Retrouvez les articles d’actualité et d’analyse portant sur les résultats financiers (comptes trimestriels, semestriels, annuels, journées investisseurs, avertissements sur résultats) publiés par les grandes entreprises françaises et internationales.
Donné perdant dans la bataille de l’intelligence artificielle, le groupe a surpris avec des résultats trimestriels meilleurs qu’attendu. A la clé, un bénéfice net record de 34,5 milliards de dollars, en hausse de 46% sur un an. De quoi s'autoriser un nouveau plan de rachat d’actions de 70 milliards de dollars.
Le spécialiste des semi-conducteurs, désormais dirigé par Lip-Bu Tan, officialise son plan social, sans détailler l’ampleur des suppressions de postes. Un flou que le marché apprécie peu avec une action en repli post-marché.
Le motoriste et équipementier aéronautique Safran affiche une croissance meilleure qu’escompté. Le groupe qui, à ce stade, n’évalue pas l’effet de la guerre commerciale sur ses perspectives, attend toujours une décision des superviseurs sur son projet de rachat de Collins Aerospace.
En dépit d’une activité record de son pôle CIB, la banque dirigée par Jean-Laurent Bonnafé a vu son résultat net s’éroder de 4,9% au premier trimestre, à 2,95 milliards d’euros. En cause, le repli de la rentabilité de ses activités de location automobile.
La société d’investissement, dont la collecte a crû de 11% durant le premier trimestre, indique avoir une exposition directe aux droits de douane «très limitée».
L’investisseur souverain a perdu 415 milliards de couronnes norvégiennes sur les trois premiers mois de l’année, notamment à cause des valeurs technologiques.
La faiblesse s’est transformée en atout. Les investisseurs sont rassurés par la quasi-absence du groupe au losange de ces deux marchés soumis au doute.
Le géant de l'optique a révélé des ventes trimestrielles inférieures aux attentes au premier trimestre avec une performance particulièrement décevante outre-Atlantique.
Les ventes du groupe ont dépassé les attentes au premier trimestre mais ses gains de nouveaux contrats sont nettement inférieurs aux prévisions. L'action recule à la Bourse de Paris.
Après une cible de rentabilité manquée au premier trimestre, le groupe dirigé par Pascal Daloz met cet ajustement sur le compte d’un double impératif de «flexibilité» et d’investissement. En Bourse, l'action chute.
La plus grande banque française a enregistré une performance conforme aux attentes sur les trois premiers mois de 2025, tirée par une forte activité dans la BFI.
En proie à d'importantes difficultés dans ses activités de fonderie et de conception de puces, l'ancienne star de la Silicon Valley a raté l’évolution de l’IA et ne fait plus rêver les investisseurs. Devenu une cible potentielle, le groupe, désormais dirigé par Lip-Bu Tan, est près de présenter un nouveau plan massif de réduction de postes.
Le groupe vise toujours une croissance organique de 5% en 2025 et n'anticipe pas d'impact matériel direct des droits de douane sur la structure de ses coûts.