La hausse des permis de construire et des mises en chantier témoignent d’un frémissement d’activité du côté des acteurs. La demande ne suivant toujours pas, les ventes continuent de s’effondrer.
La reprise des ventes dans l’ancien marque déjà le pas, plombée par une remontée des taux et des prix qui paralysent les secundo accédants. L’instabilité politique risque de dégrader encore davantage les conditions de marché. Meilleurs Agents estime que le marché pourrait atterrir autour de 925.000 ventes d’ici la fin de l’année.
Ils ont augmenté de 2,5% en trois mois. La hausse concerne tout le territoire et devrait se poursuivre jusqu’à la fin de l’année. Les ventes se font fortement redressées depuis janvier mais des signes de ralentissement se font déjà sentir.
Malgré une hausse à 10%, la part des salariés recevant leurs rémunérations en jetons ou stablecoins reste très minoritaire d’après une étude de Pantera Capital. Alors que les femmes ont un salaire médian supérieur à leurs homologues masculins, les moins diplômés s’en sortent paradoxalement bien mieux que les salariés ayant un master ou doctorat.
Les premières estimations du bilan du premier semestre 2025 prédisent un nouveau recul du marché. Le segment immobilier accuserait une baisse de 10% à 15%. Le financement des énergies renouvelables et TPE-PME jouirait d’une dynamique plus positive.
D’après une étude de la Banque de France, l'encours des prêts à l’habitat des particuliers a reculé pour la première fois depuis 2005. En dépit d'une légère hausse de 0,1 point des défauts de remboursement, le coût du risque dérape et augmente de 33%.
Deux tiers des investisseurs se sont regroupés dans un collectif pour récupérer la représentation de la masse des obligataires d’un maximum de projets en cours de remboursement. L’association a déjà mis la main sur près de 70% des dossiers. La plateforme de crowdfunding BeeForDeal en a également récupéré quatorze.