Des cheveux en moins et de l’épaisseur en plus, Lionel retrouve L’Agefi en 2022 en tant que rédacteur en chef adjoint après une parenthèse d’une vingtaine d’années. Une double décennie passée dans la presse boursière française, chez Investir et Le Revenu, à couvrir les grandes entreprises cotées. Il manque rarement l’occasion de partager, auprès d’oreilles généralement bienveillantes, les citations qu’il affectionne. Comme celle-ci, nietzschéenne, «l’ennemi de la vérité, ce n’est pas le mensonge, ce sont les convictions».
Ayvens, filiale de la Société Générale, révise également le montant des survaleurs liées à l’acquisition de Leaseplan, ce qui va améliorer sa solvabilité.
Le groupe aéronautique américain a plongé de plus de 8% en Bourse après un nouvel incident touchant son 737 Max 9. De quoi menacer les perspectives de sa gamme la plus récente.
Après un millésime décevant, l'année 2024 s’annonce plus prometteuse avec nombre de nouveaux candidats à la cote. Pluxee, Ampere, Exosens (ex-Photonis) ou la branche santé grand public de Sanofi, sont sur la rampe de lancement. Gare aux faux départs.
A l’heure où Atos discute avec Airbus d’une cession de sa cybersécurité, le groupe canadien coté à New York et Toronto s’intéresse à l’essentiel du pôle digital d’Eviden.
Pas loin d'un tiers des opérations du marché primaire ECM en France ont concerné des «equity-linked» en 2023. Le regain d’intérêt pourrait se poursuivre en 2024, mais il demeure fragile.
Après un nouveau millésime en demi-teinte marqué par un plongeon de 10 % des montants des opérations en fonds propres des entreprises en Europe, les ingrédients en faveur d'un regain de levées de capitaux ne manquent pas. Pour l'heure, la France hérite du bonnet d’âne avec des volumes en recul de 40%.
Michaël Fribourg, le PDG du groupe, initie une OPA au prix de 12 euros par action, sans toutefois avoir l’intention de retirer de la cote ce spécialiste des activités de niche industrielles et de services. A la clé, une prime instantanée de 34,1%.
Le groupe fondé par David Layani franchit le cap des 10% du capital, à 11,4%, et réclame des postes au sein du conseil d'administration. Il critique les conditions de la cession des activités historiques d’infogérance à Daniel Kretinsky.
Le groupe fondé par David Layani, désormais considéré par Atos comme son «actionnaire de référence» profite de son audace qui l’a vu monter à 9,9 % du capital du groupe de services numériques. L'accord porte sur la transformation numérique.