L’Institut Louis Bachelier, réseau de recherche en économie et en finance au sein de Paris Sciences et Lettres, a créé un MOOC qui offre une perspective globale de la régulation financière en France et en Europe. Celle-ci est au c??ur de l’activité financière et de l'économie. En comprendre les tenants et aboutissants est aujourd’hui utile voire indispensable. Ce cours est le moyen d’aborder une matière peu enseignée car en constante évolution. Les intervenants de ce cours sont des spécialistes dans leurs domaines respectifs, ils délivreront leur expertise sur la réglementation en vigueur mais aussi sur les problématiques à venir. Ce MOOC est une première introduction à la régulation financière, abordée de manière synthétique et didactique au cours de 5 semaines et sans examen final. Le cours s'étend sur 5 semaines et propose : Des séquences vidéos synthétiques (environ une heure par semaine) ; des documents écrits (textes légaux et réglementaires, jurisprudence, extraits d’ouvrages, etc.) ; des questionnaires à choix multiples afin de vérifier votre compréhension du cours à la fin de chaque semaine ; un forum, favorisant l'émulation autour de notions traitées dans le cours et qui sera animé par l'équipe de l’Institut Louis Bachelier. Aucune attestation de suivi avec succès, ni certificat ne seront délivrés à la fin du MOOC Les intervenants seront: Edouard-François de LENCQUESAING, Délégué Général de l’Institut Européen de Régulation Financière (EIFR). Patrick STARKMAN, Relations extérieures et institutionnelles - Autorité Européenne des Marchés financiers Haroun BOUCHETA, Responsable affaires publiques Global Banking and Investor Solutions à la Société Générale. Il est également Maître de conférences en droit à l’Université de Cergy Sébastien MASSART, Conseiller stratégie auprès du président de l’AMF Alban JARRY, Directeur du programme Solvency II à la Mutuelle Générale Elie Hériard DUBREUIL, Director Global Supranationals - Standard and Poor’s Rating Services Sébastien PALLE, Directeur Adjoint des affaires publiques groupe à la Société Générale Jean Michel BEACCO, Directeur Général de l’ Institut Louis Bachelier et Professeur associé à l’Université Paris Dauphine. Pour plus d’informations, cliquez ici.
Pascal Demurger, Directeur du Groupe MAIF et Président du GEMA, a reçu le trophée, dans la catégorie « Personnalité de l’Année », de la 13ème édition des Trophées de l’Assurance, événement annuel de l’innovation et de la reconnaissance. Cette distinction lui a été remise par Christian Schmidt de la Brelie, Directeur Général de KLESIA et Personnalité de l’année 2013. Pascal Demurger, ancien élève de l'École Nationale d’Administration (promotion Victor Schoelcher - 1996), quitte la Direction du Budget au Ministère de l’Economie et des Finances en 2002 pour rejoindre le Groupe MAIF. Il prend ses premières fonctions à la MAIF en septembre 2002 en qualité de Conseiller à la Direction Générale, chargé de la Réassurance et du développement international. Depuis 2009, Pascal Demurger est Directeur du Groupe MAIF, Président du comité d’audit BPCE Assurances Administrateur Sferen, BPCE Assurances, Socram, Parnasse Maif et Membre du Conseil de surveillance IMA. Il a été élu le 1 juillet 2014 Président du GEMA (Groupement des Entreprises Mutuelles D’Assurances). Le Trophée de la Personnalité de l’Année est attribué chaque année par un jury composé de journalistes des médias professionnels et grand public. Pour cette distinction, les critères observés par le Jury sont notamment : le parcours professionnel, les prises de positions, l’engagement sociétal et citoyen... Le jury est cette année composé de : Pascal Beau - Espace Social Européen Aurélien Lafaye - Instit Invest Patrick Lelong - France Info Benoit Martin - News Assurances Jean-Charles Naimi - L’Agefi Actifs Julien Parot - La Correspondance Economique Christophe Vanackere - Fil social
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 120%; } “Few people can replace Bill Gross. Daniel Ivascyn will not try,” the Wall Street Journal writes, in an article giving a portrait of the successor to the emblematic founder of Pimco. “The new structure is based on sharing responsibility,” Ivascyn explains in an interview with the newspaper. “We are moving from a structure driven by its founder to one which, in a word, values teamwork.” Ivascyn will not manage the Total Return fund, but will oversee it. He has a reputation as a mortgage securities trader, but is less well known for his ability to make calls on the basis of the economy like Gross, observers comment. Ivascyn was recruited 16 years ago by Gross. In the past few yeas, he attracted investors to the Pimco Income fund which he manages by achieving remarkable returns. Ivascyn, a native of Oxford, Massachusetts, is married and has several dogs. He led the expansion of the company into alternative strategies, and manages two hedge funds focused on banking assets.
