En charge du suivi des technologies appliquées au monde bancaire, Alexandra s’est plongée avec enthousiasme dans le monde des fintechs, ces start-up qui sont en train de transformer profondément les métiers de la finance pour les rendre plus accessibles, plus utiles et plus inclusifs. A commencer par les paiements qui sont en pleine effervescence depuis plus d’une décennie. Auparavant, Alexandra a passé plusieurs années dans quelques titres de presse professionnelle : L’Argus de l’assurance, Banque & Informatique et Le Moniteur des Pharmacies.
Le pôle paiements du groupe s’est bâti sur la conviction qu’une banque peut servir au mieux ses clients consommateurs et commerçants en combinant émission, acceptation et acquisition.
La révision de la DSP2 doit régler les frictions entre banques et fintechs lors de l’accès aux comptes de paiement, mais elle ne suffira pas à encadrer l’accès aux autres comptes.
Longtemps considéré comme un service de base, le paiement a retrouvé la lumière grâce à l’innovation apportée par les fintechs. Décidées à conserver la maîtrise de cette activité, les banques ont dû s’adapter et investir.
Le projet européen devrait se concrétiser dès cette année sous la forme d’un portefeuille électronique proposant le paiement instantané de personne à personne. Un premier pas vers une offre bien plus ambitieuse.
L’accès aux comptes bancaires des emprunteurs permet d’évaluer leur solvabilité en temps réel et d’octroyer immédiatement les trois quarts des prêts, y compris en magasin.
Après plusieurs années de flottement, l’EPI prend corps avec les acquisitions d'iDeal et de Payconiq qui lui donneront une base d’utilisateurs importante et un savoir-faire technologique solide. Elle accueille également quatre nouvelles banques actionnaires.
Le spécialiste des avantages pour les salariés profite de la bonne exécution de son plan stratégique. Il affiche un chiffre d’affaires en hausse de 20% au premier trimestre et poursuit ses acquisitions.
Partenaires de longue date, ces deux géants du paiement en France comptent créer une entreprise commune pour reprendre la main sur les services aux commerçants, marché sur lequel des fintechs se sont largement imposées depuis dix ans.
Les fintechs rivalisent d’initiatives pour proposer aux entreprises des leviers de productivité. Leur terrain de conquête aujourd’hui le plus en vue ? Les notes de frais. Alliances, partenariats et levées de fonds s’y multiplient. Et la concurrence est féroce.
Spécialiste de la gestion des frais d’entreprises, cette fintech française a remporté de très grands comptes et accélère sa croissance avec cette nouvelle levée de fonds.