
Nordea AM remporte un mandat de 450 millions de dollars auprès de CalSTRS
Le fonds de pension américain a choisi la stratégie en actions internationales Global Stars Equity de Nordea.
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RECOUVREMENT & TECH, LE NOUVEAU DUO GAGNANT ?
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Attaque meurtrière à Jérusalem-Est: cinq morts et plusieurs blessés dans une fusillade revendiquée par le Hamas
Jérusalem - Les services de secours israéliens ont annoncé que cinq personnes avaient été tuées et plusieurs blessées lundi dans une attaque à l’arme à feu à Jérusalem-Est, une des plus meurtrières dans la ville depuis le début de la guerre à Gaza en octobre 2023. L’attaque s’est déroulée à l’entrée du quartier de Ramot, dans le secteur de la Ville sainte occupé et annexé par Israël, où les assaillants ont tiré sur une station d’autobus selon la police. «Les secouristes et ambulanciers ont constaté le décès de quatre personnes, un homme d’environ 50 ans et trois hommes dans la trentaine», a indiqué le Magen David Adom, l'équivalent israélien de la Croix-Rouge. Le décès d’une femme a été constaté plus tard à l’hôpital Shaaré Tzedek de la ville, selon un autre communiqué. Neuf autres personnes ont été blessées selon le Magen David Adom dont six grièvement. «C'était une scène très difficile», a déclaré Fadi Dekaidek, un infirmier, dans un communiqué du Magen David Adom. «Les blessés étaient allongés sur la route et le trottoir près d’un arrêt de bus, certains d’entre eux étaient inconscients». Présents sur les lieux de l’attaque, «un agent de sécurité et un civil ont immédiatement réagi, ont riposté et neutralisé les assaillants», indique un communiqué de la police, précisant que «leurs décès ont été confirmés». Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a tenu une réunion «avec les responsables des services de sécurité», selon son bureau. Sur les lieux de l’attentat, il a déclaré que «nous sommes en guerre contre le terrorisme sur plusieurs fronts». Le président Isaac Herzog a de son côté affirmé sur X que «cette attaque horrible nous rappelle que nous luttons contre le mal absolu». Le Hamas, en guerre contre Israël dans la bande de Gaza, a salué l’attaque en affirmant que les auteurs étaient des Palestiniens. «Nous affirmons que cette opération est une réponse naturelle aux crimes de l’occupation et au génocide qu’elle mène contre notre peuple», indique le mouvement islamiste palestinien dans un communiqué. L’armée israélienne a affirmé que ses forces «étaient à la recherche de suspects» dans la zone de l’attaque et encerclaient des villages palestiniens dans la région de Ramallah en Cisjordanie occupée. © Agence France-Presse -
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Paris - Les Ecologistes se disent lundi, à quelques heures de la chute annoncée de François Bayrou, «prêts» en cas de nouvelle dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron et appellent une nouvelle fois, dans ce cas de figure, «toutes les forces de gauche» à se réunir. «Les Écologistes ont réuni hier leurs secrétaires régionaux pour se préparer à tout, y compris à l’hypothèse d’une dissolution rapide ce soir. Ce n’est pas le scénario le plus probable mais s’il arrive, nous seront prêts à désigner des candidatures sur l’ensemble des circonscriptions tout en enclenchant des discussions avec nos partenaires», écrit Marine Tondelier dans un communiqué publié pendant que la présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet, était reçue à l’Elysée par le président de la République. «Gouverner c’est prévoir. Si une dissolution devait survenir à plus ou moins brève échéance, nous souhaitons qu’une discussion s’engage avec toutes les forces de gauche et écologistes. C’est ce que nous avons fait l’année dernière dans un sursaut collectif car le risque d’arrivée de l’extrême droite à Matignon semblait imminent», poursuit Marine Tondelier, fervente partisane de l’union à gauche, mise à mal par les tensions entre La France insoumise et le Parti socialiste. En cas de dissolution, les deux partis n’envisagent plus une alliance électorale comme la Nupes en 2022 ou le Nouveau Front populaire en 2024 pour des législatives anticipées, mais des «accords défensifs» ou des désistements dans certaines circonscriptions en cas de risque de victoire de l’extrême droite. Avec la chute attendue du gouvernement de François Bayrou dans la soirée, tous les regards sont tournés vers Emmanuel Macron, de nouveau à la recherche d’un Premier ministre, le troisième depuis qu’aucune majorité ne s’est dégagée à l’Assemblée nationale après la dissolution, en juin 2024. © Agence France-Presse