La Banque Postale et son partenaire assureur CNP Assurances profitent de la semaine de l’investissement socialement responsable (ISR), qui se déroule du 29 septembre au 5 octobre, pour mettre en avant leurs fonds éligibles à l’ISR. Cinq millions d’asssurés déjà séduits par les fonds ISR La gamme «Investir Autrement», qui comporte cinq OPCVM labellisés Novethic, est disponible via les quatre grands contrats d’assurance vie de la Banque Postale/CNP Assurances - Vivaccio, GMO, Ascendo, Cachemire - ainsi que les deux nouveaux contrats lancés en début d’année, Cachemire 2 et Cachemire Patrimoine. Ces fonds ISR sont déjà souscrits par près de cinq millions d’assurés. «Cette notion [d’ISR, NDLR] est encore peu connue, d’où notre implication en matière de promotion qu’encourage notamment la semaine de l’ISR», selon Dorothée de Kermadec-Courson, directrice de la conformité, du contrôle interne, du développement durable chez CNP Assurances. Jusqu'à 50% de réduction sur les frais sur versement Du 1er septembre au 31 octobre 2014, la Banque Postale propose une réduction d’au moins 50% des frais sur versement, variant, selon les contrats, de 0,4% à 0,8% pour les fonds ISR. La réduction est aussi en vigueur pour l’ensemble des autres fonds si 15% du montant est versé sur des unités de compte. En septembre 2014, l’offre ISR de la Banque Postale s’est étoffée avec le lancement du Service Intérêts Solidaires, qui permet de soutenir un organisme d’intérêt général ou une association reconnue d’utilité publique et deux fonds à formule, commercialisés du 8 septembre au 18 octobre 2014, indexés sur l’indice boursier éthique «Ethical Europe Equity».
Sylvie Malécot participera, le 3 décembre prochain, à la Journée Nationale des Investisseurs Institutionnels organisée par Instit Invest, au Collège des Bernardins à Paris. Elle interviendra notamment dans le Panel intitulé « Suivi des investissements : comment simplifier le traitement opérationnel et administratif des classes d'actifs de diversification ? ». Retrouvez toutes les informations concernant cette journée sur le site [www.journeedesinvestisseurs.com](http://www.journeedesinvestisseurs.com/).
Les approches d’allocation d’actifs basées sur le risque sont de plus en plus prisées au sein de l’industrie financière, les investisseurs ne souhaitant plus subir de pertes prononcées et les diverses régulations incitant fortement à développer un cadre de gestion des risques solide. En ce sens, Koris International, en partenariat avec Instit Invest, souhaite interroger les investisseurs institutionnels européens sur leur prise en compte du risque dans la gestion des investissements afin de mieux affronter les environnements de marché incertains. Pour répondre à l’enquête Risk-Based Investing - Koris 2014, cliquez ici. Cette enquête se terminera le 15 octobre 2014 et les résultats seront dévoilés en décembre 2014 lors de la journée nationale des investisseurs institutionnels, organisée par Instit Invest.
En gérant son bilan de manière innovante, Malakoff-Médéric a amélioré le rendement de ses portefeuilles financiers dans un environnement de taux bas. Très présent dans le financement de l'économie grâce à sa société de gestion interne Fédéris GA, Malakoff-Médéric a décidé de dynamiser son programme d'investissement en private equity, tout en conservant son processus ISR rigoureux et son approche «Best in class».
