Les écarts se creusent entre BFI américaines

Les purs acteurs comme Morgan Stanley et Goldman Sachs ont mieux tiré leur épingle du jeu.
Julien Beauvieux

Attendue par la plupart des analystes, l’embellie des conditions de marché a été bénéfique à la plupart des BFI américaines au premier trimestre. Dernière banque à publier ses comptes, Morgan Stanley n’a pas dérogé à la règle en enregistrant un bénéfice net en hausse de 59%, à 2,4 milliards de dollars (2,2 milliards d’euros), porté par les revenus issus du trading d’actions (+33% à 2,3 milliards). Entre spécialistes et banques universelles, la performance financière des BFI demeure néanmoins inégale.

{"title":"","image":"82161»,"legend":"Morgan Stanley a enregistr\u00e9 un b\u00e9n\u00e9fice net en hausse de 59% au premier timestre2015. Photo Bloomberg.»,"credit":""}

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