En charge du suivi des technologies appliquées au monde bancaire, Alexandra s’est plongée avec enthousiasme dans le monde des fintechs, ces start-up qui sont en train de transformer profondément les métiers de la finance pour les rendre plus accessibles, plus utiles et plus inclusifs. A commencer par les paiements qui sont en pleine effervescence depuis plus d’une décennie. Auparavant, Alexandra a passé plusieurs années dans quelques titres de presse professionnelle : L’Argus de l’assurance, Banque & Informatique et Le Moniteur des Pharmacies.
La flambée des taux rebat les cartes. Concurrencées par les fonds monétaires et l'épargne réglementée, les banques luttent pour garder leurs ressources de bilan. Clients particuliers comme entreprises sont sollicités.
Cette place de marché permet aux acheteurs de faire de bonnes affaires sur des actifs bien évalués et aux vendeurs de récupérer des fonds pour rembourser des dettes ou se relancer.
Ce prototype technique mené sous l’égide de la BRI a permis de réaliser des transactions en temps réel entre l’Eurosystème, la Malaisie et Singapour. Prochaine étape : l’élargissement.
La fintech des fintechs s’attaque à une nouvelle cible : les grandes entreprises qui pourraient intégrer des services financiers à leur offre. Un livre blanc vient appuyer la démarche de ce «banking-as-a-service».
Engagée dans un programme stratégique de cloud avec son partenaire historique, la banque tire les premiers résultats positifs de ce choix. La transformation se poursuit.
Avec ce rachat, la fintech compte offrir à ses clients marketplaces une solution de gestion des paiements complexes enrichie et des coûts réduits, grâce notamment au routage intelligent.
Outre la révision de la directive sur les services de paiement DSP2 qui pourrait encadrer l’open finance au-delà des comptes de paiement, banques et fintechs sont toujours à la recherche de modèles économiques viables.
Alors que commence la semaine de l’éducation financière sous l’égide de la Banque de France, un projet européen de «cybercitoyen» vient de présenter un rapport sur les pratiques des Etats-membres dans ce domaine.
La clientèle de commerçants du premier pourra ainsi bénéficier des innovations développées par le second et accepter des paiements open banking ou en cryptos.