Le gestionnaire d’actifs alternatif GLG Partners a décidé de fermer à toute souscription provenant de nouveaux investisseurs («soft close») sa stratégie GLG Japan CoreAlpha, gérée par Stephen Harker, deux ans après sa réouverture aux investisseurs, rapporte Investment Week. Cette décision intervient alors que les deux véhicules concernés par cette stratégie, à savoir le fonds «onshore» GLG Japan CoreAlpha et le fonds «offshore» GLG Japan CoreAlpha Equity, ont vu leurs encours fortement progresser pour atteindre 6,5 milliards de livres (10,5 milliards de dollars), contre 4 milliards de livres (6,3 milliards de dollars) lors de leurs réouvertures en décembre 2012, précise le site d’information britannique. La société de gestion justifie également sa décision par les craintes liées à la liquidité sur le marché actions japonais.
Le gestionnaire d’actifs alternatifs va fermer à toute nouvelle souscription sa stratégie GLG Japan CoreAlpha, rapporte le site spécialisé. Cette décision intervient alors que les deux véhicules concernés ont vu leurs encours progresser de 62% à 6,5 milliards de livres (10,5 milliards de dollars) depuis fin 2012. La société justifie également sa décision par les craintes sur la liquidité du marché actions japonais.
Interview de Renaud Célié, directeur général adjoint pôle finances et performances et Bertrand Jounin, directeur des activités financières d’Apicil dans Option Finance : Notre poche en immobilier, autour de 3 %, comprend surtout nos immeubles d’exploitation ainsi que des immeubles de logement à Lyon. Dans nos portefeuilles d'épargne, nous possédons de l’immobilier papier en particulier des SCPI, car nous les proposons également à nos clients dans le cadre de nos contrats en unités de compte. L’immobilier est un choix de diversification qui peut aujourd’hui être attrayant en termes de rendement. Nous sommes tout de même assez prudents sur ce secteur qui peut entrer dans un cycle baissier. Nous réfléchissons actuellement à faire évoluer nos investissements à travers des fonds immobiliers très diversifiés. Nous voulons éviter d’investir désormais dans le bureau parisien, qui selon nous, est en haut de cycle. Nous avons par exemple récemment investi dans un fonds investissant des hangars logistiques qui devrait bénéficier du développement du commerce en ligne.
Pierre-René Lemas, directeur général du groupe Caisse des Dépôts, a procédé à la nomination de Laurent Zylberberg en tant que directeur des relations institutionnelles et de la coopération européenne et internationale, à compter du 1er octobre 2014. Laurent Zylberberg devient également membre des comités de direction de l’Etablissement public et du groupe Caisse des Dépôts. Laurent Zylberberg, juriste et sociologue de formation, a soutenu sa thèse au Centre de Sociologie des Organisations (IEP Paris) avec Michel Crozier sur « l’histoire de l’aménagement de la région parisienne ». Enseignant en science politique et en droit public à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, il a parallèlement, été membre de différents cabinets ministériels (Intérieur, Défense, Premier Ministre, Affaires Sociales) de 1989 à 1993. Par la suite, il a été conseiller pour les affaires sociales à l’ambassade de France à Londres jusqu’en 1996 avant de diriger le bureau de Bruxelles du cabinet de relations publiques « Euroconsultants ». De retour à Paris en 1998, il a intégré le groupe France Télécom occupant successivement les fonctions de directeur du marketing pour les administrations puis de directeur des relations institutionnelles. Il devient directeur des relations sociales en 2005, d’abord à l’international puis sur le périmètre de l’ensemble du groupe France Télécom. En 2011, il est nommé directeur général d’Orange Vietnam avant de revenir en France en 2013 comme directeur de la conformité du groupe Orange.
LBO France, au travers du fonds Hexagone III, a annoncé lundi l’acquisition auprès du groupe espagnol Puig d’une participation de 80% dans Payot, laboratoire français de cosmétiques et de soins pour la peau. Il intervient aux côtés d’une nouvelle équipe de management, dirigée par Andrea Surliuga. Basé à Neuilly, Payot a dégagé en 2013 un chiffre d’affaires de plus de 25 millions d’euros, dont 70% réalisés à l’international. La banque d’investissement Michel Dyens & Co. est intervenue comme conseil financier exclusif, et le cabinet Darrois Villey Maillot Brochier aux côtés des acquéreurs.
