements en Europe et aux Etats-Unis.
p { margin-bottom: 0.08in; } In an interview with the Frankfurter Allgemeine Zeitung, Hans Joachim Reinke, chairman of the board at Union Investment, estimates that the problems encountered by open-ended real estate funds (EUR22bn are in funds which are closed to recemptions, out of a total of EUR87bn) can be chalked up to failings of management, as the fund managers concerned did not distinguish between retail and institutional investor clients, which Deka (EUR20bn) and Union (EUR18bn) did do.Reinke estimates that in five years’ time, only 7 to 8 providers will still be offering open-ended real estate funds to retail clients in Germany, compared with 14 presently.He also estimates that draft legislation of real estate funds is generally headed in the right direction, but would like to see some refinements. He would like to see the minimal retention time be 12 months and not 24 months; he also warns that redemptions by retail investors should be limited to EUR20,000 rather than EUR5,000 per month.
L’ancien conseiller économique à Matignon, Alain Demarolle, qui vient de passer trois ans à Londres chez Eton Park, a choisi Paris pour lancer son fonds alternatif spécialisé sur les grandes capitalisations européennes, rapporte l’Agefi. La Sicav enregistrée au Luxembourg, Alura Capital Partners, a démarré ses activités début octobre, avec des clients tels que CNP Assurances, OFI AM ou la banque privée suisse JP Hottinguer, avec pour objectif d’atteindre les 500 millions d’euros d’encours. Alura Capital intervient en suivant des stratégies long/short ou event driven, un positionnement que la société cherche à vendre auprès des investisseurs américains, alors que ses clients se divisent pour moitié entre la France et le reste de l’Europe.Le fonds est à liquidité mensuelle, précise le quotidien Son horizon de détention est plutôt de 6 mois, avec un effet de levier limité, de 200% au maximum.
Selon La Tribune, la société de gestion américaine FrontPoint Partners clôturera son hedge fund investi sur le secteur de la santé, qui affiche un encours de 1,5 milliard de dollars. Cette décision intervient après que le docteur Yves Benhamou, un de ses gérants de portefeuille, a été accusé de délits d’initiés pour avoir délivré des informations sur les résultats.
La banque Sarasin s’est engagée en août dernier à ne plus gérer d’argent non déclaré d’ici 2012. Dans une interview donnée à l’Agefi suisse, Bas Rijke, qui dirige la succursale genevoise de Sarasin depuis le 1er août dernier, explique que la grande majorité de la clientèle veut se mettre en conformité avec la loi, même si cela prendra plus ou moins de temps selon leur situation personnelle ou leur pays de résidence. «La question du statut de leurs avoirs vient souvent des clients et nous les informons, en leur conseillant de faire vérifier leur structure fiscale par des spécialistes, pour s’assurer qu’elle est conforme à la législation de leur pays, notamment en cas de décès ou d’héritage», explique-t-il . Si un client refuse de régulariser, la banque l’informera clairement de sa volonté de ne pas s’engager dans cette voie."Les résultats montrent que notre politique ne constitue pas un frein à la croissance. Sarasin a attiré 6,4 milliards de francs de net new money au premier semestre 2010, en provenance essentiellement de clients européens et sur une base transparente», a justifié Bas Rijke.
Dans une interview à Expansión, Robert Michele, patron mondial de la gestion obligataire chez J.P. Morgan Asset Management, estime que pour l’Espagne le pire s’est passé il y a un an et qu'à présent le pays est loin d'être une nouvelle Grèce ou une nouvelle Irlande.Mais il reconnaît que le différentiel de taux, qui atteint 2 points de pourcentage actuellement, est très attrayant, ce qui rend intéressante la dette subordonnée des grandes banques espagnoles qui ont des activités internationales comme le Santander et le BBVA.La situation de l’Espagne dépendra en fin de compte de la restructuration des banques et des caisses d'épargne ainsi que de la capacité de ces établissements à se financer par leurs propres moyens.
p { margin-bottom: 0.08in; } In an interview with Expansión, Robert Michele, global head of fixed income management at J.P. Morgan Asset Management, estimates that the worst is over for Spain, and that now the country is far from being another Greece or the next Ireland.But he admits that the interest rate differential, which is now at 2 percentage points, is highly attractive, which makes subordinate debt from the major Spanish banks which have international activities, such as Santander and BBVA, also attractive.The situation in Spain will ultimately depend on restructuring the banks and savings banks, as well as the ability of these institutions to finance themselves.