Enorme coup de tonnerre dans le monde de la gestion d’actifs! Après 43 ans à la tête du gestionnaire américain Pimco, filiale du groupe Allianz, William «Bill» Gross, son fondateur et directeur des investissements, a décidé de quitter le navire pour rejoindre la société de gestion Janus Capital Group (177,7 milliards de dollars d’actifs sous gestion). Bill Gross, qui prendra officiellement ses fonctions le 29 septembre, sera en charge de la gestion d’un fonds lancé récemment, le Janus Global Unconstrained Bond Fund, et des stratégies liées à ce véhicule. A ce titre, il rejoindra Myron Scholes, prix Nobel d'économie, et les autres membres de l’équipe dédiée à l’allocation d’actifs internationale. Bill Gross débutera la gestion du Janus Global Unconstrained Bond Fund à partir du 6 octobre 2014. Bill Gross, 70 ans, ne rejoindra pas les bureaux de Janus Capital à Denver. Il sera en effet basé au sein d’un nouveau bureau ouvert à Newport Beach en Californie… siège historique de Pimco! Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, il sera également chargé de bâtir de nouvelles capacités d’investissement dédiées aux stratégies «global macro fixed income», en étroite collaboration avec Gibson Smith, directeur des investissements en charge du fixed income chez Janus Capital. «J’ai choisi Janus comme ma prochaine demeure en raison de ma longue relation avec son directeur général Dick Weil et mon désir de revenir à une activité au cours de laquelle je passerai la plus grande partie de mon temps à gérer les actifs des clients», a commenté Bill Gross, cité dans un communiqué. Bill Gross quitte Pimco alors que la société de gestion américaine subit les plus fortes turbulences de son histoire. La démission de Mohamed El-Erian en janvier (lire NewsManagers du 22 janvier 2014) avait en effet conduit à un vaste remaniement des équipes d’investissements et avait, surtout, créé de nombreuses tensions au sein des équipes. Surtout, son départ intervient alors que le fonds phare de Pimco, le véhicule obligataire Pimco Total Return, géré par Bill Gross lui-même, a enregistré 16 mois consécutif de décollecte pour un total de 60 milliards de dollars depuis mai 2013. Résultat: ses encours ont fondu comme neige au soleil, ressortant à 222 milliards de dollars fin août 2014 contre 293 milliards de dollars en avril 2013. De fait, il semble clair que Bill Gross n’était plus tout à fait en odeur de sainteté au sein même de la société qu’il avait fondée. « Au cours de cette année, il est devenu de plus en clair que la direction de la société et Bill Gross avaient des points de vue fondamentalement différents sur la manière de faire avancer Pimco», n’a pas caché Douglas Hodge, directeur général de Pimco, cité dans un communiqué séparé. La succession de Bill Gross, surnommé le «Roi des obligations» aux Etats-Unis et figure emblématique de la gestion d’actifs outre-Atlantique, ne s’est pas fait attendre. Quelques heures après l’annonce de sa démission, Pimco a en effet annoncé la nomination de Daniel Ivascyn en qualité de directeur des investissements pour le groupe, remplaçant ainsi Bill Gross. Arrivé chez Pimco en 1998, Daniel Ivascyn est membre du comité exécutif et du comité d’investissement de la société de gestion. Il est également responsable de l'équipe «mortgage credit portfolio management» et le gérant principal des hedge funds crédit de Pimco et des stratégies «mortgage opportunistic».Outre Daniel Ivascyn, Pimco a procédé à plusieurs nominations ou promotions : Andrew Balls au poste de directeur des investissements mondial ; Mark Kiesel au poste de directeur des investissements crédit à l’échelle international ; Viriginie Maisonneuve au poste de directeur des investissements actions ; Scott Mather en tant que directeur des investissements pour les « core strategies » aux Etats-Unis ; et, enfin, Mihir Worah en tant que directeur des investissements en charge du « Real Return and Asset Allocation ». Quoi qu’il en soit, après la démission de Mohamed El-Erian, le départ de Bill Gross marque indéniablement la fin d’une époque chez Pimco. Las, le mal semble déjà fait pour Pimco. Selon le Wall Street Journal, la société de gestion aurait en effet enregistré près de 10 milliards de dollars de retraits à la suite du départ de Bill Gross, selon une personne proche du dossier.
Suite au départ de Suzanne Dos Santos Wahl, Franklin Templeton recherche actuellement un commercial qui sera sous la responsabilité d’Ariane Hober. Son portefeuille de clients sera composé pour moitié de grands distributeurs et pour l’autre moitié d’investisseurs institutionnels.
La moyenne du niveau de financement des fonds de pension privés en Suisse a augmenté de 113%, selon les récentes estimations d’une étude de Swisscanto. C’est le plus haut niveau de financement depuis la crise financière, alors qu’avant la crise, ce niveau n’avait été atteint qu’en 2006, à 113,7%, d’après Swisscanto. D’après le gérant, le rendement moyen de 4% sur le premier semestre 2014 a engendré une forte augmentation du niveau de financement des 370 caisses de retraites, gérant un encours cumulé de 506 milliards CHF (413 millards d’euros), qui ont pris part à l'étude. La rentabilité provient principalement de la performance des actions, même si l'étude de Swisscanto démontre une certaine approche légèrement anticyclique de la part des régimes suisses, avec une allocation moyenne dans les actions inférieure à 30%. L'étude souligne également de grandes différences dans les rendements actions, même entre les régimes ayant choisi des stratégies d’allocation similaires. Swisscanto estime que la stratégie d’allocation était cette fois-ci aussi importante que la sélection des titres pour obtenir de la performance. De même, le gérant d’actifs rappelle que les niveaux de financement ne suffisent pas à dresser le tableau complet de la solvabilité des caisses de retraites. Des mesures comme la proportion de retraités, le taux d’actualisation appliqué ou l'âge moyen des membres actifs doivent être pris en compte, rappelle-t-il. PPCmetrics a intégré ces facteurs dans ses calculs de niveaux de financement ajustés au risque des régimes suisses qui, sur la base de 200 fonds de pensions gérant 450 milliards CHF d’actifs, ont montré une amélioration par rapport à l’année dernière. PPCmetrics a montré que les niveaux de financement ajusté au risque des fonds de pensions du secteur privé ont augmenté de 94,3% fin 2012 à 107,1% l’année suivante et 109,7% à la fin août 2014. Malgré ce développement positif, il y a toujours des fonds de pension du secteur privé avec un niveau de financement ajusté au risque bien inférieur à 100%, souligne la firme de consulting. PPCmetrics explique que ces régimes sont principalement les caisses de retraites avec un haut niveau de retraités. Ces fonds présentaient un risque potentiel pour ses membres actifs dans le cas où une entreprise quittait le fonds, à tel point que les tranches prudentielles d’amortissement dites « buffer » devaient être divisées. Swisscanto requiert cependant de la prudence vis-à-vis de ces records, notant que cette moyenne de 113% était inférieure aux ratios d’amortissement nécessaires calculés sur la base de l’allocation d’actifs des fonds de pension.
Bill Gross est bel et bien «market mover». L’annonce du départ du gérant vedette de chez Pimco a provoqué d’importants remous sur les marchés. L’action Allianz, qui évoluait encore dans le vert en début d’après-midi, perdait jusqu'à 7,17% en Bourse. Gestionnaire de longue date du Pimco Total Return Fund , le plus important fonds obligataire du monde, Bill Gross dirigera désormais le Janus Global Unconstrained Bond Fund, a précisé la société de gestion américaine Janus Capital dans un communiqué. L’action Janus bondissait de plus de 30% en fin d’après-midi. Allianz a prévu d’annoncer le nom de son remplaçant dans les prochaines heures.
Bill Gross quitte Pimco. Le fondateur et gérant vedette de la société de gestion américaine, filiale d’Allianz, va rejoindre Janus Capital pour s’occuper d’un fonds obligataire récemment lancé Janus Global Unconstrained Bond Fund. Sa nomination a été annoncée par Janus Capital. Sa prise de fonction est prévue pour le 29 septembre. Le départ de Bill Gross intervient alors que Pimco a subi d’importants retraits d’actifs ces derniers trimestres. Bill Gross, et plusieurs autres dirigeants de Pimco, ont été récemment entendus par la SEC concernant la valorisation d’un fonds d’ETF.