p { margin-bottom: 0.08in; } Sarasin bank last August pledged no longer to manage undeclared assets until 2012. In an interview with Agefi Switzerland, Bas Rijke, head of the Geneva branch of Sarasin since 1 August this year, explains that the vast majority of clients would like to comply with the law, even if that takes more or less time, depending on their personal situation or their country of residence. “The question of the status of their assets is often raised by clients, and we inform them about it, advising them to get their fiscal structure examined by specialists, in order to ensure that it is in compliance with legislation in their country, particularly in the case of decease or inheritance,” he explains. If a client refuses to come into compliance, the bank will clearly inform the client that it has no intention of engaging in illegal activities. “The results show that our policy does not hold back growth. Sarasin attracted CHF6.4bn in net new money in first half 2010, largely from European clients through a transparent process,” says Rijke.
L'équipementier aéronautique Safran devra clarifier ses intentions sur son concurrent Zodiac Aerospace d’ici demain avant l’ouverture de la Bourse, a annoncé mercredi l’AMF. Après avoir vainement tenté d’engager des discussions amicales avec Zodiac, Safran n’exclut désormais pas de lancer une offre hostile. «L’Autorité des marchés financiers (...) a demandé à la société Safran de publier, au plus tard vendredi 19 novembre 2010 avant Bourse, un communiqué afin d’informer le public de ses intentions (sur Zodiac - ndlr)», fait savoir l’AMF dans un communiqué. Personne chez Safran n'était en mesure de commenter dans l’immédiat les déclarations de l’AMF. La réaction du gendarme français des marchés financiers intervient alors que Jean-Paul Hertman, le président de Safran, a déclaré dans la journée qu’une offre hostile sur Zodiac Aerospace était une «possibilité».
In October 2009, Olivier Johanet announced his departure from La Française des Placements, which had been acquired by UFG, and joined La Financière Responsable, a French boutique dedicated wholly to responsible investment, founded in 2007 by Stéphane Prévost with the support of LFP. In an interview with Newsmanagers, the president of La Financière Responsable, and majority shareholder with a 65% stake, sums up the year and discusses the difficulties that small companies like his may encounter.
Two years after his arrival at the Paris office of Legg Mason, Vincent Passa has been promoted to the position of head of distribution for France and French-speaking Europe for the US management firm. In this role, he will be in charge of fund sales and distribution activities for third-party distributors, including financial intermediaries, asset managers, fund of fund managers, banks and high-end distribution platforms. He will also head the Paris office.The promotion follows an increase in assets at the Paris office over the past two years. France has become Legg Mason’s largest market in continental Europe, where the asset management firm is also present in Germany, Italy, and Spain. In an interview with Newsmanagers, Passa did not wish to comment on total assets under management for the Paris office, but says that the “EUR1bn threshold is soon to be crossed.” This goal may be achieved in 2011.To continue this development, Passa will recruit two sales staff. One of them will handle French institutional clients, a segment in which Legg Mason is not yet present, and wishes to actively develop. The recruitment process for the two positions is at an advanced stage, and the announcement of the winners will be coming soon. The team will also include a sales assistant, who started on Monday at the Paris office of Legg Mason.Meanwhile, the product range available to French investors has grown, particularly in the absolute return segment, with a Permal product, and soon, a bond product from Western Asset Management. Legg Mason will be more actively promoting the Legg Mason Capital Management Opportunity Fund, managed with the same management principles as the fund by Bill Miller, but without constraint in terms of cap sizes, sectors and asset classes, although it remains highly focused on US equities.
Dans une interview au Financial Times, Peter Clarke, le directeur général de Man Group, estime que la décision d’abolir la Financial Servies Authority affaiblit la position du Royaume-Uni en Europe. «La FSA a fait preuve durant plusieurs années contrôlé avec succès son secteur des hedge funds (…)», indique-t-il. On ne sait pas encore si c’est la Banque d’Angleterre qui va s’occuper de la supervision de hedge funds.