Le choc s’annonce violent pour les mutuelles relevant du Code de la mutualité. Selon une étude de Sia Partners, l’ANI (accord national interprofessionnel), c’est-à-dire la généralisation de la complémentaire santé d’entreprise, leur fera perdre au total 2,1 milliards d’euros de cotisations. Ce qui équivaut à « une contraction de 10 % de leurs parts de marché », ajoute le cabinet de conseil. « Largement positionnées sur le marché de l’individuel, elles devront réinventer leur modèle économique », constate Sia Partners, alors que l’ANI va entraîner, d’ici au 1er janvier 2016, la bascule de millions de salariés aujourd’hui assurés à titre individuel vers des contrats collectifs. Mais, ajoute-t-il, « la réorganisation et les frais de gestion induits par un tel changement ne sont pas toujours à la portée des mutuelles », surtout des plus petites d’entre elles. Ce qui augure donc des rapprochements, des fusions et des alliances en pagaille. Si le nombre de mutuelles se réduit à vitesse grand V depuis des années déjà, le secteur reste très éparpillé. Fin 2012, selon les statistiques de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), on en comptait encore 630, dont 202 dites « substituées » pour lesquelles le risque financier est porté par une autre mutuelle. D’après Sia Partners, leur nombre devrait fondre de moitié à l’horizon 2016. Et, en 2018, il ne devrait plus y avoir que 100 mutuelles non substituées, soit quatre fois moins qu'à fin 2012. Sur les 200 mutuelles encaissant moins de 20 millions d’euros de cotisation, seule une cinquantaine devrait être encore là dans cinq ans. En savoir plus sur le site des Echos
26 septembre (Reuters) - Bill Gross, l'une des personnalités les plus influentes du marché mondial de la gestion obligataire, va quitter Pimco, la société qu'il a fondée, pour rejoindre son concurrent Janus Capital Group, a annoncé Janus vendredi.
Cedrus Partners et Altedia annoncent la reprise de l’activité de conseil en épargne salariale et retraite collective développée depuis plus de 10 ans par Altedia, au sein de son département Altedia Investment Consulting. Cette acquisition permettra à Cedrus Partners d’occuper une position de leader sur le marché de la retraite collective, voué à une croissance forte en France. Altedia Investment Consulting (AIC), créée en 2004, par Altedia et deux associés, dont Christel Bapt, actuel Président de Cedrus Partners, avait été intégrée à 100% au Groupe Altedia, après le départ des associés-fondateurs pour créer Cedrus Partners en 2010. C’est donc un « retour aux sources » pour les équipes de Cedrus Partners avec de nouvelles ambitions tant dans l’offre de services que dans le développement de parts de marchés sur le marché français. AIC a acquis en 10 ans une solide expérience dans l’accompagnement des grandes et moyennes entreprises pour la mise en place ou l’optimisation de leurs dispositifs d'épargne salariale et de retraite. Pendant cette période, les équipes ont réalisé plus de 70 missions d’envergure, dont plus d’une trentaine portant sur l’assistance technique et financière pour des dispositifs de retraite collective, Perco ou régime de retraite supplémentaire à cotisations définies (art. 83 du C.G.I.). La clientèle est composée d’entreprises du SBF 120 et de filiales françaises de grands groupes internationaux. L’opération de reprise par Cedrus Partners vise à assurer une continuité dans le service apporté aujourd’hui aux clients d’AIC avec des moyens conséquents tant en ressources humaines avec 6 experts des placements financiers supplémentaires, qu’en outils avec des bases de données et un centre de recherche propriétaire sur la gestion d’actifs. Selon Christel Bapt, Président de Cedrus Partners : « Cette opération s’inscrit dans le sens de l’histoire puisque nous avons en nous cette culture de l'épargne collective et des investissements à long terme, et que le sujet de la retraite et de son financement est au coeur de l’actualité. Nous reprenons une activité solide qui nous place sur le marché français en leader. Comme nous l’avions fait en 2004, nous allons chercher en permanence à innover dans les solutions financières en étroite collaboration avec les sociétés de gestion, améliorer les prestations par de nouveaux services et faciliter l’accès au plus grand nombre à des dispositifs aux standards institutionnels ».
La société Auriga Partners annonce l’arrivée d’un nouvel investisseur industriel, Miraca Holdings, au sein de son fonds Auriga IV Bioseeds. Groupe international majeur, Miraca Holdings intervient dans les domaines des tests in vitro, des évaluations cliniques en laboratoire et d’autres activités liées à la Santé parmi lesquelles la stérilisation ou les tests cliniques.Cet investissement vient renforcer tout autant les fonds que la capacité d’analyse et la couverture internationale de Auriga IV Bioseeds, fonds d’amorçage de plus de 40 millions d’euros soutenu par la Banque Publique d’Investissement (via le Fonds National d’Amorçage), le Fonds Européen d’Investissement ainsi que par plusieurs investisseurs privés tels que Sanofi Pasteur, Pfizer, Cubist Pharmaceuticals et désormais Miraca Holdings.Auriga IV Bioseeds a réalisé d’ores et déjà un premier investissement en participant à la levée de 5 millions d’euros réalisée par Fab’entech, société biopharmaceutique lyonnaise ambitionnant de devenir la référence mondiale de l’immunothérapie passive anti-infectieuse, précise un communiqué.
Dans une interview à L'Agefi, le commissaire européen révèle que les discussions sur la modulation entre grandes et petites banques ne sont pas encore closes
Le ministre du Travail, de l’emploi et du dialogue social, François Rebsamen, a indiqué lors des Rencontres parlementaires pour l'épargne salariale que la suppression généralisée du forfait social n'était pas à l’ordre du jour. Les professionnels du secteur la réclamaient à grands cris, le passage de 8% à 20% du forfait social ayant cassé la dynamique de collecte de l'épargne salariale. «Les finances publiques ne permettent pas une baisse généralisée du forfait social», a souligné le ministre. Le gouvernement «entend» les critiques, a précisé François Rebsamen, en évoquant deux pistes de travail: «une modulation du forfait social, avec un taux réduit, pour les investissements en fonds socialement responsables ou fonds d’actionnariat salarié de l’entreprise», et «un niveau de forfait social incitatif pour les entreprises qui concluent un premier accord de participation et/ou d’intéressement». Lire la suite sur le site de l’Agefi
La faiblesse des taux incite les investisseurs à quitter les sentiers battus pour se tourner vers des classes d'actifs plus rémunératrices. Ce faisant, les institutionnels sont confrontés à des impératifs de suivi qui sortent, eux aussi, de l'ordinaire. Laurent Durdilly, Directeur de la Ligne Métier Private Equity - Real Estate - Securitisation du groupe CACEIS, a attiré notre attention sur les différents points au sujet desquels la plus grande vigilance est requise. Il interviendra sur ce sujet, le 3 décembre prochain, à la Journée Nationale des Investisseurs Institutionnels organisée par Instit Invest, au Collège des Bernardins, à Paris.
Des cotisations qui explosent «En Suisse, depuis 20 ans, les coûts de la santé ont augmenté de 80%, les cotisations de 125%, cela ne va plus, cela doit changer», affirme Michel Matter, ophtalmologue et président de l’association des médecins genevois, qui plaide pour la fin du régime privé d’assurance santé. Pour la gauche, seule une caisse publique peut stopper cette «explosion» des cotisations et garantir leur utilisation efficace et transparente. Les défenseurs du référendum accusent par ailleurs les assureurs de mettre les citoyens mauvais payeurs sur liste noire pour inciter les médecins à ne pas les soigner. Les caisses maladie, qui selon la loi ne doivent pas réaliser de bénéfices dans l’assurance maladie de base, sont aussi accusées d’utiliser les cotisations pour financer leurs campagnes de publicité. Pour lire la suite, cliquez ici.
Le Fonds de dotation du Louvre, 154 millions d'euros d'encours sous gestion, a récemment investi 20 millions d'euros dans quatre fonds de performance absolue au format UCITS. Philippe Gaboriau, le directeur du Fonds de dotation, nous indique que l'objectif de ces investissements est de remplacer une poche de liquidité qui constituait environ 15% de l'allocation, et qui présentait des rendements quasi nuls.