Aviva France a annoncé, mercredi 10 novembre, avoir racheté les parts des actionnaires minoritaires (soit 16,3%) de la société d’épargne viagère (S.E.V.). Le montant de l’opération s'élève à 121,5 millions d’euros, après versement d’un dividende. Dans le détail, l’actionnariat minoritaire était réparti entre la société civile Orme (15,9%), société patrimoniale des familles Athias et Le Saux, et Gérard Athias et André Le Saux, chacun personnellement pour 0,2 %. La SEV est une société d’assurance vie qui intervient aux côtés d’Aviva Vie comme co-assureur du contrat AFER, précise un communiqué. Depuis début 2009, l’ensemble des encours et des flux du contrat AFER sont répartis à parts égales entre les deux co-assureurs Aviva Vie et SEV. Au terme de l’opération, Aviva Vie possède 100% du capital de SEV qui adoptera une nouvelle dénomination sociale.
Dans une interview à la Frankfurter Allgemeine Zeitung, Kevin Parker, qui dirige la gestion d’actifs mondiale de la Deutsche Bank, indique se focaliser sur le thème du changement climatique, parce que les entreprises qui s’attaquent résolument aux problèmes environnementaux surperformeront les autres. Les émissions de CO2 d’une entreprise ont une incidence directe sur son cash-flow.Si les critères ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) sont importants et si la Deutsche Bank les utilise aussi, les problèmes sont complexes et il n’y a pas de normes, alors que les émissions de CO2 sont quelque chose de bien concret.Cela posé, les gérants de fonds du groupe Deutsche Bank ont dans le monde entier la consigne de ne pas investir dans des entreprises qui fabriquent des bombes à fragmentation, qui bafouent les droits de l’homme ou qui font travailler des enfants.
p { margin-bottom: 0.08in; } In an interview with the Frankfurter Allgemeine Zeitung, Kevin Parker, head of global asset management at Deutsche Bank, says he is planning to focus on the theme of climate change, since businesses which resolutely attack environmental issues outperform others. CO2 emissions from a business have a direct impact on its cash flow. Though environmental, social and governance (ESG) criteria are important, and although Deutsche Bank also uses them, the issues are complex, and there are no standards, while CO2 emissions are something concrete. With that said, fund managers of the Deutsche Bank group worldwide are instructed not to invest in businesses which manufacture cluster bombs, violate human rights, or rely on child labour.
Lorsque John Hathaway, gérant du fonds Tocqueville Gold, a commencé à investir dans l’or, en 1998, le métal précieux se négociait à 300 dollars l’once et était très impopulaire. «La presse financière anglo-saxonne annonçait même la mort de l’or», rappelle le senior partner de Tocqueville Asset Management, la société sœur de Tocqueville Finance basée aux Etats-Unis et qui gère 2,3 milliards de dollars dans l’or sur un encours total de 9,6 milliards. Aujourd’hui, les choses ont bien changé et l’or faisait encore les gros titres du Financial Times lundi matin alors qu’il atteignait un nouveau record à plus de 1.400 dollars l’once. Pour autant, le métal jaune est-il encore attrayant ou est-il trop tard pour entrer dans la partie ? Pour John Hathaway, nous sommes au début de la phase 3 du cycle de hausse de l’or, c’est-à-dire le moment où les investisseurs «momentum» que sont les institutionnels commencent à s’intéresser au métal précieux et où il existe un consensus croissant sur le fait que les perspectives de l’or restent solides. Cette phase 3 intervient avant la dernière, au cours de laquelle tout le monde, «même le chauffeur de taxi», s’intéresse à l’or, et où il convient donc de sortir. La fin du «bull market» pourrait intervenir en 2012, avec les élections, mais cela pourrait durer plus longtemps. Cela dépendra de la volonté des futurs dirigeants politiques à restaurer la crédibilité de la monnaie fiduciaire, et du mandat qu’ils obtiendront des électeurs pour le faire.
Dans une interview à la Frankfurter Allgemeine Zeitung, Peter Pühringer, fondateur de la société de gestion de fortune autrichienne ZZ Vermögensverwaltung GmbH, souligne que, malgré les très bons résultats des 10 fonds ZZ offerts au public (par exemple 23 % annuels en moyenne depuis 1996 pour le ZZ1, spécialiste des obligations à haut rendement des pays émergents), le fait d'être positionné sur des marchés très illiquides nécessite de ne pas avoir des investisseurs trop importants, d’où l’utilisation d’un droit d’entrée élevé de 10 %.Le manager souhaite ainsi conserver pour ZZ environ 70 % de l’encours des fonds. De plus, la société n’a pas de distribution, ce qui lui permet d’investir davantage dans la recherche. Enfin, ZZ conserve une forte poche de liquidités pour pouvoir exploiter les anomalies de marché en période de crise avec 30-50 % de cash.
p { margin-bottom: 0.08in; } In an interview with the Frankfurter Allgemeine Zeitung, Peter Pühringer, founder of the Austrian wealth management firm ZZ Vermögensverwaltung GmbH, says that despite very good results for the 10 open-ended ZZ funds (such as an annual average of 23% since 1996 for the ZZ1, specialised in long-term high yield bonds from emerging countries), the fact of being positioned on highly illiquid markets requires having investors who are not too large, and hence the use of a high front-end fee of 10%. The manager would also like to retain about 70% of assets in funds for ZZ. In addition, the firm has no distribution, which allows it to invest more in research. ZZ retains a high liquidity reserve in order to be able to exploit market anomalies in periods of crisis, with 30-50% in cash.
p { margin-bottom: 0.08in; } Among the 83 German institutional investors interviewed by the Otto Besheim School of Management for Union Investment, 27% say that they use only one or two asset classes in their investments, while 35% use three, and 17% four. Only 19% of directors surveyed say that they divide their investments over five or six asset classes. Professor Lutz Johanning, one of the authors of the study, was surprised by this result, adding that many investors do not seem to be aware of the low level of diversification of their portfolio. The professor estimates that this lack of diversification may be the result of subsidiary diversification strategies, such as different choices of regions and countries, stock-picking, or the use of different investment concepts and managers. However, says Johanning, compared with diversification in terms of asset class, subsidiary diversification has a less marked incidence on the risk/return profile of the overall portfolio. Alexander Schindler, a board member at Union Investment in charge of institutional clients, says that the low level of diversification of assets suggests that the position of the portfolios of some institutionals does not correspond to their priorities in terms of risk management.
Selon l’Agefi qui cite une interview sur la chaine de radio RMC Info, Jean-Pierre Jouyet, le président de l’AMF a demandé vendredi une adaptation de la réglementation sur les franchissements de seuils. «Trop souvent la France reste le far-west en matière de prise de contrôle des sociétés, de dépassement de seuil, alors que d’un autre côté on vit dans un capitalisme de connivence dans ce pays, a déclaré Jean-Pierre Jouyet. Toute sorte d’instrument qui permet d’acheter des actions d’une autre société doit être déclarée. Je ne veux connaître aucune exception, la réglementation doit être adaptée en conséquence».Selon des déclarations de M. Jouyet au JDD, la ministre de l’Economie compte proposer une modification de la législation dans ce sens, note le quotidien. Une réponse qui fait suite à la montée surprise de LVMH au capital d’Hermès à hauteur de 17,1% via des «equity swaps» dénouables en numéraire avant qu’un avenant ne prévoie un débouclage en titres.
In an exclusive interview with Newsmanagers, Jean-Baptiste de Franssu discusses the major challenges which the European association he leads is addressing, including harmonisation of distribution of mutual funds. He also talks about recent developments in relation to the AIFM directive, and the establishment of RDR in Great Britain.
BNP Paribas a annoncé jeudi un résultat net au troisième trimestrede 1,9 milliard d’euros, en hausse de 46% et supérieur aux attentes du marché (le consensus établi par Reuters tablait sur un bénéfice net de 1,7 milliard d’euros) grâce à un nouveau recul de ses provisions pour pertes sur le crédit de près de 47% tandis que ses revenus ont progressé de 1,8% sur la période. A titre de comparaison, la Société générale a fait état mercredi d’un bénéfice net également supérieur aux attentes du marché, à 896 millions d’euros. A fin septembre, son ratio de solvabilité financière «tier one» ressort à 11,2% contre 10,1% fin 2009. «Nous sommes confiants que le quatrième trimestre se traduira par une nouvelle série de bons résultats pour BNP Paribas dans nos principaux métiers», a dit Baudouin Prot, administrateur directeur général, qui s’est toutefois refusé à donner des prévisions chiffrées.